sont le ministère de l'intérieur mené d'une main de maitre et notre premier ministre Essid.
La sécurité de nos femmes et enfants prime sur tout le reste.
Bravo messieurs, continuez la dératisation.
Tous les patriotes sont avec vous.
Des extraits des rapports d’expertise médico-légale des sept prisonniers libérés la semaine dernière et arrêtés immédiatement après par des brigades anti-terroristes, ont été mis en ligne, ce matin jeudi 13 août 2015, sur la page Facebook de l’avocat CPR, Samir Ben Amor.
D’après l’avocat, les autorités auraient refusé de présenter les rapports en question à la commission ad-hoc de l’Assemblée des représentants du peuple, et c’est pour quoi il les a lui-même publiés.
Samir Ben Amor a pris soin de tagguer son nom, en très grands caractères, sur chacun des rapports mis en ligne.
Des sept rapports, l’avocat n’a présenté que des extraits des rapports de Idriss Aydi, Wissem Arfaoui, Hassen Ayachi et Lamjed Chaaâbani.
Si dans certains de ces rapports, les médecins légistes ne mentionnent que des ecchymoses et dermabrasions, compatibles avec des traumatismes provoqués par un objet contondant et/ou une surface contondante, on lit dans d’autres que les détenus ont subi plusieurs lésions. Ces lésions pourraient être assimilées à ce qu’on appelle communément « torture ». Les médecins n’ont pas mentionné le terme « torture » dans leurs rapports, mais nous imaginons que c’est lié à des raisons purement légales puisqu’il s’agit d’un terme technique précis inutilisable dans un rapport médico-légal scientifique.
Ainsi, dans l’un de ces rapports, on lit que les médecins signalent que certaines de ces lésions « peuvent être compatibles avec une suspension du corps tel que décrite par le sujet, compte tenu du caractère bilatéral à une hauteur quasi-similaire par rapport à la sole plantaire ».
Les médecins indiquent dans leurs rapports médico-légaux que les observations physiques et psychologiques sont cohérentes avec les services allégués. Certains des prévenus, auscultés par les médecins, continuent, quelques jours après les faits, à avoir des symptômes et infirmités les affectant. Les médecins signalent des céphalées, des otalgies, des cervicalgies et des douleurs dans différents endroits de leurs corps (dos, épaules, avant-bras, poignets, mains…)
R.B.H.
Des extraits des rapports d’expertise médico-légale des sept prisonniers libérés la semaine dernière et arrêtés immédiatement après par des brigades anti-terroristes, ont été mis en ligne, ce matin jeudi 13 août 2015, sur la page Facebook de l’avocat CPR, Samir Ben Amor.
D’après l’avocat, les autorités auraient refusé de présenter les rapports en question à la commission ad-hoc de l’Assemblée des représentants du peuple, et c’est pour quoi il les a lui-même publiés.
Samir Ben Amor a pris soin de tagguer son nom, en très grands caractères, sur chacun des rapports mis en ligne.
Des sept rapports, l’avocat n’a présenté que des extraits des rapports de Idriss Aydi, Wissem Arfaoui, Hassen Ayachi et Lamjed Chaaâbani.
Si dans certains de ces rapports, les médecins légistes ne mentionnent que des ecchymoses et dermabrasions, compatibles avec des traumatismes provoqués par un objet contondant et/ou une surface contondante, on lit dans d’autres que les détenus ont subi plusieurs lésions. Ces lésions pourraient être assimilées à ce qu’on appelle communément « torture ». Les médecins n’ont pas mentionné le terme « torture » dans leurs rapports, mais nous imaginons que c’est lié à des raisons purement légales puisqu’il s’agit d’un terme technique précis inutilisable dans un rapport médico-légal scientifique.
Ainsi, dans l’un de ces rapports, on lit que les médecins signalent que certaines de ces lésions « peuvent être compatibles avec une suspension du corps tel que décrite par le sujet, compte tenu du caractère bilatéral à une hauteur quasi-similaire par rapport à la sole plantaire ».
Les médecins indiquent dans leurs rapports médico-légaux que les observations physiques et psychologiques sont cohérentes avec les services allégués. Certains des prévenus, auscultés par les médecins, continuent, quelques jours après les faits, à avoir des symptômes et infirmités les affectant. Les médecins signalent des céphalées, des otalgies, des cervicalgies et des douleurs dans différents endroits de leurs corps (dos, épaules, avant-bras, poignets, mains…)
R.B.H.