
Le ministère de l’Intérieur a lancé, samedi 21 mars 2015, un avis de recherche contre le prénommé, Maher Ben Mouldi Gaydi, dans le cadre de l’attaque terroriste survenue, mercredi dernier au musée national du Bardo.
Le ministère appelle ainsi les citoyens à transmettre toute information, concernant le lieu ou les mouvements de l’individu qualifié de dangereux terroriste. Pour prévenir d’autres actes terroristes, le ministère indique qu’il faut rapidement arrêter Maher Gaydi.
Le communiqué précise que toute personne qui le reconnait ou qui détient des informations le concernant, devra informer les forces de l'ordre.
Des numéros sont mis à la disposition des citoyens à cet effet:
71.335.000
Garde nationale: 193
Police: 197
Le cas échéant, il faudra aviser l’unité sécuritaire ou militaire la plus proche.
C'est la deuxième proposition. Je m'explique:
Le cerveau est la partie de l'être humain la plus délicate, la plus fragile. C'est là que se trouve l'intelligence, et avec elle le libre arbitre, la capacité de jugement.
C'est pour cette raison que dame Nature a placé le cerveau dans une boîte solide, et l'a protégé des variations de température par une épaisse fourrure, les cheveux. Voyez la photo de gauche de notre terroriste, elle illustre bien cela.
Avec le lavage de cerveau pseudo religieux, le cerveau perd son utilité: il diminue de volume et n'a plus besoin d'être protégé des variations de température, il n'y a plus rien à protéger. C'est pour cette raison que les poils désertent le haut de la boîte et glissent vers le bas. En même temps, la boîte diminue de volume.
Il ne reste d'utile que le bulbe rachidien, siège des réflexes du cerveau reptilien. Il se trouve très bas, en bas de la boîte.
Le visage, les yeux, miroirs de l'âme, suivent l'évolution. Voyez la photo de droite, le regard halluciné d'un imbécile heureux est caractéristique de la fuite de l'intelligence.
On obtient finalement un rat, en moins sensible, moins... humain.
Dans mon livre, les membres de ces 2 camps ne sont pas prêts à remporter la médaille du patriotisme. Les cowboys qui nous traitent de gueux auraient pu très bien être eu des lieutenants de daech. Les signes sont là: mégalomanie, haine débordante, envers la société mère, sentiment de persécution, fabrication d'un passé glorieux en toute pièce afin de cacher son échec dans la vie...
Je fais partie des gens qu'il déteste, et encore le mot est faible.
Pourtant, j'ai du respect pour lui. Pour son amour du pays, son patriotisme dans le bon sens du terme -il ne revendique pas je ne sais quelle identité arabo musulmane, pour la grandeur perdue.
Comment ne pas comprendre son admiration pour Bourguiba, qui défilait à New York dans la voiture de JF. Kennedy, qui traitait d'égal à égal avec De Gaulle, qui a donné à la Tunisie une place dont les miettes lui assurent encore une aura internationale?
Comment ne pas comprendre sa nostalgie pour Ben Ali, qui savait mater les barbus avec une efficacité redoutée?
Oui, comment ne pas comprendre et quelque part admirer JW?
Il est clair qu'il en veut à ceux et à celles qui, à partir de pays tiers, se sont fait manipulé ou, pire encore, ont joué un rôle actif dans la chute de leur pays d'origine. Disons qu'il a raison pour ceux-là et pour ceux qui ont été manipulé par ces derniers. Et tu n'en fais certainement pas partie puisque tu qualifie la misérolution de merdolution. Pourquoi veux-tu qu'il soit moins tranchant qu'il ne l'est avec les tunisiens vivant en Tunisie qu'il ne ménage aucunement, les traitant de gueux à toutes les occasions.
Je suis sûr que vous partagez l'amour de votre Patrie et qu'il n'aurait pas dû s'en prendre à toi.
Me concernant, je suis libre comme le vent. Le vent qui emportera à son passage ces poubelles de l'histoire qui ont trahi leur pays.
Léon.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Merci à mon petit pharmacien préféré de m'avoir parlé vrai en février 2011.
"Ici, il faut un Ben Ali, une poigne de fer! Vous allez voir dans 6 mois, comme ça va être la merde!" La merde me semble très sympa, à côté de l'état désastreux dans lequel se trouve le pays.
Moi, ce que j'avais dit aux hommes qui gardaient la rue, après la révolution (Ils la gardaient, contre les pilleurs, les voleurs, car point de snipers, à part des policiers qui repéraient les cambrioleurs -y'en a eu beaucoup dans mon quartier-) un Juste après la révolte du jasmin qui depuis fait la gueule, j'avais dit au groupe de jeunes voisins: "Super, vous avez ouvert la porte à tout ce qui va entrer"
leur réponse: "Mais non, t'inquiète pas, nous, les tunisiens on en veut pas des barbus!"
Alors y'a un truc qui n'a pas fonctionné...