
Le ministre de l’Enseignement, Néji Jalloul, a déploré, ce mardi 3 mars 2015, la situation actuelle des écoles tunisiennes. « On y voit des armes blanches. Certaines se transforment même en tavernes la nuit ! » s’est-il indigné.
Pire encore, nos écoles produisent des terroristes, selon le ministre. « Certains sont partis faire la guerre en Syrie sans jamais mettre les pieds dans une mosquée. Aujourd’hui, l’école du terrorisme c’est notre école » a-t-il lancé.
M. Jalloul a critiqué, par ailleurs, le niveau scolaire des élèves. « Ils n’ont pas le bagage linguistique nécessaire pour s’exprimer » a-t-il estimé. Et d’imputer la responsabilité aux professeurs qui cherchent à gagner de l’argent au détriment de l’enseignement « la relation entre le professeur et l’élève est devenue commerciale » a-t-il indiqué, ajoutant que les choix « aléatoires » des membres du corps enseignant sont responsables de cette situation.
E.Z.
Pour ce-là il faut ajouter , aux maigres ressources hydriques du Pays assoiffé, 650 m3/s d'eau fraîche extraite de la mer à l'énergie solaire concentrée et ce afin d'élever la quotte part de chaque citoyen de < 500 m3 , aujourd'hui et la faire franchir le seuil de vulnérabilité par rapport à cet élément vital, tel que fixé par la FAO à > 2500 m3/hab/an ! ! Sans çà rien ne changera, et de soins palliatifs il s'agira ...
Ce fût en temps de mzali que le dégradation commença , une islamisation et une identification peu tunisienne de l'enseignement.
La philoopsophie se rétrograde et les coefficients ont achevé la pensée.
On voit des enseignants en barbe et voiles qui ont un principale rôle islamiser l'école laique et recruter des élèves soit pour des cours particuliers clandestins ( commerce du noir) soit un recreutement idéologique.
L'école publique n'existe plus , ce sont les syndicas qui entretiennent la dictature, l'Etat a peur , Néji Jalloul aussi.