
Le porte-parole du Tribunal de première instance de Tunis, Sofiène Selliti a annoncé, mercredi 11 février 2015, l’ouverture d’une enquête contre toute personne citée dans l’affaire Swiss Leaks. Sofiène Selliti affirme que le ministère public a ordonné l’ouverture de cette enquête pour prouver l’implication de ces personnes dans des opérations de blanchiment d’argent, en ayant profité de leurs fonctions ou statuts.
Par ailleurs, le juge d’instruction près du Pôle judiciaire financier se chargera d’enquêter sur les documents fuités, de la succursale de la banque HSBC en Suisse. Le porte-parole du Tribunal de première instance a expliqué que l’enquête ouverte par le ministère public est en conformité avec les dispositions des articles 62 et 67, de la loi n°75 de l’année 2003, relative à l’appui des efforts internationaux contre le terrorisme et le blanchiment d’argent.
I.L.

Un large public est déjà au courant des informations portées dans mon poste.
Le site BABNET les publie en affichant et les photos et les avoirs de certains titulaires de comptes dans cette banque suisse, HBSC.
Cordialement,
Pourvu qu'ils montrent tout le monde et non pas seulement ceux que les puissances occidentales ont envie de montrer. Je serai particulièrement curieux de savoir combien les putschistes libyens ont de sous en Suisse.
Léon.
Il faut rappeler que les révélations concernent une seule banque d'un seul pays , autant dire une infime partie de la face émergée de l'iceberg , vu le nombre important des paradis fiscaux .
Une illustration de la collusion des banksters ( les banquiers gangsters ) avec les fraudeurs de toutes nationalités .
Et aprés on se tourne vers le petit commerçant ou la petite PME pour les harceler et les ruiner mettant ainsi parfois fin à leurs activités. Et on veut inciter les gens à investir dans ce pays! Les mafias d'ennahdha, qui semble t il adorent le pognon, ne sont pas du reste. on devrait fouiner un peu du côté des banques en grande bretagne. Là aussi des surprises attendent les Tunisiens. Trabelsi, ben ali, ennahdha, ou gros groupes tunisiens, ils ne valent pas mieux les uns que les autres finalement.
Ezzaouali peu pleurer de plus belle, il n'est pas sorti de l'auberge!