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Taher Hmila : certaines élues disent des absurdités en prenant la parole (audio)

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Taher Hmila, doyen des élus de l'ANC et président du parti Al Iklaâ, est intervenu sur les ondes de Jawhara FM le 7 mai 2014 pour commenter la loi électorale et parler particulièrement de la place de la femme.
Taher Hmila a qualifié de "bizarre" la volonté d'imposer la parité horizontale. Concernant la parité verticale, il a estimé que cette mesure a donné de la présence à la femme mais s'est interrogé : "Quel apport cela a-t-il eu à l'intérêt national?". Pour illustrer son propos, il a ajouté que certaines femmes disent des "absurdités" en prenant la parole.
Taher Hmila a estimé que la question de la parité n'a pas été suffisamment préparée pour la faire accepter à l'opinion publique. Pour lui, la volonté de l'imposer, est issue de pressions étrangères dont le pivot sont les associations de défense des droits des femmes. Il a ajouté que des milliards sont injectés en Tunisie pour faire dévier sa ligne de ce qu'elle devrait être. "Ils vont et viennent [certains élus] aux sièges d'associations telles que l'Association tunisienne des Femmes démocrates et parlent de droits des femmes et de parité horizontale et verticale. On sent qu'ils sont dirigés et manipulés" a-t-il ajouté.
Concernant l'intervention polémique de Brahim Kassas, Taher Hmila a déclaré que les dires de Kassas sont issus de la nature de la région qu'il représente et de la population qui y habite, "il n'a pas été élu à Tunis, à Sousse ou à Sfax" a-t-il ajouté. Il a par la suite expliqué que dans cette région, la valeur et la place de la femme sont conditionnés par le degré de satisfaction de son mari : "Celle qui n'écoute pas son mari s'attire la colère de Dieu et des anges".
Taher Hmila a qualifié de "bizarre" la volonté d'imposer la parité horizontale. Concernant la parité verticale, il a estimé que cette mesure a donné de la présence à la femme mais s'est interrogé : "Quel apport cela a-t-il eu à l'intérêt national?". Pour illustrer son propos, il a ajouté que certaines femmes disent des "absurdités" en prenant la parole.
Taher Hmila a estimé que la question de la parité n'a pas été suffisamment préparée pour la faire accepter à l'opinion publique. Pour lui, la volonté de l'imposer, est issue de pressions étrangères dont le pivot sont les associations de défense des droits des femmes. Il a ajouté que des milliards sont injectés en Tunisie pour faire dévier sa ligne de ce qu'elle devrait être. "Ils vont et viennent [certains élus] aux sièges d'associations telles que l'Association tunisienne des Femmes démocrates et parlent de droits des femmes et de parité horizontale et verticale. On sent qu'ils sont dirigés et manipulés" a-t-il ajouté.
Concernant l'intervention polémique de Brahim Kassas, Taher Hmila a déclaré que les dires de Kassas sont issus de la nature de la région qu'il représente et de la population qui y habite, "il n'a pas été élu à Tunis, à Sousse ou à Sfax" a-t-il ajouté. Il a par la suite expliqué que dans cette région, la valeur et la place de la femme sont conditionnés par le degré de satisfaction de son mari : "Celle qui n'écoute pas son mari s'attire la colère de Dieu et des anges".
M.A
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