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Des journalistes agressés à la manifestation du 1er mai, le SNJT s'indigne et le parquet ouvre une enquête (Audio)
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Lors de la célébration de la Fête du Travail, aujourd’hui jeudi 1er mai 2014, des journalistes ont été empêchés de couvrir la marche organisée par l’UGTT de la Place Mohamed Ali vers la Place du 14 Janvier et certains d’entre eux ont été agressés et leurs téléphones portables confisqués par des personnes portant le dossard de l’organisation.
Suite à ces incidents, que même les responsables de l’UGTT ne parviennent pas à expliquer, le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a protesté, officiellement contre lesdites agressions tout en réclamant des excuses officielles de la part des dirigeants de la centrale syndicale. « L’UGTT qui était victime d’agression le 4 décembre 2012 par les milices de la ligue de la protection de la révolution se transforme aujourd’hui en agresseur de nos journalistes. Notre bureau sera en réunion urgente et nous prendrons les mesures qui s’imposent contre cette agression infâme et injustifiée » a déclaré Néji Bghouri, président du syndicat des journalistes tunisiens au micro de Mosaïque FM.
MAJ : Dans une déclaration à Mosaïque FM, Soufiène Sliti, porte-parole officiel du ministère public, a annoncé que ce dernier a décidé l’ouverture d’une enquête dès qu’il a appris la nouvelle desdites agressions et que toute personne, dont l’implication sera prouvée, sera maintenue en garde à vue.
Suite à ces incidents, que même les responsables de l’UGTT ne parviennent pas à expliquer, le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a protesté, officiellement contre lesdites agressions tout en réclamant des excuses officielles de la part des dirigeants de la centrale syndicale. « L’UGTT qui était victime d’agression le 4 décembre 2012 par les milices de la ligue de la protection de la révolution se transforme aujourd’hui en agresseur de nos journalistes. Notre bureau sera en réunion urgente et nous prendrons les mesures qui s’imposent contre cette agression infâme et injustifiée » a déclaré Néji Bghouri, président du syndicat des journalistes tunisiens au micro de Mosaïque FM.
« Nous sommes ici en tant que représentants de l'Organisation pour la Protection des Journalistes(OTPJ). Nous avons fait nos constats, récolté des témoignages et nos collègues nous ont informés qu’ils sont en possession d’enregistrements illustrant les agressions. Nous poursuivrons en justice les agresseurs » a déclaré, pour sa part, déclaration de Zied el Héni.
MAJ : Dans une déclaration à Mosaïque FM, Soufiène Sliti, porte-parole officiel du ministère public, a annoncé que ce dernier a décidé l’ouverture d’une enquête dès qu’il a appris la nouvelle desdites agressions et que toute personne, dont l’implication sera prouvée, sera maintenue en garde à vue.
S.H
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