Dernières news
L'Algérie donne aux politiciens tunisiens des avis basés sur son expérience, selon Ramtane Lamamra
{legende_image}
L’Algérie répond par une «sollicitude fraternelle» dans le respect du principe de non-ingérence pour sortir la Libye et la Tunisie de la crise que vit chacun des deux pays, a indiqué mercredi 1er janvier 2014 selon l’agence de presse algérienne APS, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, en les appelants à croire aux vertus du dialogue.
«Il y a incontestablement des défis auxquels font face la Libye et la Tunisie. Les deux peuples traversent des phases difficiles. Il y a une attente à l’égard de l’Algérie qui y répond par une sollicitude fraternelle dans le respect du principe de non-ingérence», a souligné M. Lamamra lors de son passage à l’émission "Sur le fil" de Canal Algérie.
«Nous demandons à chacun de ces pays à croire en les vertus du dialogue, de le pratiquer et d’aller vers la réconciliation lors des déchirements fratricides. Nous leur demandons aussi d’être patriotes et de vouloir l’intérêt supérieur de leurs pays et de travailler pour l’unité du destin du Maghreb», a-t-il ajouté, précisant que «la non-ingérence ne signifiait pas indifférence».
En se félicitant de la nature et de la qualité des relations de l’Algérie avec la Tunisie, la Libye et la Mauritanie, Ramtane Lamamra a relevé que les visites de personnalités politiques de ces pays en Algérie pour des échanges d’avis sur l’évolution des dossiers sécuritaires, s’inscrivaient dans le cadre de la «relation normale entre pays frères et voisins» et ne revêtait aucun esprit d’ingérence.
«L’ingérence, par définition, a une connotation négative. Lorsqu’il s’agit de donner des conseils, des encouragements et avis basés sur notre propre expérience à des personnalités politiques éminentes qui croient en la sagesse du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour sortir de la crise, c’est plutôt une interaction normale», a-t-il tenu à préciser.
«Il y a incontestablement des défis auxquels font face la Libye et la Tunisie. Les deux peuples traversent des phases difficiles. Il y a une attente à l’égard de l’Algérie qui y répond par une sollicitude fraternelle dans le respect du principe de non-ingérence», a souligné M. Lamamra lors de son passage à l’émission "Sur le fil" de Canal Algérie.
«Nous demandons à chacun de ces pays à croire en les vertus du dialogue, de le pratiquer et d’aller vers la réconciliation lors des déchirements fratricides. Nous leur demandons aussi d’être patriotes et de vouloir l’intérêt supérieur de leurs pays et de travailler pour l’unité du destin du Maghreb», a-t-il ajouté, précisant que «la non-ingérence ne signifiait pas indifférence».
En se félicitant de la nature et de la qualité des relations de l’Algérie avec la Tunisie, la Libye et la Mauritanie, Ramtane Lamamra a relevé que les visites de personnalités politiques de ces pays en Algérie pour des échanges d’avis sur l’évolution des dossiers sécuritaires, s’inscrivaient dans le cadre de la «relation normale entre pays frères et voisins» et ne revêtait aucun esprit d’ingérence.
«L’ingérence, par définition, a une connotation négative. Lorsqu’il s’agit de donner des conseils, des encouragements et avis basés sur notre propre expérience à des personnalités politiques éminentes qui croient en la sagesse du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour sortir de la crise, c’est plutôt une interaction normale», a-t-il tenu à préciser.
D’après APS
sur le fil
Dans la même Rubrique
Commentaires
Pépites