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Ghannouchi : Aucune démission avant l'achèvement de la Constitution et la formation de l'ISIE

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En marge de sa participation aux travaux du 5ème congrès à Alger du parti algérien Ennahdha, dirigé par Fethi Rabaie, Rached Ghannouchi, avait affirmé, dans des déclarations aux médias rapportées par l’agence de presse algérienne APS, que «le gouvernement d’Ali Laârayedh ne démissionnera pas avant l’achèvement de la rédaction de la Constitution et la formation de l’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE)».
Le leader d'Ennahdha a, également, lancé un appel aux Tunisiens à «éviter de s’entretuer afin que la transition se fasse dans le calme».
En outre, M. Ghannouchi a expliqué, en réponse à une question de l’APS sur la situation sécuritaire en Tunisie, que l’escalade du terrorisme en Tunisie était le résultat «du trafic d’armes à partir de la Libye» et «au resserrement de l’étau sur les groupes terroristes qui a suscité des réactions de la part de ces derniers».
Pour Rached Ghannouchi, la situation politique du pays n’est pas satisfaisante, mais «pas inquiétante» pour autant.
En réponse à la presse sur les appréhensions de la Tunisie quant à un éventuel retour des djihadistes tunisiens de Syrie, il a souligné qu’«elles n’existent pas, mais qu'il y a certainement des risques». Cependant, a-t-il dit, «la violence en Tunisie est un phénomène isolé».
A lire également :
Rached Ghannouch : L’usage de la violence n’a plus de justification en Tunisie
Le leader d'Ennahdha a, également, lancé un appel aux Tunisiens à «éviter de s’entretuer afin que la transition se fasse dans le calme».
En outre, M. Ghannouchi a expliqué, en réponse à une question de l’APS sur la situation sécuritaire en Tunisie, que l’escalade du terrorisme en Tunisie était le résultat «du trafic d’armes à partir de la Libye» et «au resserrement de l’étau sur les groupes terroristes qui a suscité des réactions de la part de ces derniers».
Pour Rached Ghannouchi, la situation politique du pays n’est pas satisfaisante, mais «pas inquiétante» pour autant.
En réponse à la presse sur les appréhensions de la Tunisie quant à un éventuel retour des djihadistes tunisiens de Syrie, il a souligné qu’«elles n’existent pas, mais qu'il y a certainement des risques». Cependant, a-t-il dit, «la violence en Tunisie est un phénomène isolé».
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I.N (D’après APS)
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