Dernières news
Des sanctions seront prises contre ceux qui ont crié "dégage" à El Aouina
{legende_image}
Intervenant au micro de Mosaïque Fm, le commandant de la Garde nationale, Mounir Ksiksi, s’est indigné contre les « dégage » scandés à l’adresse des trois présidents, aujourd’hui, vendredi 18 octobre 2013, à la caserne d'El Aouina, précisant que des sanctions administratives, mais aussi des poursuites judiciaires seront appliquées contre les responsables.
« Il s’agit d’une première due à la grande tristesse ressentie par les agents à cause de l’assassinat de leurs collègues, mais la discipline doit être de mise pour donner l’exemple, loin de toute influence politique », a-t-il déclaré.
Rappelons que les trois présidents Moncef Marzouki, Ali Laârayedh et Mustapha Ben Jaâfar, se sont fait huer par des membres du Syndicat des forces de la sûreté intérieure, aujourd’hui, alors qu’ils étaient présents aux obsèques des membres de la Garde nationale tués hier à Goubellat.
Mise à jour : Pour sa part, Imed El Haj Khlifa, porte-parole du Syndicat des forces de la sûreté intérieure, est également revenu sur le sujet affirmant que la réaction des membres du Syndicat était tout à fait légitime compte tenu des circonstances. « Les agents sont attristés et en colère par la mort de leurs collègues et par les assauts des terroristes auxquels ils n’ont pas su faire face ». Et d’ajouter : « les dépouilles sont restées près d'une heure et quart sous le soleil dans l'attente de l'arrivée des présidents ».
« Il s’agit d’une première due à la grande tristesse ressentie par les agents à cause de l’assassinat de leurs collègues, mais la discipline doit être de mise pour donner l’exemple, loin de toute influence politique », a-t-il déclaré.
Rappelons que les trois présidents Moncef Marzouki, Ali Laârayedh et Mustapha Ben Jaâfar, se sont fait huer par des membres du Syndicat des forces de la sûreté intérieure, aujourd’hui, alors qu’ils étaient présents aux obsèques des membres de la Garde nationale tués hier à Goubellat.
Mise à jour : Pour sa part, Imed El Haj Khlifa, porte-parole du Syndicat des forces de la sûreté intérieure, est également revenu sur le sujet affirmant que la réaction des membres du Syndicat était tout à fait légitime compte tenu des circonstances. « Les agents sont attristés et en colère par la mort de leurs collègues et par les assauts des terroristes auxquels ils n’ont pas su faire face ». Et d’ajouter : « les dépouilles sont restées près d'une heure et quart sous le soleil dans l'attente de l'arrivée des présidents ».
Commentaires
Pépites
La vérité est un like comme les autres
06/05/2025
2
Homo Deus au pays d’Homo Sapiens
06/05/2025
4