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Le principal suspect dans le meurtre de Chokri Belaïd était connu de la police

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Au cours de la conférence de presse tenue par l’IRVA le 2 octobre, Taïeb Laâguili a déclaré que le principal suspect du meurtre de Chokri Belaïd, un dénommé Marouen Haj Salah, était connu des services de sécurité car il était le propriétaire d’une voiture de type Polo qui rodait dans le quartier de l’opposant.
Connu également pour être un salafiste originaire du Kram, le dénommé Marouen n’a pas été convoqué. Pourtant, le district de la sûreté de Carthage a été avisé depuis le 23 janvier 2013 mais celui-ci n’y a répondu que le 8 mars. C’est de la complicité ou de l'incompétence, selon Taïeb Laâguili.
Poursuivant son exposé, M. Laâguili a déclaré que peu avant le meurtre de Chokri Belaïd, le dénommé Marouen s’est rasé et a changé de look. Il a commencé, par la suite, à fréquenter des salons de thé huppés de la capitale, ce qui est le signe de l’imminence d’une opération selon les salafistes.
Par ailleurs, cette personne n’a pas été citée dans les versions officielles du ministère de l’Intérieur alors qu’elle est directement impliquée. Si elle avait été arrêtée et interrogée à temps, Chokri Belaïd n’aurait pas été tué. Seulement, la convocation a eu lieu 2 mois et 13 jours après les faits alors que le suspect était déjà parti en Arabie Saoudite.
Taïeb Laâguili poursuit son exposé en déclarant qu’une unité de police avait réussi à encercler le suspect Marouen dans une bijouterie le 6 février 2013 au soir. Cependant, cette unité a reçu l’ordre d’interrompre l’opération permettant ainsi à cet individu de quitter le territoire le 8 février. Le dénommé Marouen a un rôle central dans le meurtre de Chokri Belaïd car c’est lui qui a rassemblé les autres protagonistes, en l'occurence Gadhgadhi, Marrakchi, Abdellaoui…
Connu également pour être un salafiste originaire du Kram, le dénommé Marouen n’a pas été convoqué. Pourtant, le district de la sûreté de Carthage a été avisé depuis le 23 janvier 2013 mais celui-ci n’y a répondu que le 8 mars. C’est de la complicité ou de l'incompétence, selon Taïeb Laâguili.
Poursuivant son exposé, M. Laâguili a déclaré que peu avant le meurtre de Chokri Belaïd, le dénommé Marouen s’est rasé et a changé de look. Il a commencé, par la suite, à fréquenter des salons de thé huppés de la capitale, ce qui est le signe de l’imminence d’une opération selon les salafistes.
Par ailleurs, cette personne n’a pas été citée dans les versions officielles du ministère de l’Intérieur alors qu’elle est directement impliquée. Si elle avait été arrêtée et interrogée à temps, Chokri Belaïd n’aurait pas été tué. Seulement, la convocation a eu lieu 2 mois et 13 jours après les faits alors que le suspect était déjà parti en Arabie Saoudite.
Taïeb Laâguili poursuit son exposé en déclarant qu’une unité de police avait réussi à encercler le suspect Marouen dans une bijouterie le 6 février 2013 au soir. Cependant, cette unité a reçu l’ordre d’interrompre l’opération permettant ainsi à cet individu de quitter le territoire le 8 février. Le dénommé Marouen a un rôle central dans le meurtre de Chokri Belaïd car c’est lui qui a rassemblé les autres protagonistes, en l'occurence Gadhgadhi, Marrakchi, Abdellaoui…
D.M
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