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Tunisie – Houda Cherif démissionne du bureau politique d'Al Joumhouri
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Houda Cherif, membre d’Al Joumhouri chargée de la Justice transitionnelle et présidente du Comité des Sages , vient d’annoncer sa démission du parti, samedi 21 septembre 2013, « suite à la vague des démissions de l’été », précise-t-elle dans un message adressé à Business News dans lequel elle affirme également être « dégoûtée du travail partisan ».
Avec la conviction que « le respect mutuel entre les différentes générations de la scène politiques et la coopération entre les deux mentalités serait peut âtre la solution de la sortie de crise », elle rédige sa lettre de démission dans laquelle elle explique les raisons de son entrée en politique : « participer à la création d’une nouvelle politique, plus noble » et « servir la Tunisie loin des calculs partisans ». Elle se déclare déçue aujourd’hui de voir que « le parti Al Joumhouri a ressuscité le vieux PDP sous de nouveaux habits et que Afek s'est réveillé dans un nouveau cadre qui lui est étranger ». Elle estime également avoir failli dans son poste de présidente du Comité des Sages face à la déferlante de démissions.
« La crise continuera tant que tout le monde se croit sauveur », dit-elle tout en affirmant sa volonté de prendre du recul tout en restant active pour « trouver un autre moyen de militer à coté des esprits libres pour sortir notre Tunisie de cette calamité ».
Avec la conviction que « le respect mutuel entre les différentes générations de la scène politiques et la coopération entre les deux mentalités serait peut âtre la solution de la sortie de crise », elle rédige sa lettre de démission dans laquelle elle explique les raisons de son entrée en politique : « participer à la création d’une nouvelle politique, plus noble » et « servir la Tunisie loin des calculs partisans ». Elle se déclare déçue aujourd’hui de voir que « le parti Al Joumhouri a ressuscité le vieux PDP sous de nouveaux habits et que Afek s'est réveillé dans un nouveau cadre qui lui est étranger ». Elle estime également avoir failli dans son poste de présidente du Comité des Sages face à la déferlante de démissions.
« La crise continuera tant que tout le monde se croit sauveur », dit-elle tout en affirmant sa volonté de prendre du recul tout en restant active pour « trouver un autre moyen de militer à coté des esprits libres pour sortir notre Tunisie de cette calamité ».
S.T.
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