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Une nouvelle radio pirate à Tunis, destinée aux femmes

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Les Tunisois peuvent désormais capter une nouvelle station radiophonique qui sera destinée exclusivement aux femmes.
Elle s’appelle Radio Femmes (mais avec un jingle prononçant RFM) et peut être captée à travers le Grand Tunis sur la fréquence FM 102.3, comme Business News l’a constaté jeudi 12 septembre 2013.
Le silence des pouvoirs publics face aux radios pirates, créées régulièrement en Tunisie semble encourager les promoteurs.
Vont-ils finir par mettre les autorités devant le fait accompli, comme c’est le cas pour les télévisions et comme c’était le cas, en Europe, dans les années 70 ?
Il y a déjà une radio pirate sur le Grand Tunis (Horria FM sur 100.2) qui continue à diffuser en toute impunité, alors que de nombreuses demandes de promoteurs ont été déposées au gouvernement et à la Haica (et précédemment à l’INRIC) pour obtenir des fréquences sur le Grand Tunis.
Ces promoteurs préfèrent agir en toute légalité, mais il y a clairement un risque que ces radios pirates deviennent prioritaires et indélogeables, si jamais elles ont recruté du personnel et sont devenues connues. S’agissant de ressources publiques rares, ces fréquences sont chères et peuvent rapporter gros, aussi bien pour leurs promoteurs que pour l’Etat, et il est clairement anormal et injuste qu’elles soient ainsi occupées par des « aventuriers ».
Elle s’appelle Radio Femmes (mais avec un jingle prononçant RFM) et peut être captée à travers le Grand Tunis sur la fréquence FM 102.3, comme Business News l’a constaté jeudi 12 septembre 2013.
Le silence des pouvoirs publics face aux radios pirates, créées régulièrement en Tunisie semble encourager les promoteurs.
Vont-ils finir par mettre les autorités devant le fait accompli, comme c’est le cas pour les télévisions et comme c’était le cas, en Europe, dans les années 70 ?
Il y a déjà une radio pirate sur le Grand Tunis (Horria FM sur 100.2) qui continue à diffuser en toute impunité, alors que de nombreuses demandes de promoteurs ont été déposées au gouvernement et à la Haica (et précédemment à l’INRIC) pour obtenir des fréquences sur le Grand Tunis.
Ces promoteurs préfèrent agir en toute légalité, mais il y a clairement un risque que ces radios pirates deviennent prioritaires et indélogeables, si jamais elles ont recruté du personnel et sont devenues connues. S’agissant de ressources publiques rares, ces fréquences sont chères et peuvent rapporter gros, aussi bien pour leurs promoteurs que pour l’Etat, et il est clairement anormal et injuste qu’elles soient ainsi occupées par des « aventuriers ».
R.B.H.


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