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Mustapha Ben Jaâfer aux députés retirés : rentrez au bercail ! (Vidéo)

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Le président de l’Assemblée nationale constituante, Mustapha Ben Jaâfer a donné une allocution ce soir 4 septembre sur la première chaîne nationale, la Wataniya 1, au cours de laquelle il a fait le point sur la situation du pays et a annoncé la réunion du bureau de l’ANC la semaine prochaine en espérant que d’ici là tous les députés seront présents.
Après un rappel des événements ayant suivi l’assassinat de l’opposant Mohamed Brahmi, Mustapha Ben Jaâfer a indiqué que comme il l’a promis le 6 août en annonçant le gel des travaux de l’ANC, il s’est engagé à tenir des rencontres avec les différentes parties politiques afin de conclure un accord consensuel de sortie de crise. Il a ajouté qu’il était conscient que certains n’étaient pas d’accord avec sa décision et a noté à ce propos un comportement déplacé manquant de respect à l’institution de l’ANC. A ce titre, M. Ben Jaâfer a tenu à souligner qu’il n’avait peur de personne d’autre que Dieu, que ses décisions étaient dictées par sa conscience et que ni les menaces ni les accusations ne pourront le faire changer d’avis et le faire dévier de ses principes.
S’agissant du dialogue national, le président de l’ANC a souligné que les dirigeants politiques doivent tolérer davantage de concessions pour l’intérêt du pays mais que « cela demande du courage et il faudra en avoir ». « Nous avons une responsabilité historique, le dialogue doit être lancé entre les différentes parties politiques en présence des intermédiaires afin de trouver une sortie de crise » a-t-il précisé.
Aussi Mustapha Ben Jaâfer a insisté sur le fait que l’échec du dialogue national est complètement interdit car selon lui, il n’existe pas de raison valable pour le faire échouer. D’après ses dires, les parties prenantes au dialogue se prononcent toutes pour la formation d’un gouvernement de compétences présidé par une personnalité indépendante ainsi que la poursuite des travaux de l’ANC.
Au final, Mustapha Ben Jaâfer s’est adressé aux députés retirés, qui selon lui ont choisi de faire pression sur le gouvernement en bloquant l’activité de l’ANC, pour les inviter à « renter au bercail » en regagnant leurs sièges sous l’hémicycle, car dit-il : « ils n’ont pas le droit de se retirer et ne pas participer aux derniers 100 mètres qui nous restent à parcourir ».
Après un rappel des événements ayant suivi l’assassinat de l’opposant Mohamed Brahmi, Mustapha Ben Jaâfer a indiqué que comme il l’a promis le 6 août en annonçant le gel des travaux de l’ANC, il s’est engagé à tenir des rencontres avec les différentes parties politiques afin de conclure un accord consensuel de sortie de crise. Il a ajouté qu’il était conscient que certains n’étaient pas d’accord avec sa décision et a noté à ce propos un comportement déplacé manquant de respect à l’institution de l’ANC. A ce titre, M. Ben Jaâfer a tenu à souligner qu’il n’avait peur de personne d’autre que Dieu, que ses décisions étaient dictées par sa conscience et que ni les menaces ni les accusations ne pourront le faire changer d’avis et le faire dévier de ses principes.
S’agissant du dialogue national, le président de l’ANC a souligné que les dirigeants politiques doivent tolérer davantage de concessions pour l’intérêt du pays mais que « cela demande du courage et il faudra en avoir ». « Nous avons une responsabilité historique, le dialogue doit être lancé entre les différentes parties politiques en présence des intermédiaires afin de trouver une sortie de crise » a-t-il précisé.
Aussi Mustapha Ben Jaâfer a insisté sur le fait que l’échec du dialogue national est complètement interdit car selon lui, il n’existe pas de raison valable pour le faire échouer. D’après ses dires, les parties prenantes au dialogue se prononcent toutes pour la formation d’un gouvernement de compétences présidé par une personnalité indépendante ainsi que la poursuite des travaux de l’ANC.
Au final, Mustapha Ben Jaâfer s’est adressé aux députés retirés, qui selon lui ont choisi de faire pression sur le gouvernement en bloquant l’activité de l’ANC, pour les inviter à « renter au bercail » en regagnant leurs sièges sous l’hémicycle, car dit-il : « ils n’ont pas le droit de se retirer et ne pas participer aux derniers 100 mètres qui nous restent à parcourir ».
Na. B
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