Sana Ghenima, PDG d’une société spécialisée dans l'édition numérique et interactive et élue en 2008 femme d’affaires de l’année, nous a contactés en début d’après-midi d’aujourd’hui, lundi 8 avril 2013 pour donner certaines précisions sur ce qui s’est passé hier dimanche à l’aéroport de Tunis-Carthage. Tout en rappelant les péripéties de sa mésaventure, Mme Ghenima a tenu à rendre à César ce qui lui appartient, en rendant hommage au directeur de la police des frontières qui a eu une attitude responsable et positive, dans le sens où il a bien voulu l’écouter avant de lui présenter les excuses de la Direction.
« Bien au fait de sa mission et connaissant parfaitement les aspects juridiques des procédures aux frontières, le directeur de la police des frontières a reconnu que l’agent policier a outrepassé ses prérogatives et a abusé de son statut. Des mesures adéquates vont être prises, afin que des situations similaires ne se répètent pas », nous a déclaré en substance Sana Ghenima avant d’ajouter « qu’elle se sent rassurée, tout en demeurant vigilante, car il s’agit d’une question de principes qu’il ne faut pas transgresser ».
Sana Ghenima, PDG d’une société spécialisée dans l'édition numérique et interactive et élue en 2008 femme d’affaires de l’année, nous a contactés en début d’après-midi d’aujourd’hui, lundi 8 avril 2013 pour donner certaines précisions sur ce qui s’est passé hier dimanche à l’aéroport de Tunis-Carthage. Tout en rappelant les péripéties de sa mésaventure, Mme Ghenima a tenu à rendre à César ce qui lui appartient, en rendant hommage au directeur de la police des frontières qui a eu une attitude responsable et positive, dans le sens où il a bien voulu l’écouter avant de lui présenter les excuses de la Direction.
« Bien au fait de sa mission et connaissant parfaitement les aspects juridiques des procédures aux frontières, le directeur de la police des frontières a reconnu que l’agent policier a outrepassé ses prérogatives et a abusé de son statut. Des mesures adéquates vont être prises, afin que des situations similaires ne se répètent pas », nous a déclaré en substance Sana Ghenima avant d’ajouter « qu’elle se sent rassurée, tout en demeurant vigilante, car il s’agit d’une question de principes qu’il ne faut pas transgresser ».