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CâEUR(TM)est officiel, lâEUR(TM)Arab Field School de Sidi Bou Saïd ferme ses portes en Juin 2012
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Il y a du nouveau quant au devenir de l’Arab Field School de Sidi Bou Saïd, l’Institut diplomatique américain qui assure l’apprentissage de la langue arabe aux diplomates américains appelés à travailler dans le monde arabe. Dans un communiqué posté sur le site web de l’ambassade des Etats Unis d’Amériques en Tunisie, les autorités américaines soulignent que l’établissement fermera ses portes en juin 2012 et plus précisément vers la fin de l’année scolaire 2011-2012.
Dans le communiqué, on lit ce qui suit : « Suite à une analyse approfondie du niveau de l'enseignement de la langue arabe, et en réponse aux intérêts des étudiants de fournir plus de souplesse et plus d'options, un enseignement avancé de la langue arabe sera maintenant offert au Moyen-Orient et Afrique du Nord au sein de plusieurs programmes régionaux dans les universités et les instituts privés. Nous nous attendons à ce que certains élèves continuent à poursuivre l'instruction avancée de la langue arabe dans des établissements privés à Tunis ».
Et le communiqué de préciser : « La décision de fermer l’institut diplomatique, qui a été établi à Tunis depuis 1975, était un choix difficile certes, mais qui reflète la disponibilité croissante d'alternatives de formation au niveau régional et aussi l'avantage que l'immersion dans le dialecte local puisse accorder à chaque élève dans la mission prévue. Le Département d'Etat s'est engagé à un programme d’apprentissage des langues efficace en estimant que cette nouvelle approche soit pratique, solide sur le plan pédagogique, favorable à la famille, et permettra aux diplomates affiliés de maiîtriser des dialectes régionaux appropriés à leurs missions respectives ».
Cela confirme ce qui a été publié, il y a une semaine, par Business news (lire notre article à ce sujet). Seulement voila : les raisons invoqués, par le communiqué, contredisent les déclarations d’un diplomate américain, reprise par le quotidien panarabe "Al-Quds Al-Arabi", qui stipulent que cette décision aurait dû être prise sur le fondement d’une lettre envoyée par 52 diplomates américains inscrits à l’Institut et dans laquelle ils ont réclamé le transfert de l’institut vers Amman (Jordanie) ou vers Le Caire (Egypte) étant donné que ces deux pays entretiennent des relations diplomatiques avec Israël.
Qu’il s’agisse d’une décision sur fond politique ou linguistique, une chose est sûre, les diplomates américains ne parleront plus, dans un futur proche, notre langue à nous, les Tunisiens !
Dans le communiqué, on lit ce qui suit : « Suite à une analyse approfondie du niveau de l'enseignement de la langue arabe, et en réponse aux intérêts des étudiants de fournir plus de souplesse et plus d'options, un enseignement avancé de la langue arabe sera maintenant offert au Moyen-Orient et Afrique du Nord au sein de plusieurs programmes régionaux dans les universités et les instituts privés. Nous nous attendons à ce que certains élèves continuent à poursuivre l'instruction avancée de la langue arabe dans des établissements privés à Tunis ».
Et le communiqué de préciser : « La décision de fermer l’institut diplomatique, qui a été établi à Tunis depuis 1975, était un choix difficile certes, mais qui reflète la disponibilité croissante d'alternatives de formation au niveau régional et aussi l'avantage que l'immersion dans le dialecte local puisse accorder à chaque élève dans la mission prévue. Le Département d'Etat s'est engagé à un programme d’apprentissage des langues efficace en estimant que cette nouvelle approche soit pratique, solide sur le plan pédagogique, favorable à la famille, et permettra aux diplomates affiliés de maiîtriser des dialectes régionaux appropriés à leurs missions respectives ».
Cela confirme ce qui a été publié, il y a une semaine, par Business news (lire notre article à ce sujet). Seulement voila : les raisons invoqués, par le communiqué, contredisent les déclarations d’un diplomate américain, reprise par le quotidien panarabe "Al-Quds Al-Arabi", qui stipulent que cette décision aurait dû être prise sur le fondement d’une lettre envoyée par 52 diplomates américains inscrits à l’Institut et dans laquelle ils ont réclamé le transfert de l’institut vers Amman (Jordanie) ou vers Le Caire (Egypte) étant donné que ces deux pays entretiennent des relations diplomatiques avec Israël.
Qu’il s’agisse d’une décision sur fond politique ou linguistique, une chose est sûre, les diplomates américains ne parleront plus, dans un futur proche, notre langue à nous, les Tunisiens !
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