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France Télécom, Orange Tunisie et SupâEUR(TM)Com : après la signature, la concrétisation

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Le jour du lancement, au grand public, des services d’Orange Tunisie a été marqué par la signature d’une convention-cadre de partenariat entre France Télécom et une des plus grandes écoles supérieures tunisiennes de formation d’ingénieur en TIC, l’Ecole Supérieur des Communications de Tunis (Sup’Com).
Une convention d’une durée de cinq ans et couvrant une large palette d’une coopération qui ne manquera pas d’être fructueuse pour les deux parties. Des domaines allant de la formation initiale au recrutement, en passant par la formation continue et la recherche. Certes, un programme d’actions sera défini pour chacun des domaines, chaque année par un comité conjoint regroupant des représentants de France Télécom, d’Orange Tunisie, de l’Ecole Supérieure des Communications de Tunis et du ministère des Technologies de la Communication. Sachant qu’il n’y a pas de budget global pour l’ensemble de la convention. Le financement des actions sera déterminé en fonction du cas par cas, du nombre des étudiants, des projets de fin d’études.....Il n’y aura pas de cadre budgétaire uni, au regard des signataires de la convention. En tous les cas, il s’agit d’une première pour la Sup’Com qui signe un partenariat avec un grand groupe privé, tel France Télécom. Un Partenariat Publi-Privé dont les perspectives offertes seront sans doute au bénéfice des étudiants, futurs ingénieurs tunisiens, mais aussi au profit du deuxième opérateur privé de téléphonie, Orange Tunisie, et sa maison mère France-Télécom.
Selon les termes de la convention, les cadres d’Orange Tunisie et de France Télécom, participeront à la formation des élèves de l’école, à titre gracieux pour que nos étudiants dans le domaine des télécommunications et des TIC soient au courant des dernières nouveautés d’une part, et d’autre part d’être en phase avec des thèmes avants gardistes, comme l’a précisé Mme Sihem Guemara El Fatmi, Directrice de Sup’Com. Un des thèmes, justement avant gardiste, retenu et pour lequel, une chaire sera créée au sein de l’école, c’est la télémédecine.
D’un autre côté, et partant du principe que l’emploi et notamment des diplômés du supérieur demeure la priorité nationale absolue, Orange Tunisie et France Télécom se sont engagés à accueillir des stagiaires de l’école. La première a d’ores et déjà accueilli quatre élèves, et envisage d’en prendre une quinzaine, au cours de la période d’été. Mais outre les stages, les deux entreprises ont décidé de recruter des ingénieurs issus de la Sup’Com. Aussi, à partir du mois de septembre prochain, on assistera à une vague de recrutements chez Orange Tunisie. Par contre France Télécom ouvre la possibilité aux ingénieurs de la Sup’Com de se porter candidats dans le cadre du programme Inter Graduate Telecom, dont la finalité est de recruter 60 hauts cadres diplômés du monde entier.
Après la candidature, les ingénieurs font l’objet d’une évaluation sur la base de laquelle, ils se verront offrir un parcours professionnel de cinq ans, suivi de très près par France Télécom pour accéder, par la suite, à des postes de hautes responsabilités dans le groupe France Télécom, dans les 30 pays où, il est implanté. Un programme dont le dépôt des candidatures sera ouvert, en novembre prochain.
La convention prévoit, par ailleurs, la participation de France Télécom à des forums de recrutement au sein de l’école, à Tunis et la conduite de projets de recherche en liaison avec les programmes menés par l’école avec l’Institut Telecom.
En d’autres termes, France Télécom sera appelée à accueillir des étudiants dans le cadre de projets de fins d’études, dans l’un des 33 objets de recherche qu’elle a fixés. Elle contribuera, aussi, à l’adéquation entre les équipes de recherches d’une part, les thèmes de la recherche de l’autre et les besoins de chacun, y compris les opérateurs de téléphonie en Tunisie.
S’agissant de la formation continue, un autre domaine couvert par la convention, il est entendu que la Sup’Com assurera les besoins d’Orange Tunisie en matière de formation de ses ingénieurs en leur dispensant une formation qualifiante les aidant à évoluer dans leur carrière.
Une convention d’une durée de cinq ans et couvrant une large palette d’une coopération qui ne manquera pas d’être fructueuse pour les deux parties. Des domaines allant de la formation initiale au recrutement, en passant par la formation continue et la recherche. Certes, un programme d’actions sera défini pour chacun des domaines, chaque année par un comité conjoint regroupant des représentants de France Télécom, d’Orange Tunisie, de l’Ecole Supérieure des Communications de Tunis et du ministère des Technologies de la Communication. Sachant qu’il n’y a pas de budget global pour l’ensemble de la convention. Le financement des actions sera déterminé en fonction du cas par cas, du nombre des étudiants, des projets de fin d’études.....Il n’y aura pas de cadre budgétaire uni, au regard des signataires de la convention. En tous les cas, il s’agit d’une première pour la Sup’Com qui signe un partenariat avec un grand groupe privé, tel France Télécom. Un Partenariat Publi-Privé dont les perspectives offertes seront sans doute au bénéfice des étudiants, futurs ingénieurs tunisiens, mais aussi au profit du deuxième opérateur privé de téléphonie, Orange Tunisie, et sa maison mère France-Télécom.
Selon les termes de la convention, les cadres d’Orange Tunisie et de France Télécom, participeront à la formation des élèves de l’école, à titre gracieux pour que nos étudiants dans le domaine des télécommunications et des TIC soient au courant des dernières nouveautés d’une part, et d’autre part d’être en phase avec des thèmes avants gardistes, comme l’a précisé Mme Sihem Guemara El Fatmi, Directrice de Sup’Com. Un des thèmes, justement avant gardiste, retenu et pour lequel, une chaire sera créée au sein de l’école, c’est la télémédecine.
D’un autre côté, et partant du principe que l’emploi et notamment des diplômés du supérieur demeure la priorité nationale absolue, Orange Tunisie et France Télécom se sont engagés à accueillir des stagiaires de l’école. La première a d’ores et déjà accueilli quatre élèves, et envisage d’en prendre une quinzaine, au cours de la période d’été. Mais outre les stages, les deux entreprises ont décidé de recruter des ingénieurs issus de la Sup’Com. Aussi, à partir du mois de septembre prochain, on assistera à une vague de recrutements chez Orange Tunisie. Par contre France Télécom ouvre la possibilité aux ingénieurs de la Sup’Com de se porter candidats dans le cadre du programme Inter Graduate Telecom, dont la finalité est de recruter 60 hauts cadres diplômés du monde entier.
Après la candidature, les ingénieurs font l’objet d’une évaluation sur la base de laquelle, ils se verront offrir un parcours professionnel de cinq ans, suivi de très près par France Télécom pour accéder, par la suite, à des postes de hautes responsabilités dans le groupe France Télécom, dans les 30 pays où, il est implanté. Un programme dont le dépôt des candidatures sera ouvert, en novembre prochain.
La convention prévoit, par ailleurs, la participation de France Télécom à des forums de recrutement au sein de l’école, à Tunis et la conduite de projets de recherche en liaison avec les programmes menés par l’école avec l’Institut Telecom.
En d’autres termes, France Télécom sera appelée à accueillir des étudiants dans le cadre de projets de fins d’études, dans l’un des 33 objets de recherche qu’elle a fixés. Elle contribuera, aussi, à l’adéquation entre les équipes de recherches d’une part, les thèmes de la recherche de l’autre et les besoins de chacun, y compris les opérateurs de téléphonie en Tunisie.
S’agissant de la formation continue, un autre domaine couvert par la convention, il est entendu que la Sup’Com assurera les besoins d’Orange Tunisie en matière de formation de ses ingénieurs en leur dispensant une formation qualifiante les aidant à évoluer dans leur carrière.
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