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HSBC obtient le feu vert pour sâEUR(TM)implanter en Algérie. La BIAT et Amen Bank attendrontâEUR¦
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La banque britannique HSBC vient d’obtenir le feu vert pour s’implanter en Algérie, apprend-on dans la presse algérienne d’aujourd’hui.
HSBC se dote d’un capital social de 2,5 milliards de dinars algérien (10 DA = 0,187 dinar tunisien), minimum requis par la législation bancaire algérienne. Elle s’engage à se tenir à la stratégie soumise au Conseil algérien de la monnaie et du crédit pour porter sa capitalisation à 3,671 milliards de DA à sa troisième année de présence « active » sur le marché algérien.
Ce feu vert accordé à la banque britannique arrive à un moment où les autorités algériennes ont décidé de surseoir l’octroi de toute nouvelle autorisation, ce qui avait pour effet de « bloquer » les deux banques tunisiennes BIAT et Amen Bank.
On rappelle à ce propos les déclarations de Mme Fatiha Mentouri, ministre algérienne chargée de la Réforme financière : « Il faudra observer une pause dans la délivrance d'agréments aux banques étrangères, le temps d'évaluer les besoins réels du marché et le nombre de banques nécessaires dont nous avons besoin. Cette décision n'est qu'un arrêt momentané afin de permettre une meilleure visibilité sur le marché financier national », disait-elle il y a à peine deux mois.
Comme nous l’avons précédemment souligné (lire notre article à ce sujet), nos banques s’interrogent sur leur implantation en Algérie à la lumière de cette nouvelle donne. L’autorisation accordée à la HSBC annonce-t-elle le déblocage de la situation (ce qui ouvre la voie à nos deux banques et peut-être d'autres encore en Tunisie) ou bien ne s’agit-il que d’une exception accordée aux Britanniques, ce qui n'est pas improbable ?
HSBC se dote d’un capital social de 2,5 milliards de dinars algérien (10 DA = 0,187 dinar tunisien), minimum requis par la législation bancaire algérienne. Elle s’engage à se tenir à la stratégie soumise au Conseil algérien de la monnaie et du crédit pour porter sa capitalisation à 3,671 milliards de DA à sa troisième année de présence « active » sur le marché algérien.
Ce feu vert accordé à la banque britannique arrive à un moment où les autorités algériennes ont décidé de surseoir l’octroi de toute nouvelle autorisation, ce qui avait pour effet de « bloquer » les deux banques tunisiennes BIAT et Amen Bank.
On rappelle à ce propos les déclarations de Mme Fatiha Mentouri, ministre algérienne chargée de la Réforme financière : « Il faudra observer une pause dans la délivrance d'agréments aux banques étrangères, le temps d'évaluer les besoins réels du marché et le nombre de banques nécessaires dont nous avons besoin. Cette décision n'est qu'un arrêt momentané afin de permettre une meilleure visibilité sur le marché financier national », disait-elle il y a à peine deux mois.
Comme nous l’avons précédemment souligné (lire notre article à ce sujet), nos banques s’interrogent sur leur implantation en Algérie à la lumière de cette nouvelle donne. L’autorisation accordée à la HSBC annonce-t-elle le déblocage de la situation (ce qui ouvre la voie à nos deux banques et peut-être d'autres encore en Tunisie) ou bien ne s’agit-il que d’une exception accordée aux Britanniques, ce qui n'est pas improbable ?
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