
L’avocate et membre du comité de défense des martyrs Chokri Belaid et Mohamed Brahmi, Imen Gzara est victime de menaces terroristes.
Plusieurs activistes de la société civile ont exprimé leur solidarité avec Imen Gzara assurant qu’ils ne permettront aucune atteinte à la jeune dame, tout en rappelant le rôle qu’elle joue pour révéler la vérité autour des deux assassinats politiques.
Rappelons que Me Imène Gzara, membre du comité de défense dans l’affaire des deux martyrs Chokri Belaid et Mohamed Brahmi, a annoncé que 33 individus, dont le chef du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, sont « officiellement accusés d’appartenance à une organisation terroriste ».
Dans une déclaration donnée le 28 juin 2022, Me Gzara a annoncé que « le premier juge d’instruction au bureau 23 du Pôle judiciaire antiterroriste a prononcé 17 chefs d’accusation contre 33 suspects, dont notamment l’appartenance à une organisation terroriste et le blanchiment d’argent ». Lors d’un point de presse tenu le 1er juin, le comité de défense des assassinats politiques Belaïd et Brahmi avait annoncé que 33 accusés dans l’affaire dite de « l’appareil secret » du mouvement Ennahdha, dont Rached Ghannouchi, ont été interdits de voyage.
Selon le comité de défense, le ministère de l’Intérieur avait refusé de donner suite à 17 demandes judiciaires, en vue de fournir à la justice des documents se rapportant aux circonstances de l’assassinat de Mohamed Brahmi, et d’autres liés à « l’affaire de l’appareil du mouvement Ennahdha ». Le département de l’Intérieur sera poursuivi, annonce le comité.
S.H
Ils doivent être tous connus à ceux d'Ennahdha et des autres partis politiques, par le visage, par l'identité, par l'adresse, par les lieux de travail, par les endroits de leurs repos et de leurs loisirs, par l'itinéraire de leurs quotidiens, par les marchés qu'ils fréquentent, par les membres de leurs familles et même par les vidéos, où ils se bousculent d'eux-mêmes pour être médiatisés. Malgré tout, ils n'ont même pas été poussés dans la rue, par l'un de ce fameux appareil secret d'Ennahdha, dont ils prétendent l'existence d'eux-mêmes. Non, ils ne leur ont rien fait de mal, au point qu'ils les ont encouragés à perdurer dans leurs mensonges durant ces longues dernières 9 années. Mais pourquoi, ce n'est que maintenant qu'ils les menacent et qui les intimident, non pas du côté des milices de Kaïs Saïed, mais du côté de l'inefficace parti à terre d'Ennahdha?
Allahou Aâlèm !!! Peut-être que ce sont les vrais meurtriers de Belaïd et de Brahmi, qui veulent les doter d'une protection policière aux frais des contribuables tunisiens!!!
La question que devrait se poser à soi-même, n'importe quel être humain possédant un seul iota de ses facultés mentales : «pourquoi menacer maintenant, ce qu'ils n'avaient jamais menacé depuis 2013, bien qu'ils soient eux-mêmes menacés par les milices de Falloujah de Kaïs Saïed?».
Je jure au Nom d'Allah le Tout Puissant, que je ne connais pas cette femme avocate Imen Gzara, ni que je n'en ai jamais entendu parler d'elle. Mais qui veut parier avec moi, qu'elle doit être une des soutiens de ce projet putschiste du référendum illégal, illégitime et anticonstitutionnel du président Kaïs Saïed et que son théâtre, y va en adéquation avec toute sa vie de bluffeuse et de menteuse!!!
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Retourne à l'école !
Sinon, peux-tu m'expliquer cette fameuse phrase écrite par notre chater national : "Les Tunisiens sont spécialisés par faire croire à quelqu'un qui ment, qu'ils le croient."
C'est sans doute une traduction de l'arabe de ta "pensée" étriquée.
Je lis juste le titre de tes interventions foireuses et débiles et cela suffit pour apprécier ton immense savoir et ta grande valeur.
Du satrape Ghannouchi qui à chaque fois évoque le péril de la guerre civile, et aussitôt des personnes font l'objet de menaces terroristes.
Ainsi de Mongi Rahoui, et de madame Gzara.
Ces criminels ne cesseront que lorsqu'on démontrera leurs cellules et l'officine secrète.
D'où l'on peut associer dans le même péril, la magistrature, des éléments de l'intérieur, et sans doute nombre de complices directs et indirects ayant placé et pouvoir dans des appareils d'Etat.
Pour le dire différemment, leur force ou puissance a sa source dans le noyautage des appareils d'Etat dont personne ne semble prendre la mesure.
Il ne suffira pas de tourner la page avec un référendum, ce serait en dessous des exigences de la situation.
Il convient de dissoudre tous les organes de l'islamisme.
'?purer les administrations, la magistrature, n'en déplaise aux "démocrates", comme chacun avait accepté en son temps la dénazification en Allemagne.
Même si, comme chacun sait, cela demande un travail d'enquête et d'identification des personnes et des réseaux, et qu'il s'agira d'un labeur long et complexe.
Nettoyer, épurer, débarrasser le pays de ce fascisme, et laisser braire.
Parce que c'est un peu trop facile de nous faire le coup de l'inclusion, de la démocratie, du respect des droits.
Peut-on, doit-on, accepter la terreur, les meurtres, les vols et les violences dans tous les registres, de gens qui réclament pour eux la paix, le respect, le droit ?
Des incompétents, dénués de toute objectivité.
Disons on va les laisser BRAIRE.
Mais puisqu'ils ont dit à Feu Beji Caid Essebsi d'éviter de mettre la Tunisien à Feu et au sang, donc il faut camoufler l'affaire et bâcler l'affaire pour qu'en fin de compte les commanditaires ne soient pas traduits devant la justice.
Donc la question feu et de sang n'est que simple baratin qui n'arrange pas nahdha ni ceux qui profitent, et ont profité, de nahdha. D'ailleurs à chaque occasion nahdha nous menace par le feu....
C'est une URGENCE absolue.
La war... machin et ses semblables doit aller se cacher.
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Nous sommes TOUS, Imen Gzara.
Enfin, pas tous il faut déduire la racaille islamiste.
Les maux de la Tunisie c'est l'islam politique
Tant que Ghannouchi est vivant la Tunisie n'a aucun issu.
Que Dieu nous se deparasse des khounjias le plutôt possible......amen

