
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, jeudi 2 septembre 2021, Ridha Gharsellaoui, chargé de diriger le ministère de l'Intérieur, qui était accompagné de Sami Hichri, directeur général de la sécurité nationale et de Mourad Hassine, directeur général de la sécurité publique.
Le chef de l'Etat a souligné, à cette occasion, la nécessité de gérer les manifestations dans le cadre de ce qui est fixé par la loi et de respecter les droits des citoyens à manifester pacifiquement et à la liberté d'expression.
Il a aussi souligné, selon le communiqué de Carthage, la nécessité d'adopter une nouvelle approche qui garantisse les fondements de l'Etat de droit, consolide les principes de la sécurité républicaine, préserve l'ordre et la sécurité, protège les citoyens et leurs biens, et leur assure l'exercice de leurs droits et libertés.
Rappelons que des accrochages ont eu lieu, hier, lorsque la police a tenté de disperser quelques dizaines de jeunes devant le théâtre municipal de Tunis, les empêchant aussi de manifester dans l’avenue Habib Bourguiba. Quelques manifestants ont été blessés durant les affrontements et des journalistes ont été empêchés de faire leur travail.
M.B.Z

le diktatour Qayselabidine ben Sayed, doit appliquer la loi d'abord.
son coup est hors la loi, la fermeture parlement, aljazeera ... hors la loi.
quelle hypocrite !!!
D'où est-ce que cela provient ? Alors que la Tunisie est endettée jusqu'au cou. Sourrak.
Le droit à la liberté d'expression, à la liberté de manifester, ce sont les acquis non négociables.
Espérons que les responsables sécuritaires, les donneurs d'ordre, retiennent le message, l'atmosphère tendue de haine ne sert pas l'intérêt général.
Cette mise au point était nécessaire pour avancer dans la clarté.
on n'est pas dans ta France zammourisée, dirigée controlée par les sionistes.
GROW UP !!!
Pas une aberration.
L'aberration, c'est eux.
Manifester contre ceux qui nous insultent dans nos convictions en nous qualifiant d'Azlem, c'est salutaire.
C'est même un réflexe démocratique de citoyen éclairé.
Nous autres, Azlem, nous n'appelons pas à vous tuer.
Nous demandons à ce que vous soyez jugés.
Jugés pour vos méfaits.
Devant le tribunal des hommes, vous devrez rendre compte de tous les illégalismes, les violences, les vols et les détournements de biens publics.
De la perversion des institutions, la justice, la police et les autres.
Dieu décidera ce qu'il veut, notre rôle est plus modeste, à la mesure de notre finitude.
Nous vous appliquons la loi des hommes.
C'est le destin des pays tiers-monde...