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Anis Kharbeche : les prix des agneaux varient entre 600 et 1.200 dinars
Le membre du bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (Utap), Anis Kharbeche a annoncé, jeudi 18 mai 2023, que les agneaux de sacrifice seraient disponibles en quantité suffisante pour couvrir les besoins des Tunisiens pour l’Aïd El Kebir.
Invité de la matinale de la Radio nationale, il a indiqué, au micro de Rim Ben Chaalia, que le nombre d’agneaux disponibles serait d’un million à 1,2 million, soit 80 à 85% des besoins. Il a, cependant, précisé que les prix seraient élevés en raison de la hausse des coûts de production.
Cette hausse est due, selon le représentant de l’Utap, à la rareté des fourrages verts de par le changement climatique et l’irrégularité des précipitations en plus de la pénurie et l’augmentation des prix des fourrages subventionnés.
« Le ballot de son de blé est vendu aux agriculteurs à cinquante dinars au lieu de douze dinars à cause des circuits de distribution », a-t-il avancé soulignant que la problématique des circuits de distribution a été soulevée par l’Utap depuis 2013, mais rien n’a été fait à ce niveau. « Cela fait dix ans que nous en parlons, sans qu'aucune mesure ne soit prise », a-t-il ajouté notant que les agriculteurs n’ont que 40% de leurs besoins en fourrages subventionnés et que le reste se vend hors circuit à des prix exorbitants. « Les cent kilos d’orge subventionnés se vendent à 130 dinars au lieu de 55 dinars », a-t-il assuré.
Anis Kharbeche a signalé que tous ces facteurs impacteraient les prix des agneaux de sacrifice. Ceux-ci se vendraient, selon le représentant de l’Utap, entre 600 et 1.200 dinars, soit 16 à 17 dinars le kilo.
N.J.
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Commentaires
Abidi
Mouton
a posté le 21-05-2023 à 12:04
Ce n'est ni une obligation religieuse ou éthique on peut s'en passer et cela n'a rien d'important pour faire couler de l'encre et inviter des gens a des interviews qui n'avancent en rien
Agatacriztiz
Soyons raisonnables
a posté le 18-05-2023 à 10:42
En 1963, en 1981 puis en 1996, feu le roi Hassan II s'adressait aux Marocains pour annoncer que l'Aïd Al Adha n'allait pas être célébré au Maroc.
Crise économique, sécheresse ou état du troupeau, sa décision était justifiée par le coût exorbitant qu'aurait représenté l'abattage sacrificiel de milliers d'ovins.
Nous sommes en crise économique et il faudrait, et faute d'aller au jusqu'au-boutisme d'interdire le sacrifice sur tout le territoire, d'avoir le courage d'inciter les tunisiens d'aller acheter ne serait-ce qu'un ou deux kilos de viande de mouton en lieu et place du sacrifice d'une bête, dans des conditions d'hygiène souvent douteuse, et pour beaucoup, éviter de s'endetter pour pouvoir le faire...
Crise économique, sécheresse ou état du troupeau, sa décision était justifiée par le coût exorbitant qu'aurait représenté l'abattage sacrificiel de milliers d'ovins.
Nous sommes en crise économique et il faudrait, et faute d'aller au jusqu'au-boutisme d'interdire le sacrifice sur tout le territoire, d'avoir le courage d'inciter les tunisiens d'aller acheter ne serait-ce qu'un ou deux kilos de viande de mouton en lieu et place du sacrifice d'une bête, dans des conditions d'hygiène souvent douteuse, et pour beaucoup, éviter de s'endetter pour pouvoir le faire...
Juan
vous avez dit sacrifice
a posté le 18-05-2023 à 10:35
manifestement vous n'avez rien compris à la Torah et ses mensonges.
sacrifice = perte. prix sacrifié = vente à perte.
ce mouton, vous allez le manger. donc pas de perte. donc pas de sacrifice.
dans la Torah, le mouton est brulé, "odeur agréable pour YHWH" ( Leviticus Ch. 1 ).
qui a falsifié quoi ?
sacrifice = perte. prix sacrifié = vente à perte.
ce mouton, vous allez le manger. donc pas de perte. donc pas de sacrifice.
dans la Torah, le mouton est brulé, "odeur agréable pour YHWH" ( Leviticus Ch. 1 ).
qui a falsifié quoi ?
