
Le président de l’Association des magistrats tunisiens (AMT), Anas Hmaidi, a exprimé sa joie, mercredi 10 août 2022, après la suspension, par le Tribunal administratif, de la décision de révocation qui a touché en juin 57 juges. La juridiction a, en effet, tranché en faveur de 47 juges sur un ensemble de 54 recours déposés.
Intervenant dans l’émission Midi Show sur Mosaïque FM, Anas Hmaidi a salué cette décision notant : « Le pouvoir judiciaire nous a rendu justice ». Il a ajouté, dans ce sens, que les juges concernés par la décision de suspension reprendraient leurs activités.
Les juges qui n’ont pas bénéficié de la suspension de la décision de révocation et dont le recours a été rejeté ne peuvent pas faire appel de la décision du Tribunal administratif mais pourraient, toutefois, déposer un nouveau référé-suspension, selon Kamel Ben Massoud, membre du comité de défense des magistrats révoqués.
Interpellé sur le rôle du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) dans cette affaire, Anas Hmaidi a rappelé que le CSM avait refusé toute implication dans cette injustice. « Le CSM a refusé d’approuver la révocation et a rejeté l’examen de cette décision en l’absence de dossier », a-t-il indiqué au micro d’Elyes Gharbi, soulignant qu’une cinquantaine des juges révoqués n’avaient même pas de dossier justifiant la décision du président de la République.
N.J.

N'oubliez jamais, qu'après la pluie, vient le beau temps.
Vive la Tunisie démocratique, arabe et musulmane de régime parlementaire. A bas le régime présidentiel.
https://www.youtube.com/watch?v=ZH7dG0qyzyg
Difficile d'y voir clair.
Sur le fond de cette affaire, on peut noter que Hmaidi relève que le CSM, dont on dit qu'il est une créature du Président donne l'illustration du contraire.
Du coup, ou Hmaidi est un flagorneur, et tous les suiveurs ayant entretenu cette fable des semaines durant le sont aussi.
Et alors, ces gens disposés à tout, et dont les faits montrent qu' ils ont sciemment menti sont coupables de mensonges et de menées de nature à semer le trouble.
Ou Hmaidi à volontairement, en sa qualité de représentant syndical ne recule devant aucun moyen pour se donner contenance, y compris mentir intentionnellement.
Qui faut-il croire ?
Hmaidi qui dit que le CSM est indépendant, ou le Hmaidi qui soutenait le contraire.
Enfin, il apparaît d'évidence que cette institution demeure l'instrument d'opposition sots les atours de revendication d'indépendance.
Quant à la ficelle usitée pour decredibiliser la décision du Président, elle fait partie du dispositif.
Et, on ne pourra seulement lettre en cause la ministre de tutelle, car les informations rassemblées et présentées pour l'élaboration de la décision ramènent de circuits internes de l'institution, aussi.
Il y faudrait un travail d'ebquete et d'analyse pour identifier les jeux et enjeux, et parvenir jusqu'au tireur de ficelle.
Ce n'est pas clair,disais-je.
Ce n'est pas propre.
Flousik oufèt!
Flousik oufèt!
Flousik oufèt!

