
Le professeur de droit constitutionnel, Amin Mahfoudh, a affirmé, lors de son passage dans l'émission "Jaweb Hamza", dimanche 12 mars 2023, qu'il était impossible de supprimer les blocs parlementaires au sein de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP), considérant que "les blocs ne sont pas une accusation, mais une nécessité pour gérer le travail du Parlement et éviter le chaos, en plus d'avoir une base constitutionnelle".
Amin Mahfoudh a également souligné que la démocratie est fondée sur la reddition des comptes, comme le stipule la Constitution de 2022, mais que le président de la République n'est pas soumis à cette base. Il a noté que "le système démocratique est la meilleure solution, tandis que le despotisme ne met pas fin à la corruption, mais la multiplie".
Il a ajouté : "Où est la loi... où est la corruption, car l'interdiction engendre le désir". Il a précisé, “je ne pense pas que Kaïs Saïed soutenait des orientations non démocratiques, mais qu'il a peut-être l'intention de purifier le pays de la corruption, puis d'aller vers la démocratie”.
Amin Mahfoudh a également noté que la Tunisie était entrée dans une nouvelle phase après 2011, à savoir la transition démocratique, qui comprenait certains acquis et de nombreuses déceptions, affirmant que "pendant la décennie dernière, il n'y avait pas une ferme conviction que la Tunisie serait un État démocratique, car la classe politique à l'époque ne visait pas la démocratie, mais cherchait à prendre le contrôle du pouvoir".
Le professeur de droit constitutionnel a considéré que le 25 juillet était une deuxième révolution, soulignant que le cadre juridique de l'époque était incapable de fournir des solutions aux problèmes existants, d'où la nécessité d'une nouvelle loi. Cependant, selon lui, le processus de la Constitution de 2022 n'a pas abouti à l'établissement d'un régime démocratique, mais à un régime dictatorial.
S.H
Pour faire une oeuvre artistique (ou meme un bon plat exquis, tel une mloukhiya) ... la patience est de mise ...
Rapidement ?
... c'est baclé.
Non.
D'abord, tracer les grandes lignes ... rectifier quelques fois, corriger, arranger, affiner, puis polir ...
...
En fait, vous etes comme la grande majorité de notre peuple :
Vous vous contentez "du travail fait" et sans plus.
Votre impatience le démontre ...
Mais, ... le travail bien fait ; l'art ; el fenna ; ceci n'est guere de votre ressort ... et je concoit tres bien que vous ne pouvez comprendre ceci ...
Vous aviez fermé les yeux sur les dépassements de la constitution par Kais Saied, vous vous êtes impliqués dans son projet illégal et quand ils vous a utilisé comme une serpillère pour faire passer son texte de constitution déjà prêt vous vous êtes réveillés de votre sommeil.
Alors que plusieurs (dont le PDL) vous ont clairement expliqué que ce que vous faisiez était illégal car ca ne reposait pas sur des agissements constitutionnels vous aviez choisi de faire la sourde oreille.
Votre nom sera à jamais gravé dans l'histoire de la Tunisie comme un traitre qui aurait dû dire NON dès le départ.
Toute cette morgue qui frôle l'entêtement, la suffisance de ceux qui "savent" au point de s'autoriser à décerner les bons points, de faire le partage entre ce qui est vrai, démocratique, et les opinions d'autrui, informent sur toute une caste.
Non contents de vivre de rentes de situation, avocats et hommes d'affaires, ce qui au regard de ce qui a lieu vont ensemble, chefs d'entreprise et à la tête d'une officine appelée Parti politique, propriétaires et fortunés, ils voudraient nous contraindre à subir leurs choix allant toujours dans le sens du renforcement de leur puissance jusqu à celui de leur abandonner le pouvoir.
Pour tenter de comprendre, on peut convoquer les sciences sociales, partir des faits et les rassembler, invoquer les passions primaires, ou bien en appeler aux gens sérieux en vue de nous éclairer par leurs analyses fines bâties sur des études de cas.
On peut choisir de tout laisser de côté et seulement faire le constat, faute de disposer des outils et moyens à cet d'effet, et trancher à partir de ce qui se donne à voir tant cela s'offre au regard de celui qui voudrait ne pas s'aveugler.
Notre société reste de type quasi-féodal, la bourgeoisie de ce pays est faussement éclairée, elle reste accrochée à ses rentes et avantages, mue par l'amour du lucre et méprisante pour le petit peuple misérable.
On les voit se battre pour gagner les places, bousculer tout sur leur passage, chercher par tout moyen à se maintenir dans leur place-forte passant leur temps et énergie à mener des guéguerres uniquement à partir et en vue de leurs seuls intérêts immédiats et si possible gagner sur l'autre et voir grossir sa fortune.
La bourgeoisie fut conquérante, elle supplanta l'aristocratie qui n'avait aucun égard pour elle ni pour sa passion de l'argent dont l'accumulation apparaissait le but suprême.
Une part de cette bourgeoisie transforma son destin singulier en destins nationaux, elle a su innover, créer, s'est ouverte à la modernité et contribué au maintien et développement de ses basé et fortune tout en diffusant au sein des sociétés quelques effets positifs dont certains figuraient dans son programme, comme élever le niveau de vie pour faire naître une ou des classes de consommateurs contents des quelques retombées et contre leur gré contributeurs au renforcement de sa puissance.
Elle a conquis le pouvoir, gagné les consciences par le ventre, et n'a de fesse de persévérer à la tête d'empirer s'assurant le pouvoir et la placidité du citoyen, devenu électeur.
Bref, notre bourgeoisie n'en est pas encore là. Elke demeure dans sa préhistoire, travaillée par des contradictions qui la font hésiter entre le saut dans une modernité enviable et le souci de se garder de quitter son entre gent et s'abaisser à consentir de vrais droits aux manants.
Oui, l'envie, cette passion dévorante, irrigue le schéma mental d'où découlent des attitudes et un comportement contradictoires, expression de ces hésitations entre un passé qui ne passe pas, et la passion de tout garder pour soi.
Le 25 juillet est le fruit d'une pensée megalomane pervers qui se ressource des dogmes burlesques creusées dans les doctrines perfides d'asservissement des peuples et leurs embetissement.
Demos, c'est le peuple, kratos c'est le pouvoir,
Evidement que vous connaissez l'histoire, mais vos petits cervelles se confortent bien dans vos appréhensions les plus tordues pour deformer la verité sur la noblesse des intentions de la demcratie.
La democratie c'est la cause de ceux dont la dignité est l'echine de leurs vies, helas les leches bottes des dictateurs ne pourrant jamais comprendre, oh combien sont nombreux, malheureusement.
Et sans les procès indispensables.
C'est des propos pour trouver des circonstances atténuantes à nahdha.
Pourquoi ce monsieur cherche à battre les cartes avant de les avoir déballées.
C'est la justice qui doit agir d'abord sinon cette vipère à sept têtes sera vulnérable.
Ya wildi nahdha mchat qui vous demande de défendre le diable ? kharrebou libled hal klab. damar chamel.
Bon débarras la Tunisie ne sera que soulagée. C'est l'indépendance la vraie.
L'expérience de la démocratie anarchique en Tunisie les 10 dernières années est un fiasco
II faut savoir quitter la table Lorsque l'amour est desservi Sans s'accrocher, l'air pitoyable
il faut savoir coûte que coûte Garder toute sa dignité
Et malgré ce qu'il nous en coûte S'en aller sans se retourner
Il faut savoir cacher ses larmes Mais, moi, mon coeur, je n'ai pas su.
2-IL y a aussi une belle chanson Franco-Anglaise du grand acteur ANTHONY QUINN en duo qui dit : Nous deux c'est fini .Nous c'est bien fini.Il faut se quitter nous deux c'est fini .(donc n'évoquer plus Kais SAIED).
3-Puisque vous avez utilisé ,antérieurement la chanson de DALIDA, pour se plaindre de la non prise en compte ,par Kais Saied de votre brouillon de constitution,je vous eclaire qu'il s'agit d'une reprise de la chanson originale de la chanteuse folk américaine MELANIE SAFKA,(trés connue pour son grand tube LAY DOWN,candles in the rain) :WHAT HAVE THEY DONE TO MY SONG.la chanson dit :
Regarde ce qu'ils ont fait à ma chanson
Eh bien, c'est la seule chose que je pouvais faire à moitié bien
Et ça tourne mal, ma
Regarde ce qu'ils ont fait à ma chanson
Regarde ce qu'ils ont fait à mon cerveau
Eh bien, ils l'ont choisi comme un os de poulet
Et je pense que je suis à moitié fou, ma
Regarde ce qu'ils ont fait à mon cerveau
Ils ont changé ma chanson, ma
Ils ont changé ma chanson
C'est la seule chose que je peux faire
Et ce n'est pas bon, ma.
Cette chanson pourrait refleter votre état psychique et votre amertume ,et pourrait expliquer le refus de votre brouillon (c'est la seule chose que vous pouvez faire à MOITIE bien)
4-Vos déclarations refletent un état psychique (sentiments de frustration et amertume) et sont trés subjectifs et n'ont aucun fondement ni constitutionnel,ni politique ni logique,,et je vous explique pourqoui:
a-La situation en Tunisie est régie par la nouvelle constitution et le decret 117 encore en vigueur.Et aucun de ces textes n'indique l'organissation d'élections présidentielles aprés la promulgation de la nouvelle constitutions.Donc laissez vos suppositions et spéculations érronnées avec vous car la présidence de la république n'est pas un jeu.
b-Vous saviez bien, et depuis le mois d'avril, qu'une nouvelle constitution sera promulguée , mais vous n'avez jamais evoqué la nécessité d'élections présidentielles aprés la promulgation de la nouvelle constitution. Donc cette nouveauté trés etrange n'est qu'une réaction subjective et émotionnelle suite au rejet de votre brouillon (Il faut savoir cacher ses larmes Mais, moi, mon coeur, je n'ai pas su).
c-Le mandat du président est basé sur les resultats des élections présidentielles de 2019 pour CINQ ans, et d'aprés ce que je sais la nouvelle constitution n'a pas ANNULE les élections présidentielles de 2019.
Or le président Kais Saïed est confronté à beaucoup de problèmes dans la société tunisienne, et ces hommes et femmes politiques corrompus, et n'admettent pas que la loi interdit certaines pratiques viscérales ancrées dans leurs m'?urs.
Kais Saïed n'est nullement un dictateur, un homme qui veut que la justice s'applique pour tous les citoyens, une fois où ce message serait compris, et le respect des lois et se conduisent en bons citoyens responsables,là nous pouvons réclamer la démocratie.
On peut ne pas être d'accord avec Said, mais, de là, parler d'échec en parlant de lui, je trouve cela non seulement mensonger, mais indigne d'un mec qui prétend travailler à l'Université. Je ne connais pas ton grade universitaire Mahfoudh, mais, tu ne peux pas avoir le grade de Professeur, sinon, c'est par de la triche que tu l'es devenu. Dans tous les cas, tu fais honte à l'Université tunisienne.
de consultation notamment L'UGTT. il espère toujours raisonner KS. il est d'une naïveté incommensurable qui n'a d'égal que son envie d'échapper à une condamnation morale voire judiciaire.
Je ne doute pas de son engagement pour un régime démocratique mais de grace arrêtez de parler de stratégie politique vous avez déjà montré votre insuffisance. Continuez à parler de votre conception de la démocratie sans plus.
Quand il critique ceux qui haussent le ton face à ce régime, il me rappelle MOTHFFER ENNAWAB quand il dit FAMA ACHRAFAKOM AWLAD .....HAL TASKOTOU MO8TASSABA.
La question lui a été posée sur l'éventualité d'une dérive autoritaire. Il a répondu MANACH BICH NOSKTOULOU. Aujourd'hui il dénigre la virulence des critiques. Il nous demande d'espérer d'hypothétiques bonnes intentions de KS(à la façon des kaisistes). Il devient l'allié objectif de KS.
Parfois, la tentation de trop solliciter le propos, le texte, devient manipulation.