sés par la crise socio économique que traverse le pays Au nom de la Révolution la gent artistique hachich wou rich revendique le droit de se produire sur la scène du Théâtre romain de Carthage La manière dont le festival fonctionne est empirique Il n'y a pas d'équipe permanente pas de cerveau pour imaginer et conduire dans la permanence des équipes prospecter et faire des montages financiers sérieux vérifiables et contrôlables pour tous les programmes. Il est impératif de séparer l'Administration culturelle du festival en tant q'Institution: un préalable pour un fonctionnement régulier productif de qualité sur toute l'année. Nommer un Directeur à quelques mois de l'Ouverture c'est du bricolage: un Directeur devrait être recruté pour un mandat de 3 s renouvelable à l'appui d'une vision et une politique indiquant les tenants et aboutissants de son Action en tant qu'opérateur artistique et culturel,bref il faudrait de l'imagination , beaucoup d'imagination ,hélas l'imagination n'est pas au POUVOIR !

Nommée en qualité de directrice du Festival international de Carthage dans sa 53ème édition, Amel Moussa, poétesse et chercheuse universitaire, a présenté, aujourd’hui lundi 6 mars 2017, sa démissions.
Dans une déclaration accordée à Radio Mosaïque Fm, Mme Moussa a donné les principales raisons de son désistement et qui résident dans « l’impossibilité d’accomplir sa mission dans de bonnes conditions à cause de l’ingérence des conseillers du ministère des Affaires culturelles dans ses choix », ce qui met en cause, selon elle, l’indépendance du festival.
Elle assure qu’elle a accepté le poste après avoir eu des garanties formelles et personnelles de la part du ministre. Mais après avoir entamé son action pour réaliser une saison « digne du prestigieux festival », une guerre des nerfs s’est instaurée, il y a deux mois, avec le ministre l’empêchant de mener à bien sa mission comme elle l’entend.
Et après avoir indiqué que le festival est plus grand qu’elle, que le ministre et tous ceux qui travaillent au département, Amel Moussa a annoncé la tenue d’une conférence de presse, demain mardi 7 mars 2017, pour parler plus en détails de sa démission.
S.H
Commentaires (4)
Commenteryamma goul lilbabay nemchou lekhla3a halg el oued wou cartage nourgued 3al gaa3a
sés par la crise socio économique que traverse le pays Au nom de la Révolution la gent artistique hachich wou rich revendique le droit de se produire sur la scène du Théâtre romain de Carthage La manière dont le festival fonctionne est empirique Il n'y a pas d'équipe permanente pas de cerveau pour imaginer et conduire dans la permanence des équipes prospecter et faire des montages financiers sérieux vérifiables et contrôlables pour tous les programmes. Il est impératif de séparer l'Administration culturelle du festival en tant q'Institution: un préalable pour un fonctionnement régulier productif de qualité sur toute l'année. Nommer un Directeur à quelques mois de l'Ouverture c'est du bricolage: un Directeur devrait être recruté pour un mandat de 3 s renouvelable à l'appui d'une vision et une politique indiquant les tenants et aboutissants de son Action en tant qu'opérateur artistique et culturel,bref il faudrait de l'imagination , beaucoup d'imagination ,hélas l'imagination n'est pas au POUVOIR !
La répudiation (d'après le roman de Rachid Boujedra)
Mohamed Zine El Abidine, cet homme qui a comparé son ancien maître Ben Ali au philosophe allemand Friedrich Nietzsche, c'est à peu de choses près, si vous vous y mettiez à comparer BCE au philosophe français Montaigne, on se rend bien compte qu'à couvrir de confiture Ben Ali ou BCE, il y aurait des risques à ce que vous soyez à votre tour entachée de cette confiture. (Notez bien au passage que Ghanouchi a été comparé par les siens de Gandhi et le vieux à l'air d'y croire)
Assurément, c'est ce qui vous est arrivé en acceptant la direction du Festival international de Carthage, vous acceptiez la marmite dans laquelle votre ministre allait vous faire cuire à petit feu.
Il est possible que vous trouviez maintenant la sauce un peu chaude,épaisse et peut-être trop épicée à la fois et que vous désiriez quitter dare-dare la marmite, la conséquence est de peu d'effet, d'autres moins naïves que vous sont déjà dans le couloir ministériel à attendre depuis des jours que l'ancien ministre de Ben Ali les fasse entrer à son cabinet.
Que puis-je vous dire d'autre, madame la poétesse ? Bienvenue au club des cocues, après tout, être cocue au ministère de la culture est une règle plus qu'une exception !
Débat
IL EST CLAIRR QUE CE FESTIVAL N'EN EST PLUS UN DEPUIS DE NOMBREUSES ANNEES !
Ni celui-ci, ni celui de l'Acropolium, d'ailleurs.
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Je ne me souviens que trop bien des Artistes (des vrais !) qui animaient nos soirées culturelles tout au long de la durée de l'évènement.
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Et les programmes étaient bien chargés !
De véritables "stars" de la chanson ou de groupes musicaux s'y produisaient.
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À l'Acropolium, les symphonies étaient jouées à la perfection par de vrais professionnels.
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De nos jours, il n'en est rien.
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Du bas de gamme ; soirées mixtes (étrangère et locale ; ça coûte moins cher pour remplir la soirée) ; quelques fausses notes ...
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SIC !
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URMAX