
L’avocat et membre du comité de défense de Béchir Akremi, Abderrazak Kilani a indiqué que le service de l’Hôpital psychiatrique Razi au sein duquel se trouvait son client était encerclé par les forces de l’ordre. Dans une déclaration accordée le 24 février 2023 à Business News, Abderrazak Kilani a précisé qu’il s’agissait de policiers en civil et que ces derniers avaient pris d’assaut le service en question.
Présent également sur les lieux, l’avocat et membre du même comité de défense, Ali Ben Mansour a assuré que son client avait été admis au sein de l’hôpital en question alors qu’il avait été maintenu par le ministère public en liberté. Il a expliqué que le comité de défense de Béchir Akremi n’avait pas pris connaissance des raisons de l’encerclement du service hospitalier. Il a indiqué que des policiers étaient postés devant sa chambre.
« Pour le moment, nous ne savons qu’une seule chose : cet homme était maintenu en liberté. Son état de santé est déplorable. Il doit être traité. Les équipes médicales sont présentes sur place. Il ne peut pas bouger... Son état de santé ne lui permet pas d’être à disposition des forces de l’ordre… La justice avait décidé de le maintenir en liberté… Il peut être transporté vers une clinique privée ou vers un hôpital public », a-t-il ajouté.
S.G
Deux ou trois jours plus tard, on l'a vu bien portant, tel un bison en pleine force de l'age, dévorant toute une prairie !
Arrêtez un peu de prendre les pas cons, pour des cons.
Les médias se relaient sans interruption.
C'est ce que l'on appelle le droit d'accès à l'information.
L'intéressé est " pris en otage " par une armada de sécuritaires sans que l'on sache de quoi il est soupçonné ou accusé.
En constatant ce qui de passe actuellement, dans le pays, on ne se sent pas vraiment en sécurité.
'?a craint pour n'importe qui.
'?a devient dangereux de "vivre" dans un pays complètement pollué par le désordre et l'anarchie.
Par exemple, les poursuites contre des sécuritaires qui auraient "torturé" certains terroristes.
C'est un procureur contre la nation, contre le droit, un complice au moins des terroristes.
Cela suffit, dans un pays démocratique à lui valoir quelques années de réclusion.
Mais, il est vrai que chez les amis des islamistes, ou leurs complices, la démocratie n'est pas un concept, ni une réalité institutionnelle, elle est un prétexte, un moyen d'usage pour imposer leur logique meurtrière, leur pouvoir.
Un démocrate se distingue par son respect des lois et des institutions.
Un démocrate s'oppose aux voleurs, aux violents, aux incivils, et fait confiance à ceux qui ont reçu délégation pour agir au nom du peuple.
S'il y a forfaiture, les lois sont là pour le dire.
Il nous joue la comédie des malades parce qu'il est tenu de ne rien révéler. Les consignes données aux voyous impliqués dans toutes les saletés, les crimes, les vols, destructions de pièces et viols des procédures en faveur des terroristes, sont impératives.
Le premier qui lâche, et le château de cartes tombera avec lui. Celui-ci risque gros, sa vie sera l'enjeu de fait.
C'est le contraire du narratif de la bande qui est réel. Ils sont les responsables de la déconfiture des institutions, de la faillite morale et sociale.
Quand à l'économie du chère aux Khobzistes, elle en paie le prix fort. Car, qui voudrait plébisciter le tourisme dabs un climat délétère et compte tenu des attaques terroristes et les victimes qu'elles ont générées.
Nous refusons ce chantage sans nom qui se répète ad nzuseam dès qu'un fripon est mis hors d'état de nuire.
Ce Akremi ne mérite rien que de subir la sanction judiciaire.
La loi dabs toute sa rigueur.
Puisque moralement, il a montré sa vilenie et son manque de probité.
Vous avez dit procureur ?