Pour une fois je suis d'accord avec ces
gens d'Alkarama.

C est une course contre la montre entre les 3 Présidences qui ruinera le pays le premier pour la deuxième fois
D ici 2024 on va de toute

Ce que l'homme cherche dans la religion, c'est de sauver sa propre individualité, de l'éterniser, ce qu'on n'obtient ni avec la science, ni avec l'art, ni avec la morale.
Les raisons ne sont que des raisons, c'est-à-dire que ce ne sont peut-être pas des vérités.
la corruption de l'état est une calomnie injustifiable, mais celle de son peuple est un péché impardonnable.

Indépendamment de tout parti pris, Fakhfakh aurait mieux gagné en popularité s'il avait proposé l'assainissement des chaînes privées par recours aux ressources bancaires à taux réduit plutôt que de leur distribuer l'argent collecté qui n'est ni le sien ni celui des conseillers qui, au stade où l'on est, semblent tourner inlassablement les pouces dans des bureaux de luxe.
La question qui se pose revient toujours au même sujet : quel travail font ces conseillérs au rang de ministres, qui les supervise, qui évalue leur rendement, qui,...qui...?

On peut citer à leur propos le fameux proverbe bien de chez nous : "un boucher qui plaint un charcutier". Les deux ne valent pas un sous. S'il y avait quelqu'un à blâmer ça ne pourrait être que ceux qui les avaient hissé à ces postes.

La règle est que lorsqu'une entreprise est difficulté, il faut la soumettre à un audit pour comprendre comment elle dépense ce qu'elle reçoit, avant de décider du sort qu'il convient de lui réserver. Dans les entreprises concernées, il est de notoriété publique que certains salaires crèvent tous les plafonds de la décence, alors que d'autres sont payés au lance-pierres. Certains ne sont même pas payés du tout. Cette inégalité profite d'abord aux patrons qui eux s'en foutent de la qualité, ne s'attachant qu'à ce que la publicité leur apporte. Il faut regarder aussi en direction de biens d'autres gaspillages. Le FMI lorsqu'il "aide" la Tunisie, lui impose ses conditions. L'Etat tunisien, lorsqu'il décide d'aider des entreprises quelles quelles soient (culturelle ou taures) doit aussi imposer ses conditions. Pour aller à l'essentiel, il faut aider au cas par cas. Voici quelques conditions qu'il faudrait observer : 1/ une amélioration substantielle de la qualité de toutes les émissions dans l'information, le divertissement et la culture. Interdire qu'on fasse avec deux bâtons et un chiffon une "série" ennuyeuse qui durera des semaines, d'une répétition à l'autre. Une série c'est un scénario, un dialogue et une mise en scène respectant le téléspectateur. Un débat suppose le respect des faits, l'abondance de l'information et la qualité de l'analyse. Le plateau n'est pas un café de commerce où les intervenants sans arguments s'adonnent à leur sport favori : le buzz, l'insulte et la diffamation. Le divertissement enfin suppose aussi la qualité et dans ce domaine si fécond, il faut faire confiance à l'imagination des créateurs e leur donner les moyens de réaliser leurs projets. Pas de subvention globale. L'argent public doit être distribué au cas par cas, émission par émission, selon la qualité de la production. Ce serait une méthode efficace pour remettre sur la bonne voie ces chaînes qui se sont spécialisées dans la facilité et le trasch, tirant l'environnement culturel tunisien vers le bas. Il n'a jamais été plus bas. Je n'oublie pas la condition primordiale de la langue : tout média qui ne combattrait pas l'usage de la langue hybride franco-arabe hideuse ne doit pas recevoir d'aide. Dans tous les pays souverains : Allemagne, France, Grande Bretagne, Autriche etc., les média reçoivent une prime annuelle pour le bon usage de la langue nationale. La Tunisie doit en faire de même : une prime pour l'usage exclusif de la langue arabe -- la langue nationale -- que ce soit la langue littéraire ou la darija. La langue hybride, réductrice de l'expression et de la pensée, est en train de chasser les deux modes d'expression principaux des Tunisiens : l'arabe (littéraire ou darija) et le français. Il faut y mettre un coup d'arrêt définitif. Le soutien de l'état peut être un levier intéressant pour atteindre cet objectif.

Les raisons ne sont que des raisons, c'est-à-dire que ce ne sont peut-être pas des vérités.
la corruption de l'état est une calomnie injustifiable, mais celle de son peuple est un péché impardonnable.
Ceux qui luttent contre la corruption devraient être irréprochables eux-mêmes.

Sa décision d'aider les chaines privés est mal placée. Elle lui coûtera cher surtout qu'elle a tendu la perche à ce voyou d'elkarama
Ya khassara

Comme à l'accoutumée, ce Seïf intervient pour créer le buzz en s'opposant à des bonnes décisions, ce malfaiteur, débile est née pour nuire le pays , à l'instar de son parti frère Ennakba.
Les Tunisiens n'ont rien vu de bien , ni d'El Karama, ni d'Ennakba (dite Ennahdha) .
Que dieu nous fait débarrasser de ces sectes.

Donner aux médias, pour assainir toujours l'image de fuckfuck.