
L'ancien membre du bureau exécutif d'Ennahdha, Radwan Masmoudi est revenu sur le communiqué publié par la présidence à la date du 28 février 2024 et sur les déclarations du chroniqueur et soutien au pouvoir en place Najib Dziri à ce sujet. Ce dernier avait accusé Radwan Masmoudi d’entretenir des relations avec des sionistes et d’exercer du lobbying afin de porter atteinte à la Tunisie.
Dans une publication Facebook du 1er mars 2024, Radwan Masmoudi a indiqué que Najib Dziri se comportait en tant que porte-parole officieux de la présidence de la République et qu’il l'accusait de sionisme et d’atteinte aux intérêts de la Tunisie sans apporter de preuves. Il a écrit : « Le président tunisien, Kaïs Saïed, auteur d’un coup d’État contre la loi et la constitution, a déclaré dans un communiqué de presse, en présence de ministre, mercredi dernier, qu’il était nécessaire de poursuivre juridiquement certains agents du mouvement sioniste…
Bien évidemment et comme d’habitude, le président, Kaïs Saïed n’a pas précisé à qui il faisait allusion à travers ces paroles et ces accusations dangereuses et étranges… Néanmoins, le lendemain (soit le vendredi), le porte-parole officieux de la présidence de la République… surnommé Najib Dziri est apparu pour nous expliquer, à nous et à tout le monde, que le président faisait allusion à ma personne… Il n’a pas présenté de preuves ou de demi-preuves de ce qu’il avançait et de ces accusations dangereuses », a-t-il dit.
Radwan Masmoudi a indiqué que seule l’absence d’une justice indépendante l’empêchait d’entamer des poursuites judiciaires pour diffamation et calomnie visant Najib Dziri. Il a assuré ne pas entretenir des relations avec les sionistes ou leur mouvement et s’être toujours placé du côté des Palestiniens. Il a expliqué avoir dénoncé l’opération « Déluge d'Al Aqsa » en raison du ciblage de civils et des kidnappings. Il a qualifié la chose d’erreur stratégique dont les Palestiniens payaient le prix.
Pour ce qui est des accusations d’atteinte aux intérêts de la Tunisie, Radwan Masmoudi a assuré ne pas avoir fait de lobbying dans ce sens. Il a exprimé son attachement à la défense de la constitution, des lois et des libertés en Tunisie. Il a considéré que le système actuel était autoritaire, basé sur la tyrannie, portait atteinte aux droits des citoyens et accusait ses opposants de trahison et d’espionnage en raison de leurs positions.
Radwan Masmoudi a accompagné sa publication de photos de manifestations pro-Palestine et d’une capture d’écran d’un tweet accusant l’entité sioniste de terrorisme.
S.G

islamistes =sionistes '?'les 2 font la paire et la main dans la main .
Le plus grand danger provient des sionistes islamistes car c'est eux qui facilites tout aux sionistes de l'aipac pour détruire les pays musulmans,les peuples arabes et tout ceux qui n'adhèrent pas aux projets sionistes .
Les islamistes sont la boîte de pandore de tout les crimes en Libye en Tunisie en '?gypte en Syrie et j'en passe ..,la liste et encore longue ey cela depuis les années 20 du siècle dernier.
Les sionistes, tels des enfants gâtés capricieux, ne supportent pas la frustration du refus de leurs désirs. Ils mettent tous les moyens à leur disposition pour essayer d'atteindre leurs objectifs. Ils sont actifs en Tunisie et heureusement que Kaïs Saïed, qu'on l'apprécie ou pas, leur met un stop.
Quand on connaît le degré de corruption de la classe dominante tunisienne prête à toutes les compromissions pour conserver son statut, sans oublier les parvenus nahdhaouis qui eux, en plus de se soumettre aux sionistes se soumettent aux frères muzz, heureusement qu'il existe encore dans ce pays des gens qui ne perdent pas la boussole.
KS n'est qu'un parmi des millions de concitoyens qu'il représente.
Si demain il venait à disparaître, nous serons nombreux à défendre avec intransigeance la ligne anti-sioniste de notre nation et notre attachement au soutien aux peuples colonisés, opprimés et terrorisés.
Chaque état défend ses valeurs fondamentales, et ceux qui ne sont pas d'accord avec celles de la Tunisie vis-à-vis du colonialisme peuvent aller ailleurs, sous des cieux plus "zionist friendly". Ici, c'est la Tunisie.