
La direction générale de la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG) a publié un communiqué, mardi 18 février 2025. Ce communiqué dément l'implication de tout véhicule de sa flotte terrestre dans le tragique accident survenu ce matin.
L'accident a eu lieu sur la route reliant Redeyef à Om Larayes, dans le gouvernorat de Gafsa. Il a été causé par une collision entre un bus de transport de passagers et un camion.
La compagnie a précisé que le camion impliqué appartient à un propriétaire privé et est destiné au transport de matériaux de construction, sans aucun lien avec l’acheminement du phosphate.
La direction générale de la CPG a adressé ses sincères condoléances aux familles des victimes et souhaité un prompt rétablissement aux blessés, tout en affirmant son engagement à fournir l’assistance nécessaire.
L’accident s’est produit à 5 heures du matin sur la route régionale n°201, reliant Om Larayes à Redeyef.
Un poids lourd et un bus en direction de Sfax, parti d'Om Larayes, sont entrés en collision, provoquant un carnage. Le bilan est lourd : six morts et neuf blessés, dont plusieurs dans un état grave. Les secours sont rapidement intervenus, mais la violence de l’impact a laissé peu de chances aux victimes.
Les autorités ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de ce drame.
S.H

Toujours la même rengaine, 100 morts en un mois !
Qui dit mieux ?
Ah les bras cassés, qu'attendez vous de mieux ? La course vers la tueries et la destruction et vous prétendez que les choses aillent vers le rationnel ?
Monsieur le ministre de l'intérieur, à quand allez-vous prendre ce MAMOUTH,cette bête sauvage par les cornes qui sévi sur la quasi totalité des voies de circulation.
Mettre fin à cette hécatombe meurtrière sur nos routes ?
Ceux qui visite nôtre beau pays, en rentrant chez-eux, nous relatent par ceci,dommage vous avez un beau pays bien ensoleillé, dommage encore vous avez une une anarchie indescriptible dans vos villes, faisant allusions, aux accidents de la route, et le nombre d'accidents causés par l'incivilité et le non respect d'un bien commun de sécurité pour l'ensemble des Tunisiens.
Dommage que le ministère de tutelle n'a pas pris au sérieux ce fléau qui met grand nombre de personnes hors circuit de la vie publique.
Qui dit une victime dit des enfants dont la vie et surtout l'avenir vont être bouleversés, une mère qui va sombrer dans la tristesse et le désespoir.

