La chambre des mises en accusations militaire près de la cour d’appel de Tunis a décidé, ce mardi 22 janvier 2019, l’annulation de l’ordonnance de clôture d’instruction émise par le juge d’instruction au tribunal militaire dans l’affaire de l’ancien directeur général des services spéciaux, et l’acceptation de la demande de libération.
L’affaire a été renvoyée au juge d’instruction pour des travaux complémentaires. Cela dit, Imed Achour n’a pas encore quitté la prison puisqu’il est arrêté dans le cadre d’une autre affaire en cassation.
Rappelons que Imed Achour, a été arrêté dans le cadre d’affaires de complot contre la sûreté de l’Etat et de contacts ayant eu lieu entre des sécuritaires tunisiens et des Libyens du temps où Najem Gharsalli était ministre de l’Intérieur. Ces affaires impliquent, également, Saber Laâjili et Chafik Jarraya.
S.H
Acceptation de la demande de libération de Imed Achour dans une affaire
La chambre des mises en accusations militaire près de la cour d’appel de Tunis a décidé, ce mardi 22 janvier 2019, l’annulation de l’ordonnance de clôture d’instruction émise par le juge d’instruction au tribunal militaire dans l’affaire de l’ancien directeur général des services spéciaux, et l’acceptation de la demande de libération.
L’affaire a été renvoyée au juge d’instruction pour des travaux complémentaires. Cela dit, Imed Achour n’a pas encore quitté la prison puisqu’il est arrêté dans le cadre d’une autre affaire en cassation.
Rappelons que Imed Achour, a été arrêté dans le cadre d’affaires de complot contre la sûreté de l’Etat et de contacts ayant eu lieu entre des sécuritaires tunisiens et des Libyens du temps où Najem Gharsalli était ministre de l’Intérieur. Ces affaires impliquent, également, Saber Laâjili et Chafik Jarraya.