
Il est clair que la Tunisie vit l’une de ses plus graves crises. Mais c’est une crise qui n’est pas seulement économique et sociale, ou encore une crise politique comme peuvent connaitre tous les pays d’une manière épisodique. La crise que vit le pays est malheureusement plus profonde car c’est une crise éthique qui s’exprime à travers une crise de confiance aigüe entre le gouvernant et ses gouvernés et surtout à travers une crise de légitimité du gouvernant aux yeux de ses gouvernés.
Les manifestations de la crise de légitimité
L’une des manifestations les plus récentes de cette crise de confiance et de légitimité est la position du comité de défense des martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Il a annoncé cette semaine qu’il suspend sa participation à toutes les séances du procès parce qu’il soupçonne le pouvoir de vouloir accélérer le procès pour le fermer définitivement dans les plus brefs délais et d’essayer de donner au dossier des deux assassinats un simple caractère de droit commun, estompant son caractère politique et historique. Au temps de la troika et même après, le comité de défense des deux martyrs a montré un courage et une détermination inouïe bravant toutes les formes d’intimidations, de provocations, de pressions et de menaces. Son abdication aujourd’hui marque la lassitude et le dégoût envers un système judiciaire et politique inféodés et auxquels il ôte désormais toute crédibilité et toute légitimité.
D’une manière quasi concomitante, du fond de sa cellule, l’opposante et présidente du parti destourien libre, Abir Moussi, annonce qu’elle ne reconnait plus les procès intentés contre elle ni les jugements qui seront prononcés. Elle affirme qu’elle n’assistera plus aux séances et demande aux avocats de se retirer de ces procès. Par cette position radicale, Mme Moussi entend ôter aux procès intentés contre elle et à l’ensemble du système judiciaire et politique toute forme de crédibilité. Elle tente aussi de profiter de la crise de légitimité que vit le pouvoir en place.
En effet, la crise de légitimité dans laquelle le pouvoir en place s’est embourbé devient de plus en plus problématique. Beaucoup de Tunisiens ne comprennent toujours pas comment le président Kaïs Saïed, qui avait prêté serment après les élections de 2019, de respecter la Constitution du pays, s’est empressé après le 25 juillet 2021 de la jeter dans la corbeille et de rédiger une nouvelle constitution à la carte. Ni le référendum sur la constitution ignoré par la majorité des Tunisiens, ni l’élection présidentielle taillée sur mesure, ne lui ont donné une nouvelle légitimité populaire, surtout que le système politique qu’il propose du bout des lèvres, reste incompris et n’enthousiasme pas grand monde.
Un passé marqué par une crise de légitimité
Il y a quarante sept ans, le pouvoir tunisien avait connu lui aussi, une grave crise de légitimité. C’était à l’occasion des événements du 26 janvier 1978. Une date douloureuse qui a fait des centaines de morts tués par les balles de l’armée sur l’ordre d’un régime despotique tiraillé par ses querelles internes. Prés de cinquante ans après, on ne connait toujours pas le nombre exact de victimes du jeudi noir. On sait juste que leur nombre dépasse de loin le nombre des martyrs de la révolution. On sait aussi que le régime qui s’est permis de tirer sur son peuple, a fini par être éructé par ce peuple et s’est désintégré dès la fuite du président Zine El Abidine Ben Ali le 14 janvier 2011. Par contre, le peuple, même s’il continue de peiner et l’UGTT qui avait appelé à la grève générale, même s’il a pris des rides, sont toujours là.

" infeodee" , alors que 90 % des electeurs ont legitime le president tunisien lors des dernieres elections, elections dont la transparence et la legalite n ont pas ete contexte meme par ceux qui font de mauvais reves en entendant prononcer son nom.. De grace economisez vous et nous de ces litanies qui nous donnent sommeil. Merci!
Et quelle mauvaise mise! Miser sur des haineux, des régionalistes, des traitres et des jaloux? Quelle mauvaise mise! Wallah, ils peuvent tous sortir de l'X, de Sorbonne ou de Harvard, des haineux et des bouseux, demeureront haineux et bouseux.
El Asl et Ethat, çà c'est la bonne mise! Un artisant ouild Asl et Sa7eb Thet est mille fois plus utile à son pays que tous les diplômés réunis.
L'instruction des vils ne fait que les doter d'une suffisance et d'une prétention qui fait d'eux, non seulement des imbéciles accomplis, mais en même temps, un peuple d'élites, sûrs d'eux-mêmes et dominateurs. Ehhh oui, les paroles célèbres de De Gaulle sur les juifs s'appliquent aujourd'hui bien plus aux tunisiens musulmans que nous sommes, car en réalité, nous prétendons être musulmans, mais nous ne faisons que salir l'Islam. Notre religion ne différentie entre les musulmans que par la profondeur de la foi de chacun, et non pas par l'école primaire des uns et des autres, ou par l'Université qui a rempli leurs têtes sans en virer la bouse.
Ehhh oui, il y a tout à reprendre avec ce peuple. Un Grand Peuple, vous? Grand Peuple qui s'était fait harakiri un certain janvier 2011, dansant sur les applaudissements du Congress américain et des sionistes comme BHL et Obama! Vous, un grand peuple? Laissez-moi rire! Un grand peuple visité trois fois après 2011 par le chef-même de la Sorosphère, celui qui fait, partout dans le monde, les révolutions colorées et malodorantes (comme votre jasmin), à travers son Open Society et qui promeut l'USAID et autres organisations que Ben Ali avait viré de son territoire. Vous savez pour qui Soros fait tout cela? Je vais vous le dire: Pour le seul intérêt de l'état hébreux dont il est issu et qui manipule les imbéciles de votre espèce par leur propre haine. Il a tendu aux serpents que vous êtes leur propre queue et cela n'a pas loupé, vous avez mordu, et vous êtes fait harakiri vous-même. Vous, un Grand Peuple? Ben Ali, Gaddafi, Ali Abdallah Salah, les trois trublions du monde arabe. Les seuls qui dérangent! Eh hop! on utilise la bêtise incommensurable des arabes pour ne garder que les chefs d'états arabes quyi marchent le doit sur le couture aux ordres de l'ordre mondial sioniste.
Vous n'arriverez pas à l'orteil de Ben Ali, petit peuple! Et les résultats de votre démocratie de 2011 est devant vos yeux, il suffit de regarder et de lire. Mais seulement, le peuple d'élite orgueilleux et traitre sait-il lire? Son coeur ne sait ni lire ni écrire; il ne sait même pas épeler!
Vous n'osez pas reconnaitre tout est de votre faute et vous jetez tout sur l'autre? L'autre parti, l'autre profession, l'autre dirigeant, l'autre région, etc.
Et aujourd'hui, alors que Léon vous appelait à ouvrir vos yeux d'aveugles en 2011, et que vous écartiez d'un revers de main, tout en l'insultant, la thèse du coup d'état atlantiste, thèse rabat joie, aujourd'hui que vous êtes dans la mouise jusqu'au cou, vous jetez tout sur le monde atlantiste et oubliez votre complicité. Vous qui n'avez fait qu'applaudir ces mêmes pays qui avaient concocté de vous détruire en 2011. Mais est-ce facile à un X, un Harvardeeeux, un Sorbonneeeux, bref, tous ces miteux, de reconnaitre qu'ils s'étaient fait lésé avec un grand B par plus intelligents qu'eux. Surtout lorsque ces intellomerdeux sont des tunisiens et donc ne se trompent jamais.
Enfin, pour ceux qui parlent de Abir Moussi, sachez que ses couilles sont beaucoup plus grosses que celles de tous les tunisiens réunis. Et un jour viendra, Grand Peuple!
Salutations, Grand Peuple!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Sans doute, l'illégitime rejoint un peu l'absurde en ce cas.
Les procès des martyrs Belaid et Brahmi méritent mieux, mais là on atteint au cacasse.
Procédés dilatoires et renvois successifs en disent long sur les techniques en usage pour noyer le poisson...et le pêcheur si j'ose dire.
Quand saura-t-on le nom du donneur d'ordre?
Le PDL est le plus grand parti en Tunisie et est la seule alternative.
C'est pour cela que sa présidente est incarcérée.
vos diffamations et vos mensonges sont punis par la lois.

