Ces lois ont pour but de déduire l'identité du pays. Quelle honte, peut être on va changer tous de nationalité, comme ça ces ministre ne trouveront qui gouverner !
il se peut que mes commentaires ne vont pas être validés par gestionnaire du site.
La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, Samira Merai annoncé, lundi 27 avril 2015, qu’un projet de loi est actuellement en cours d’élaboration par son département, en vue d’annuler l’autorisation du père exigée lors du voyage et de l’attribution d’un passeport aux enfants.
Dans une déclaration accordée à la TAP, la ministre a indiqué que ce projet de loi vise à renforcer les droits des femmes tunisiennes, qui ne bénéficient pas actuellement du droit d’emmener leurs enfants en voyage à l’extérieur du pays, sans l’autorisation du père. Samira Merai a aussi attiré l’attention sur le fait que le projet de loi aura pour but de « renforcer les droits de l’enfant en tant que citoyen tunisien ».
Pour sa part, Samia Doula, chargée de mission au ministère, a fait savoir que le projet de loi prévoit la validation de trois cas de figure : Autorisation requise des deux parents, de l’un des deux ou l’annulation de ladite autorisation. La responsable a précisé que ces trois propositions devront être examinées en concertation avec les composantes de la société civile.
I.L. D’après TAP
La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, Samira Merai annoncé, lundi 27 avril 2015, qu’un projet de loi est actuellement en cours d’élaboration par son département, en vue d’annuler l’autorisation du père exigée lors du voyage et de l’attribution d’un passeport aux enfants.
Dans une déclaration accordée à la TAP, la ministre a indiqué que ce projet de loi vise à renforcer les droits des femmes tunisiennes, qui ne bénéficient pas actuellement du droit d’emmener leurs enfants en voyage à l’extérieur du pays, sans l’autorisation du père. Samira Merai a aussi attiré l’attention sur le fait que le projet de loi aura pour but de « renforcer les droits de l’enfant en tant que citoyen tunisien ».
Pour sa part, Samia Doula, chargée de mission au ministère, a fait savoir que le projet de loi prévoit la validation de trois cas de figure : Autorisation requise des deux parents, de l’un des deux ou l’annulation de ladite autorisation. La responsable a précisé que ces trois propositions devront être examinées en concertation avec les composantes de la société civile.
I.L. D’après TAP