« Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne. » Victor Hugo
La morale et le bon sens ont disparu de la scène publique. A se demander parfois s’ils n’avaient jamais existé. Deux décès ont marqué la scène politique tunisienne ces derniers jours, celui de l’avocat et ancien ambassadeur Samir Abdellah. Aussitôt son décès annoncé, des centaines de personnes, parmi les islamistes et les « révolutionnistes » ont sorti leur haine pour dire « bon débarras », « c’était un RCDiste », « c’était un facho »… Deuxième décès annoncé dans la nuit du samedi au dimanche, celui de Halima Maâlej, une activiste des Ligues de protection de la révolution. Cette fois, ce sont les membres du camp d’en face qui ont réagi pour répéter quasiment les mêmes phrases. Ce fascisme ambiant est inquiétant. Le pays est bien divisé déjà, voilà qu’on ne rate plus les occasions pour remettre une couche. On est en train de revenir à la polarisation des années 2012-2013 où le président de la République, Moncef Marzouki à l’époque, divisait au lieu d’unir, envenimait au lieu de calmer, inquiétait au lieu de rassurer. Peut-on dire la même chose de notre président actuel Kaïs Saïed ? Hélas, quand on voit comment il traite certains sujets, comment il traite le chef du gouvernement, la réponse est positive. Le président de la République n’agit pas comme étant le président de tous les Tunisiens, de tout le peuple. Pire, il agit et réagit sur la base de rumeurs malsaines et non d’informations fiables, à charge et non à décharge.
Deuxième sujet qui a occupé l’opinion cette semaine, à part le sempiternel Covid-19, la question de la peine de mort. Beaucoup de Tunisiens cherchent à la réactiver sous prétexte d’en finir avec les crimes odieux.
Réaction impulsive à deux crimes odieux qui ont ébranlé la scène ces derniers jours. Il y a le meurtre d’une couturière à Haffouz qui a refusé de prêter de l’argent à sa tueuse et celui commis par un jeune délinquant vendredi dernier. Il a braqué une jeune dame sur la route de la Marsa avant de l’assassiner. Il a été arrêté le jour même et, pour ce faire, on devrait dire chapeau à notre brigade criminelle. Aussi brillante soit-elle, la brigade ne mérite pas pour autant des félicitations, car elle a commis un gros impair en photographiant le suspect à genoux puis en diffusant la photo sur les réseaux sociaux pour faire déchaîner les passions et faire sortir ce qu’il y a de plus bestial en nous. Les individus ont le droit d’être impulsifs et sanguins, mais l’Etat (dont la brigade criminelle est la représentante) n’a pas le droit de l’être. C’est anormal et digne d’un Etat moyenâgeux ou despotique (ou les deux). On n’a pas le droit de diffuser la photo d’un suspect en état de captivité quel que soit le crime qu’il a commis. Que le petit peuple le fasse, que les victimes le fassent, ça se comprend, mais que l’Etat le fasse, ça devient dangereux pour la société et pour l’Etat lui-même.
Ceux qui ont diffusé la photo ont atteint leur objectif en tout cas, ils ont fait déchaîner les passions. Les appels au meurtre se sont multipliés et on retrouve même des islamistes, des RCDistes et des avocats de renom parmi les personnes qui ont diffusé la photo de l’assassin en appelant à réactiver la peine de mort.
Les nations avancent, la nôtre recule. On ne prend pas exemple des expériences des autres nations et on ne sait même pas lire leur actualité.
S’il n’y avait pas moratoire sur l’exécution de la peine de mort, beaucoup parmi nos dirigeants islamistes et parmi nos figures de l’ancien régime ne seraient pas au pouvoir. Ils seraient six pieds sous terre. Imaginons un instant que la peine de mort soit encore de mise en Tunisie, il y aurait plein d’islamistes exécutés, à commencer par leur chef Rached Ghannouchi. Imaginez si la Tunisie était dans cet esprit rétrograde, moyenâgeux, sanguin et sanguinaire, la révolution tunisienne se serait accompagnée par une série de meurtres et d’exécutions comme l’a été la révolution française (et autres) et comme ce à quoi appelaient plusieurs CPR et LPR durant la période 2011-2014.
Si la peine de mort résolvait la question, elle n’aurait pas disparu des nations civilisées. Prenons le cas de l’exception américaine où la peine de mort et son exécution sont encore de mise dans certains Etats, y a-t-il eu un arrêt du crime ? Il suffit de comparer les pourcentages de crimes dans des pays européens et ceux des Etats-Unis pour conclure que la peine de mort ne résout rien et n’a jamais rien résolu. Il suffit de voir le film « La ligne verte » de Frank Darabont avec Tom Hanks pour s’en convaincre. Il suffit de se rappeler le cas de Maher Manaï, ce Tunisien innocent qui s’est trouvé dans le couloir de la mort à cause d’un assassinat qu’il n’a pas commis. Il suffit de lire l’histoire récente de la Tunisie pour s’en convaincre. Combien de personnes innocentes ont été mises en prison, sous Bourguiba et sous Ben Ali ? Les islamistes eux-mêmes disent que beaucoup d’entre eux ont été condamnés injustement. Eux qui appellent aujourd’hui à la peine de mort, qu’ils se remémorent combien parmi eux ont été exécutés injustement.
Nous sommes au XXIème siècle, nous ne sommes plus au Moyen-âge pour exécuter les personnes indignes de vivre en société. Si les individus et les familles des victimes ont le droit de réagir impulsivement, les Etats se doivent de rester froids.
Le monde et l’Histoire sont riches d’expériences et ces expériences ont prouvé que la peine de mort ne sert à rien. De ces expériences, on a appris qu’il vaut mieux avoir dix criminels dans la nature que d’avoir un seul innocent en prison. Que dire alors si cet innocent passe à l’échafaud ou à la chaise électrique comme aux Etats-Unis. Ces expériences ont montré que plusieurs personnes innocentes sont passées par cette peine capitale à la suite d’enquêtes bâclées ou manipulées ou, pire, à l’occasion de règlements de comptes politiques.
Transformer la peine capitale en une longue peine de prison, c’est la preuve que notre Etat est digne du XXIème siècle, c’est la preuve que nous sommes des humains faillibles et non des bestiaux avides, c’est nous donner une marge pour nous rétracter en cas d’erreur de jugement. Et des erreurs en la matière, il y en a eu !
.
Bonne fin de journée.
C'est est des vides et des médiocres qui onr toujours leurs habituemlles idees de revenir par "la fenêtre " en intrus.
Tout est préconisé et planifié depuis leurs accords de la connivence conclus avec Feu Ben Ali qui les a aidé à intégrer Londres et de quitter piur sa part la Tunisie royalement.
Je propose. Une fois la peine de mort rétablie
D'inscrire dans le cadre des activités culturelles de sympathiques interludes consistant a la pendaison décapitation démembrement électrocution des criminels et autres déviants
Cela pourrait enfin détourner jeunes oisfs et moins jeunes des cafés chichas et autres sites Facebook malsains
Cela donnerait également a notre jeunesse une vision positive et responsable de la vie en société
- l'envahissement de toutes sortes de drogue et de produits psychotropes divers, et l'accroissement dramatique du nombre de consommateurs, surtout les plus jeunes d'entre eux. L'addiction à ces poisons est à l'origine des nombreuses agressions et de crimes perpétrés, un accro en manque étant prêt à tout pour s'en procurer,
- l'augmentation du chômage et de la pauvreté qui peuvent conduire à des actes extrêmes, et des comportement désespérés. Corrélée avec le premier facteur, elle peut constituer un puissant déterminant de la violence,
- la déperdition presque totale des valeurs morales, familiales et sociétales qui ont jusqu'ici fait obstacle à certaines déviances et à la commission de délits répréhensibles. On ne respecte plus rien, même pas ses géniteurs. Ce phénomène est associé à la perte d'autorité des parents et à leur démission, ainsi qu'à la déliquescence du rôle éducateur de l'école.
L'aire que ces trois facteurs délimitent forme notre espace de naufrage et de de dévastation. Tant que l'on n'a pas éradiqué les trafics de poison et protégé efficacement la jeunesse contre les tentations, tant que l'on n'a pas réduit les inégalités, trouvé des solutions pérennes à l'emploi, et assuré une meilleure distribution des richesses, tant qu'une politique d'encadrement et de formation efficace et centrée sur notre culture et nos valeurs n'aura pas été conçue et mise en place, alors les choses ne feront qu'empirer, les crimes se multiplier et nos enfants seront voués à un avenir incertain.
Le trou sidéral que nous avons vécu ces dix dernières années, qui a stoppé net une évolution pourtant jugée par le monde entier comme pleine de promesses, la course éhontée de tous vers le pouvoir et l'argent, l'égocentrisme et l'autisme des politiques dans leur majorité, la disparition de la notion d'intérêt général, l'outrance des comportements et des discours, les tentatives d'assujettir notre société à de nouveaux modes de vie et de pensée ... ont provoqué un hiatus, quasi irréversible et presqu'insurmontable, entre les politiques annoncées et leurs résultats concrets.
On lance aujourd'hui un débat sur une question qui certes représente un enjeu sociétal important et qui revêt un aspect émotionnel et juridique incontestable, alors que les véritables problèmes sont seulement survolés, sans donner lieu à des ébauches de stratégie pour les traiter ! Si le bateau Tunisie est pris dans l'étau de ce triangle démoniaque, c'est toute une culture, toute une histoire, tout un destin qui risquent de sombrer. Que l'on décide ou non de l'application de la peine de mort ne le sauvera pas !
A défaut d'offrir aux tunisiens une meilleure éducation nationale, un système de santé fiable ou même des emplois. Ils vont leur offrir la "chance" d'avoir des exécutions a nouveau.
Qu'ils continuent de propager la haine, ils verront où ça les mènera...
Des criminels arrêtent jugent et exécutent des criminels
Au nom de la lutte contre la criminalité
En vérité la société tunisienne d'aujourd'hui est une société de malades de sociopathes
Malversations népotisme blanchiment delits initiés spéculations illégales alimentent et régulent le circuit socioéconomique tunisien
Le crime est partout déguisé en paisibles activités professionnelles
Alors on cherche a se donner bonne conscience
Pas si facile on n'échappe pas à son ADN
Quelques données significatives maintenant
Grand Tunis de Mornag a Batman : 2 450 000 habitants dont 1500000 au moins vivent en dessous du seuil de pauvreté dans des zones d'habitats anarchiques ou insalubreqs
Des conditions de vie faites pour créer des sociopathes et non des citoyens
Selon la FTDES 2019 plus de 200 000 jeunes âgés de moins de 30 ans ont un casier judiciaire avec emprisonnement d'au moins 15 jours
Il y aurait au moins 150.a 250000 personnes âgées de plus de 30 ans pouvant être qualifiées de délinquants jugés en tant que tels
Cette catégorie de délinquance est le crime ,',bas de gamme," sordide et basé sur l'agression physique
Le crime "haut de gamme,' constitue par exemple de blanchiment d'argent d'évasion fiscale ou de delits d'initiés est protégé par ce qui nous fait office de magistrats et de policiers
Revenons à nos 400000 délinquants version populace
La plupart d'entre eux ont subis des sévices en prison ( j'ai contribué a des enquêtes,,) a des degrés divers
La plupart d'entre eux souffrent de troubles psychiques notamment chez les jeunes de moins de 30 ans
Je vous dis et vous devriez me croire que beaucoup sont actuellement des psychopathes futurs récidivistes; j'ai rencontré des situations absolument cauchemardesques notamment chez les jeunes fumeurs de zatla des jeunes détruits a vie
Une bombe a retardement incontrôlable
En cas de récidive je vous affirme que ces gens sont pour la plupart irrécupérables
Notre société est une société irresponsable qui n'offre pas aux populations vulnérables (,attention il y en a un million et demi rien qu'à Tunis) la possibilité d'être des citoyens
Ajoutez à cela un système sécuritaire obsolète tortionnaire et pourri et vous aurez un tsunami de sauvagerie qui ne cherche qu'à être renforcé par la solution du tout répressif sans gestion préventive de la délinquance
Chers lecteurs de BN la plupart d'entre vous sont instruits et privilégiés
Laissez moi votre humble compatriote vous dire lui qui arpenté les quartiers de misère depuis 15 ans que vous n'avez aucune idée aucune de ce qui se prépare en terme de révolte sociale
Ce n'est qu'une question de temps et ce ne seront pas 10 000 exécutions qui résoudront la catastrophe
,
On confond allègrement , justice sereine , impartiale et apaisée et vengeance . Rendre justice aux victimes et au corps social ne consiste à exercer un droit de vengeance , un '?il pour un '?il ou une dent pour une dent . C'est réducteur et trop simplificateur .
Il faut réviser toute l'histoire de l'évolution du droit pénal des sociétés modernes . Cette évolution a consisté entre autres à dissocier la victime de l'exercice de la sanction désormais confié à la puissance publique laquelle ne s'honorerait pas pratiquer les mêmes actes atroces que les éléments
Criminels . Dire et réclamer le contraire c'est faire le lit de la vendetta . Renoncer à l'Etat de droit .
Quiconque a un proche tué en pareilles conditions a très légitimement une envie de meurtre . C'est on ne plus compréhensible et humain .
Passer à l'acte , c'est se faire justice soi même . L'application de la peine de mort procède de cette même logique sommaire .
'?levons le débat .
Dire cela n'est pas faire fi de la douleur des victimes qui m'afflige et me consterne comme tout un chacun . C'est inviter à réfléchir sur ce qui fait que ce pays s'enfonce inéluctablement dans les ténèbres avec la passivité pour ne pas dire la complicité de ses forces de l'ordre .
C'est faux.
En se référant à wikipedia:
Début 2020,
105 '?tats ayant aboli la peine de mort en toutes circonstances.
8 '?tats ne conservant la peine de mort que pour des crimes commis en temps de guerre, crimes contre l'humanité et/ou des actes terroristes.
28 '?tats considérés comme abolitionnistes en pratique car n'ayant procédé à aucune exécution ces dix dernières années.
54 '?tats appliquant la peine de mort.
Donc ce que vous dites est complètement faux, même en additionnant 8+28+54.
La peine de mort est la réponse simpliste à une problématique beaucoup plus complexe. Avant de se jeter dans ce débat, il faudrait plutôt essayer de comprendre pourquoi tant de violence, délinquance ?
Est-ce dû au délitement des valeurs familiales ?
Est-ce dû à la faillite de l'état de droit ?
Est-ce dû à la faillite de la réponse du tout sécuritaire ?
Est-ce dû à la faillite du système scolaire et son incapacité à enseigner que voler, gruger, tuer c'est mal pour la société ?
Bref, le débat n'est pas facile et clairement ce n'est pas une mesure telle la peine de mort qui puisse dissuader les criminels. Il faudrait plutôt voir du côté du système éducatif, policier, le contrôle des drogues etc. Tout un chantier...
Je vis en France depuis des années informaticien de métier et je suis de près l'actualité de notre pays et quand je lis vos articles je me régale je suis un fan vous parlez en mon nom et vous ne faites pas de cadeaux aux imcompetants qui nous gouvernent
J'adore et merci à business news qui vous laisse la liberté de parole chose que nous ne connaissions pas avant
Vive la Tunisie et vive la democratie
Pourquoi en ce timing ? Pourquoi on n'a pas taillé une bavette pareille pour l'assassinat et le viol du petit Ahmed de 11ans à la Marsa ? Et Khalti Mabrouka à 81ans de Kairouan aussi violée et assassinée (etetetetet - allah yerhamhom Ilkol).
Et comme toujours par pur hasard, un député de la Karama se fait agressé au sabre, et finalement le président se prononce OUI pour exécuter cet assassin (C'est son avis personnel, il ne peut pas l'exécuter).
La majorité à l'ARP aura de quoi débattre dès son retour, mais le plus important ça sera la cour constitutionnelle (comme toujours par hasard), après 7 ans de barrières mis par Ennahdha pour geler la constitution de cette cour, aujourd'hui, en octobre 2020 mettre cette cour en 1 mois est une question de vie ou de mort (!!!!!!).
Pauvre populace, il suffit qu'on vous matraque et on vous encadre pour mordre à l'hameçon, comment un président déclare un truc pareil ? Lui aussi, il a mordu à l'hameçon.
Et pendant ce temps, savez-vous que plus que 1200 Tunisiens sont rentrés clandestinement de la Libye en 20 jours ? (A savoir où ils étaient en Syrie, au Sahel....), eh bien ça, on ne vous le dit pas, et d'ailleurs vous vous en foutez, tant que vous mangez et que vous arrivez à satisfaire vos désir, à regarder les matchs de foot, tant que les morts du Covid19 n'ont pas touchés vos familles, alors Akhta Rassi Wadhrab.
Je vais vous dire un truc qui n'est pas bien, nos sécuritaires sous leurs multiples facettes ont ras-le-bol de TOUT, plusieurs petits gouvernements dans un pseudo gouvernement sans état, nos militaires bavent depuis 10 ans, ils sont exténués, en alerte 24/24 depuis 10 ans (!!!!!!), et là on les injectent dans des missions sanitaires pour faire face à la pandémie. Beaucoup de nos blouses blanches, de nos sécuritaires, de nos militaires ont été contaminés, et la cerise sur le gâteau, les juges et les magistrats se sont éparpillés en milles morceaux, la justice partis en vrac.
Avec quoi on fera face à TOUT : Faillite, terrorisme, chômage, Covid19 ............Et tous les malheurs ?
La réponse : RIEN, ceci s'il reste de ce RIEN quelque chose.
Pauvre populace.
Verdict final il faut appliquer la peine de mort dans ces cas la, comme pour ce meurtre atroce de la jeune fille Rahma.
Et prenons en compte les conditions actuelles d'anarchie qui constituent un terreau fertile a la prolifération rapide et intense du crime en Tunisie, ce qui constitue automatiquement et obligatoirement une raison de plus d'appliquer la peine de mort en ces jours ci et en cette periode de la Tunisie.
La peine de mort est plus que necessaire actuellement pour dissuader les prochains potentiels criminels de ne pas passer a l'acte.
Tout comme le pays doit se défendre et réagir par tous les moyens possible et être bien organisé déterminé et sans pitié contre ses ennemis en cas de guerre ou de menace terroriste il se doit aussi de le faire contre le crime a l'intérieur du pays.
Conclusion la peine de mort doit être appliquer, mais qui va l'appliquer ? est ce que le président de la république ? ou est ce la justice corrompu qui est clairement aux mains des islamistes ?
Le Président doit assumer son rôle en refusant toute demande de grâce émanant d'un assassin, les tribunaux doivent protéger la société et non les assassins.
Quelle peine pour un HOMICIDE VOLONTAIRE AVEC PR'?M'?DITATION commis par X conte Y?
Un X qui n'a pas respecté le droit à la vie de Y!!
Un X vivant et un Y mort ?
La loi est l'expression de la volonté de la majorité du peuple : Première leçon de droit de l'hommes ?
La solution c'est d'avoir d'abord un état, ensuite une politique de lutte contre le crime et la délinquence et d'y mettre les moyens.
Une politique sociale et culturelle doit se joindre a la lutte contre le crime.
Mais en gros, le territoire doit être repris par l'état, car il est au mains du 'khlé'.
Le khlé (absence de la république) les zones de non droits, les no man's land, les villes abandonné a la délinquence, les rues vides sans eclairages ( a quoi servent les municipalités et leurs budget ?) les recoins sombres lugubres, l'absence des voitures de police qui patrouillent, l'absence de la république et de la société, en gros quand le territoire est délaissé, la société est livré aux criminels.
Il faut combattre le khlé, et ça ne se fera surement pas sous la révolution tueuse, car elle même cette révolution a tourné en criminel qu'il faut combattre.
Débat clos.
Sinon les partisans du RCD ça n'existe plus, le RCD en lui même n'existant plus structurellement parlant comme politiquement comme idéologiquement.
Et il n'ya pas deux camps en Tunisie, le camp des islamistes et le camp des anti islamistes. En Tunisie il y'a le peuple tunisien et en son sein se trouve des gens affiliés aux organisations terroristes et des gens endoctriné par l'islamisme qui est relié aux organisations et aux états sponsorisant le terrorisme et l'islamisme.
Le peuple tunisien n'est donc pas divisé et aucun camp n'existe, le peuple lutte contre des gens dangeureux existant a l'intérieur comme a l'extérieur du pays, ces gens sont aussi tunisiens, et ils sont partis vers d'autres pays faire la guerre sous l'appelle du terrorisme et des états qui le soutiennent, ces gens ça s'appelle des djihadistes.