C'est souvent le cas des chléyéks arrivistes.
Ils se sentent intéressants, intouchables et immortels.
Laissons le temps au temps et observons attentivement l'instant du retour du boomerang.
Le dirigeant du mouvement islamiste Ennahdha, Rafik Abdessalem, s’est tout bonnement rétracté après s’être fermement opposé à la candidature du président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) par intérim, Abdelfattah Mourou, à l’élection présidentielle.
Selon l’ancien ministre des Affaires étrangères et gendre du président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, la situation politique actuelle dans le pays et celle au niveau international et régional, initialement « complexe », devrait obliger les candidats à se rétracter de la course à la présidentielle pour éviter toute concurrence intense.
Par ailleurs, Rafik Abdessalem a assuré qu'il soutiendra Abdefattah Mourou et contribuera à la campagne présidentielle de ce dernier.
E.B.A.
Le dirigeant du mouvement islamiste Ennahdha, Rafik Abdessalem, s’est tout bonnement rétracté après s’être fermement opposé à la candidature du président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) par intérim, Abdelfattah Mourou, à l’élection présidentielle.
Selon l’ancien ministre des Affaires étrangères et gendre du président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, la situation politique actuelle dans le pays et celle au niveau international et régional, initialement « complexe », devrait obliger les candidats à se rétracter de la course à la présidentielle pour éviter toute concurrence intense.
Par ailleurs, Rafik Abdessalem a assuré qu'il soutiendra Abdefattah Mourou et contribuera à la campagne présidentielle de ce dernier.
E.B.A.