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Répondant à une volonté de BCE, Mourou suit le cortège à pied
Le premier vice-président de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP), Abdelfattah Mourou a suivi le cortège funéraire de feu Béji Caïd Essebsi, en faisant un bout du trajet du palais de Carthage au cimetière du Djellaz à pied, comme l'indique un post sur sa page Facebook officielle.
Cet acte est en réponse à un souhait du défunt, rapporte la page de M. Mourou. La chaîne nationale a capté ce moment au cours de la couverture en direct.
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Commentaires (33)
Commenter@Hatem C
| 29-07-2019 11:50
à propos des fameuses 72 vierges et selon un petit facétieux qui prétend avoir lu le Coran (ce qui n'est pas le cas de "l'ignorant pérégrin" que je suis) il s'agirait en fait d'une vierge de 72ans révélation qui aurait dit-on refroidi plus d'une vocation au martyr!
=== merci BN ===
| 28-07-2019 16:12
bambouj avait dit (( HAT YIDDIK NHANILIK )) la différence entre EL BAJBOUJ et autrui c 'est que le peuple l 'avait compris et non le président avait compris le peuple , c 'est toute la différence entre un président et un passage qui était pourtant assez remarquable dans tes débuts Ya BEN ALI .(( leila hilkitik )) ou hilkit tounis ou chaabaha ...
==== de Aldo à Monsieur HATEM .C , concernant Monsieur MOUROU ABDELFATTAH ====
| 28-07-2019 15:34
Alors que je suis très loin d être un nahdhaouiste ou (( gourouiste ,secte de merde )) en outre cher respectable monsieur HC , bien réécouter MOUROU disant , il n y a plus le même (( KMACH )) et bien le comprendre , autre chose SVP ,suffit vos (( ZARABE )) nous sommes tous tunisiens et avons un seul drapeau . vive la TUNISIE qu' est république ,sa langue est l'arabe et l'islam est sa religion . Fier d 'être tunisien et j aime mon peuple . Respects Monsieur.
Ye ibn zarbi
| 28-07-2019 14:58
On comprend mieux comment ont été enrôlé les jihadiste pour aller tuer d'autres musulmans.. Ils peuvent même savoir lire et écrire et croire au jihad... malheureusement quand on vit dans un milieu d'ignorance on croit facilement qu'il y a 72 vierges qui t'attendent la haut... 30 km à pieds à 71 ans... Pauvre crédule... Es ce que tu sais lire ou es ce que tu comprends le sens des mots ? Relis le texte, il est très court... Mais si tu maîtrise mal la langue française, tu as le texte en zarabe... Le monde Zarabo muz est en retard à cause de l'inculture.. HC
Funérailles du président
| 28-07-2019 14:19
A Dieu Monsieur le Président
C'est grâce à Bourguiba , à vous et à toute personne qui a cru au travail et qui a participé de prés ou de loin au progrès de ce pays LA TUNISIE que nous pouvons avancer ensemble dans la différence oui mais certes dans l'amour de la patrie.
C'est grâce à Bourguiba , à vous et à toute personne qui a cru au travail et qui a participé de prés ou de loin au progrès de ce pays LA TUNISIE que nous pouvons avancer ensemble dans la différence oui mais certes dans l'amour de la patrie.
'?' ' '?' '?'
| 28-07-2019 13:04
Cheikh Abdelfattah Mourou,on l'aime ou on ne l'aime,ce qu'il a fait mérite tout notre respect.A 70 ans passées ,il a pu endurer un trajet de plus de 30km,à pied et sous un soleil de plomb.Bravo,et tous mes respects..
Correction
| 28-07-2019 12:07
Grosse faute! Je voulais écrire, Ennahda et la prédication
Beji est amour
| 28-07-2019 10:56
Beaucoup de commentaires transpirent la haine même un jour de deuil. Ils ne se reposent pas.
Le président Sebssi aimait le peuple et certains commentaires ne cadrent pas avec la philosophie de rassemblement que le président a toujours défendue
Le président Sebssi aimait le peuple et certains commentaires ne cadrent pas avec la philosophie de rassemblement que le président a toujours défendue
Abel a posé une question
| 28-07-2019 10:35
pantois et à bout d'arguments devant cette monumentale débilité je ne peux quant à moi que lui réponds même s'il ne le souhaite pas : porca miseria pauvre couillon !
Ennahda et ma prédiction
| 28-07-2019 09:41
Avoir ce punch chez Mourou, je me demande est ce un hommage et une sensation heureuse de la disparition de notre Bajbouj après le jeudi noir, ou un tactic d'un prédicateur, je vous laisse juger