La situation précaire vécue par de grands artistes tunisiens suscite de plus en plus d’indignation. Outre le système de couverture sociale défaillant, la montée en masse des productions de consommation, la crise sanitaire a fait que les grands hommes et femmes de théâtre, se retrouvent dans des situations, le mois que l’on puisse dire, indignes, de leurs carrières et de tout ce qu’ils ont donné à la scène culturelle tunisienne durant ses années de gloire.
Aujourd’hui, ce sont les artistes Noureddine et Nejia Ouerghi qui sont menacés d’être expulsés de chez eux par la force publique à cause de l’expiration de leur bail. Le couple d’artistes au parcours très riche risque de se retrouver à la rue du jour au lendemain, rapporte leur fils.
Des internautes ont fortement dénoncé cette situation, et se sont indignés de l’absence de réaction de l’Etat considérant abject et incompréhensible que l’élite de la scène culturelle tunisienne ne puisse vivre en dignité dans un pays où ils ont tout donné.
S.H
Les exemples de Amm Mohamed Mourali en Tunisie, comptent par centaines, même parmi les footballeurs et les sportifs. Toutefois, il y a d'autres artistes et sportifs, qui passent leur jeunesse d'un bar à l'autre, d'un hôtel à l'autre et d'une foulée de bluffeurs, à l'autre. Comme il est de la nature humaine de prévoir des hauts et des bas dans la vie, surtout avec l'avance et avec l'approche du sommet de l'âge, où personne n'en veut plus d'eux, il ne pourra y avoir que d'auto-remords. Non pas de coller le résultat de ses «Nazawèt» et de ses «Chahawèt», à l'Etat tunisien. C'est comme si on pourrait rendre l'Etat tunisien d'une probable faillite et pauvreté de ceux de «Awlèd Moufida» ou de ces modérateurs de «Andi mankollèk». A ce moment-là, ils se rappellent de la fable de La Fontaine "la cigale et la fourmi". Les exemples de ce couple d'artistes Ouerghi, comptent par centaines en Egypte, comme en Allemagne, en France et aux USA.
Donc, arrêtons s'il vous plaît de rendre l'Etat tunisien responsable, même de sa propre faillite dans sa propre vie. Qu'ils se rappellent de ce qu'ils avaient fait de fautes dans leur vie et qu'ils demandent de l'aide à n'importe qui, mais qu'ils n'incriminent personne, s'il vous plaît, afin qu'ils soient des exemples vivants pour nos future jeunes générations.
Vive la Tunisie et vive les Tunisiens.
C'est fou quand même ce pays où on demande un état de calife et non pas un état de droit!
Sa naissance fut très noble
Toujours égale dans les différentes situations de sa vie :
Mêmes principes, mêmes règles, mêmes vertus.
Femme illustre, on loua de bonne heure son esprit.
Et plus encore sa vertu.
La sagesse, la douceur, la modestie
Formèrent son caractère, qui ne se démentit jamais.
Pauvre dans le centre des richesses,
Humble au comble des honneurs,
Révérée de Louis le grand,
Environnée de sa gloire,
Autorisée par la plus intime confiance,
Dépositaire de ses grâces.
Qui n'a jamais fait usage de son pouvoir
Que par sa bonté.
La mère des pauvres.
L'asile toujours sûr des malheureux.
Et elle a laissé à l'univers l'exemple
De ses vertus.
Parlez moi maintenant de vos vertus chère madame "maintenant du bled" !
First things first, my post wasn't about politics, I was talking about theatre. About a poet who is about to be thrown out of his home, about human ingratitude, about apathy, about ...
L'art nouveau, c'est le fait de se dire, la maison, l'architecture intérieure sont aussi des éléments de renouveau, d'une forme d'humanité, parcequ'au faite l'art nouveau c'est aussi cette idée d'un homme nouveau, d'une femme nouvelle.
" S'intéressant au foyer, donc à la maison, au lieu principale où l'humanité peut se régénérer. C'est un moment assez clé, parceque l'art peut accompagner l'avènement d'un monde nouveau, on est dans une période très idéale, on croit au progrès, on croit que l'homme sera meilleur, ce n'est pas seulement une prédisposition politique ou littéraire, c'est que l'homme y croit vraiment."
Traduit de l'allemand par le docteur Ralph.
Pliny the elder connects a number of sayings to Apelles, here is one of them :
Sutor, ne supra crepidam !
Yaani barra tbi3 el batata.
Les acteurs ce sont les partis politiques et les organisations civiles.Tous les excès sont permis :vociférations gros mots bras d'honneur gaz lacrymogène et même immolation par le feu et c'est gratuit.
Noureddine Ouerghi
(Le Temps 18 juin 1996)
Et par miséricorde, abaisse pour eux l'aile de l'humilité, et dis: «O mon Seigneur, fais-leur, à tous deux, miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit».