
Le juge d'instruction du 10e bureau du Tribunal de première instance de Tunis a émis ce jeudi 1er février 2024 un nouveau mandat de dépôt contre la présidente du Parti destourien libre (PDL) Abir Moussi.
Ce mandat de dépôt a été émis suite à une plainte déposée par l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) en vertu du décret-loi 54.
Abir Moussi fait désormais l'objet de deux mandats de dépôt. Le premier a été émis le 5 octobre 2023.
Même si le juge décide de sa libération dans le procès prévu dans quelques semaines, elle devra quand même rester en prison et ce, pour une durée maximale de quatorze mois à compter de la date d'aujourd'hui. La présidente du PDL et candidate du parti à la présidentielle sera, de ce fait, éliminée de la course à Carthage...
R.B.H

Aujourd'hui vous rigolez...demain ça sera votre tour...
Abir Moussi est une femme politique qui veut un pays moderne, sans les khomejs islamistes, qui DOIVENT être jugés DEMOCRATIQUEMENT et en TOUTE transparence, selon les règles et les PREUVE de terrorisme et de cellules armées en Tunisie depuis 2011, pour qu'ils ne puissent plus JAMAI revenir sur la scène politique en Tunisie.
Kaies aied en piétinant le béaba de la Justice, même envers les islamistes....les renforces.
PS : Remarquez mes amis, qu'il ne s'est JAMAIS attaqué aux salafistes et son copain Belhaj ; AUCUN...ceci montre que le bonhomme peut "activer" à TOUT moment "son" article 5 de sa fausse "constitution" pour fermer complètement le pays sous le label "coran et islam" ; Abir Moussi l'avait dit. Il le fera, croyez moi.
SAYEB ABIR
Et le refus jusqu'au sabotage contre la simple récitation de la Fatiha sous la coupole du parlement ARP du Bardo.
Deux crimes poids lourd contre la foi musulmane du peuple tunisien à 100 % musulman, pour ne pas continuer à citer ses autres innombrables crimes de haute trahison contre l'Etat tunisien et contre sa transition démocratique au profit de pays étrangers ennemis de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011 et de la réussite de sa transition démocratique.
Les comparses de la Zalèma moussi semblent avoir la mémoire plus courte que celle des poissons rouges ou qu'ils ne croient point ni à l'existence de notre Créateur et Créateur de tout l'univers Allah le Tout Puissant, ni à ses Châtiments Divins.
Bien sûr que c'est leur affaire à eux-seuls. Mais néanmoins, qu'ils cessent de nous prendre pour des cons athées dans cette Tunisie de la Zitouna et de Kairouan, alors que tout Musulman sur ce globe terrestre doit le savoir explicitement, qu'Allah yomhil wè lè yohmil.
Hèdhè taktakou, mèzèl fallèkou!!!