« Les différentes forces démocratiques ont bloqué le cheminement putschiste du chef de l’Etat », peut-on lire dans le communiqué du Front du salut publié samedi 28 mai 2022. Dans le texte, la coalition nouvellement constituée, pointe le remaniement au sein de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), brandit le dernier rapport de la Commission de Venise qui épingle le cheminement du chef de l’Etat et le juge « illégitime ».
Sur cette base, le Front de Salut appelle à un retour du parlement avant le référendum, dit le décret 22 anticonstitutionnel et explique que le référendum devra être fait avec l’ancienne composition de l’Isie, parce qu’élue.
« Il n’est pas possible de faire un référendum sans explications des procédures et de la marche à suivre mais plus important encore sans avoir accès à la Constitutions sur laquelle doivent se prononcer les électeurs », déclarent les membres du front.
Aussi, le Front du Salut dit adhérer à la plénière du 30 mars de l’Assemblée des représentants du peuple et pendant laquelle, il a été décidé de demander l’annulation de tous les décrets du « pouvoir putschiste ».
Le front a en outre appelé toutes les forces politiques à boycotter le calendrier électoral et à se coaliser pour un débat national afin de : « sauver la Tunisie ». Il est aussi question dans leurs communiqué, de déposer des recours afin de bloquer l’exécution des décrets 22, 30 et 506, relatifs au référendum.
S.A
Quelques dizaines de jours, vous et vos démarches vous seriez scellées sur le sort que le peuple vous réserve.
Ririra le premier qui ririra le dernier !
Cette brochette de malfaisants manifestent et induisent quelques dizaines de personnes en erreur, leurs projections n'est nullement pour du bien pour le pays .
Ils s'affichent fièrement en kamikazes des libérateurs de la nation en détresse !
Le comble, ne cherchant qu'en réalité leurs propres intérêts, occultant les vrais problèmes que traverse le pays.
L'histoire retiendra toutes les '?uvres de ces aventuriers des sentiers de la Honte et le déni.
Leurs faits seront mis en exergue par la justice citoyenne, la justice du peuple.
De toutes hommes épris d'honneur et d'amour pour la chère Tunisie.
Qu'Allah le Tout Puissant vous vienne en aide.
Vive la Tunisie. Vive la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011.
Le rendez-vous et pris avec l'histoire, et le peuple vous demandera des comptes.
Persévérez dans le déni.
En face : Au moins les deux tiers de la population tunisienne font confiance et soutiennent KS.
Après avoir tenu des réunions entre lslamistes et corrompus, le front de la pitié revient à la charge pour entraver le prochain référendum.
Le pauvre Chebbi qui pense défendre une cause juste s'est rallié au gourou pour devenir un personnage important et refaire surface dans le monde politique qui l'a ignoré des années durant.
Faire de la politique est à la portée de n'importe qui.
'?tre utile et reconnu est de loin plus difficile.
Chebbi est dans cette situation : il a fait de la politique, mais n'a jamais été reconnu comme un leader qui sait regrouper les citoyens.
Il parle, s'agite, participe mais n'obtient aucun appui, sauf aujourd'hui, celui des islamistes.
Non. Qui l'a de tout temps ignoré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les Tunisiens ne vont pas se nourrir politique
Ya politiciens cameleons ayez pitie du pays
Qui croire?
On se demande quel salut est visé et en faveur de qui ? "
Vous avez dit quel salut
Uniquement celui de leurs poches de rkhass, de vendus et de traitres, ainsi que celui de leurs comptes bancaires, intra et extra-muraux !!!!
Ce ne sont que des hordes d'affamés sans foi ni loi.
Depuis les jbéli, la3rayédh et le morfale marzouguiki, tous les ploucs, tous les gueux, tous les chléyék, tous les bagla-liha et les bouseux de la place, rêvent de devenir vizir et calife.
Ils sont comme des chiens enragés, cherchant tous les moyens pour se remplir les fouilles sur le dos du peuple, tout comme l'ensemble des parasites de la maudite terka l'avait déjà fait.
Ils sont comme des 8wouéyiches à l'affut !!!
La faim justifie les moyens.
J'ai vu, côtoyé des fripons ou des opportunistes dans les luttes syndicales, j'ai vu des gens abandonner le combat politique en optant pour le retrait, mais je peux vous assurer n'en avoir jamais vu qui vous regardent dans les yeux en disant qu'ils ont raison comme je peux le lire ici.
Cet acharnement à mentir, déformer les faits est signe d'un fanatisme d'un autre âge.
Et puis cette caste de petits politicards qui se vendent au plus offrant, reniant tout de ses engagements n'est pas exceptionnelle.
Elle reste outrancière par ses reniement successifs et son culot à nul autre pareil.
Il est vrai que c'est plus facile dans un pays de culture orale où la mémoire est volatile.
Il faut se souvenir que le seul combat qui vaille consiste à être vrai envers soi.
La constance, le courage et la vertu sont nécessaires surtout dans les temps troublés.
Et puis, cette autre donnée essentielle pour qui a le sens de la citoyenneté, l'intérêt général doit primer sur le particulier, condition utile et nécessaire pour faire société.
De tout cela, j'ai l'impression que nos sires sont dépourvus, en quoi vous avez raison.
Dès lors, je ne le sens pas de leur monde, et combattre me devient impératif.
Ce qui explique la dureté de propos, et le refus de céder face aux felons.
Vous les lisez comme moi, et vous notez, sans doute, que quels que seraient les faits ils soutiendraient contre la réalité en faveur de leur dogme.
Le fanatisme est un mal incurable, en son nom on tue, on méprise, on exclut.
Si vous y ajoutez qu'il enfanté toutes les tarés, tels le mensonge, la traîtrise, la perversion, vous avez compris que l'accepter c'est pactiser avec l'ennemi du peuple, du pays, le diable.
On ne peut débattre avec cette race.
C'est pourquoi je leur réserve le traitement idoine.
Choisis ton camp, camarade.
Avec intelligence et fermeté.
La seule et unique chance de tenir la transition démocratique tunisienne en vie, c'est de ne pas permettre la tenue de cette manipulation électorale, qui est totalement inconstitutionnelle et illégale. Il suffit qu'il y ait des élections sous l'égide des «anges élus» par le président Kaïs Saïed, pour qu'il y ait un suicide certain des « virus, cafards et chauves-souris des grottes », qui s'opposent à la destruction de l'Etat tunisien par les putschistes du 25 juillet dernier.
« Yè abiadh, yè assouèd, lèkine mouch ramadi ». Ou c'es blanc ou c'est noir, mais jamais du gris!!!
Allah yostir Tounes.
On se demande quel salut est visé et en faveur de qui.
Une assemblée corrompue, mise au service de Ennahdha et où l'opposition subissait tous les chantages, les violences pour ceux qui ne se rendaient pas, aurait une légitimité plus grande que l'appel du peuple à la dissoudre.
C'est de cette "légitimité" que nos frontistes conçoivent la leur.
Soudain préoccupés par la situation du pays, oubliant leurs turpitudes ils s'unissent derrière les islamistes leur offrant une virginité inespérée contre rétribution.
Il y a tant de sujets qui auraient mérité une mobilisation, mais cet aréopage a choisi son camp et endosse les habits de ceux qui ont organisé la faillite, volé, terrorisé, enrichis par le rapt de sommes considérables contre l'intérêt général, celui du pays.
Et, ce qui couronne le tableau, c'est de voir tout ce beau monde travailler pour ceux qui ont commandité l'assassinat de leurs collègues Belaid, Brahmi.
Moralement, c'est le signe de la faillite.
Politiquement, le carriérisme est leur moteur, et l'absence de mémoire comme de morale sonne le tocsin, annonce du pourrissement généralisé.
Vous prépariez un putsch, aviez tâté de tout, les coups fourrés, les chicanes, les détours, la mobilisation de troupes sans succès, il ne restait que le recours.
Mais des recours, vous en eutes.
Recours à l'étranger.
De Bruxelles à Washington.
Le gourou a rappelé tous les amis, les supporters, même les lobbys auprès des juifs américains, de sénateurs, rien n'y a fait.
En désespoir de cause, et pour échapper à la reddition de comptes, il monnaie des relais sur place.
Et, nous voilà avec Chebbi, qui joue sa réputation, ou la vend, supporter de Ennahdha.
Au nom de quoi, je vous le demande ?
Au nom de la "légitimité".
Beau sujet de dissertation pour les bachoteurs et apprentis politistes.
Il n'y a pas de légitimité, strict sensu, puisqu'est légitime ce qui recueille le consensus ou en émane.
En l'occurrence, il y a dissensus.
Il y a un Président, garant et légitimement gardien de la République, de l'ordre public, de la justice, et au service des citoyens.
Et les citoyens l'ont mandé pour rétablir l'ordre, l'équité, le droit, contre tous ces gens à raison de leurs méfaits. Leurs forfaits.
Choisis ton camp, camarade.
Et, la lutte continue.
Je rejoindrai nos démocrates le jour où ils feront montre de la même détermination pour poursuivre tous les voleurs, les illégalistes, les fripon qui ont malmené et asservi la justice, détourne en leur faveur argent, institutions.