Le bureau exécutif élargi du Syndicat national des Journalistes Tunisiens (SNJT) s’est réuni, ce mardi 10 novembre 2020, et a décidé d’observer une série de mouvements de protestation, notamment une journée de colère nationale, une grève générale et un sit-in au siège de la présidence du gouvernement.
Ces mouvements, dont la date sera fixée ultérieurement par le bureau exécutif du syndicat, seront observés à cause des promesses non tenues par le gouvernement, dont la publication de la convention cadre et la convention sectorielle dans le Jort, le paiement des salaires des journalistes des établissements médiatiques confisqués, la régularisation de la situation précaire des établissements médiatiques publics, le recrutement des diplômés chômeurs de l’Ipsi et l’activation des mesures de soutien des établissements médiatiques sinistrés par la pandémie du coronavirus
S.H
Journée de colère et série de mouvements de protestation pour les journalistes
Le bureau exécutif élargi du Syndicat national des Journalistes Tunisiens (SNJT) s’est réuni, ce mardi 10 novembre 2020, et a décidé d’observer une série de mouvements de protestation, notamment une journée de colère nationale, une grève générale et un sit-in au siège de la présidence du gouvernement.
Ces mouvements, dont la date sera fixée ultérieurement par le bureau exécutif du syndicat, seront observés à cause des promesses non tenues par le gouvernement, dont la publication de la convention cadre et la convention sectorielle dans le Jort, le paiement des salaires des journalistes des établissements médiatiques confisqués, la régularisation de la situation précaire des établissements médiatiques publics, le recrutement des diplômés chômeurs de l’Ipsi et l’activation des mesures de soutien des établissements médiatiques sinistrés par la pandémie du coronavirus
C'est dommage que les médias n'ont pas suivi le mouvement populaire contre la médiocrité des politiques, maintenant ils se trouvent un peu seuls devant ces problèmes qui ne datent pas d'ailleurs d'aujourd'hui. Au lieu de se rapprocher des citoyens et débattre de leurs soucis, ils ont consacré pratiquement tous les espaces pour la promotion des querelles et les règlements de comptes, terrain favori des partis qui n'ont rien à cirer des difficultés des journalistes. Je parie qu'aucun parlementaire ne va défendre leur cause.
