Dans un entretien avec la Radio Nationale, mercredi 4 mars 2015, le président de la République, Béji Caïd Essebsi, s’est exprimé sur la situation au gouvernorat de Jendouba gravement touché par les inondations et la crue du fleuve Mejreda.
Ecoutant une émission sur la radio nationale qui diffuse aujourd’hui en direct depuis Souk Lirbâa, une des régions sinistrées à Jendouba, M. Caïd Essebsi aurait pris l’initiative d’appeler ladite chaîne.
« L’Etat ne fermera pas les yeux sur cette situation et trouvera la solution adéquate au problème » a-t-il assuré. Et d’ajouter que celle-ci résulte « des accumulations de plusieurs années » et perdure « au fil de gouvernements successifs ». Le président de la République a estimé, lors de l’émission, qu’il y a plusieurs responsables de la situation. « Les citoyens ayant construit des maisons au bord du fleuve y sont aussi pour quelque chose » a-t-il glissé.
Le chef de l’Etat a affirmé que les autorités suivent de près l’évolution de la situation, indiquant que le problème ne peut être réglé d’un seul coup, mais de « manière progressive ». Il a tenu, par la même, à souligner que les habitants de Jendouba font partie intégrante de la Tunisie, « tout comme ceux du Sud d’ailleurs » a-t-il ajouté.
E.Z.
les artistes Bouchnek en tete DEVRAIENT ORGANISER UN GALA DE SOUTIEN A JENDOUBA
et nos hommes richissimes winhom
L 'UTICA WINKOM?
Oued Mellègue n'est que l'affluent de oued Medjerdah qui peut avoir un débit de 3500 m3/s...
Alors quelles sont les lachures des barrages à l'amont de Jendouba? A l'amont de Boussalem? Des chiffres des débits!
Et comme Mjezelbab est elle aussi sous l'eau, alors quel est le débit ou le volume laché sans oublier le retour de la vague sur Boussalem?
Alors pour un débit de 3500 m3/s quel doit être la section du canal pour assurer l'équilibre énergitique (Bernoulli oblige)?
Sachant que la vitesse est égale à racine carré de 2gh où h est...
Bouf BCE connait mieux que moi car il a fait appel à ESSID autrefois...
Parce qu'il ne faut pas que ça dégénère. D'aucun pense qu'il y va de la sécurité nationale.
Mr le Président, s'il faut taper sur les doigts, il faut le faire. S'il faut virer il faut le faire. Mais le plus sage serait de couper la poire en deux. Chose que les protagonistes ne semblent pas vouloir s'y faire.