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En chiffres, la situation de l'Office national de l'huile
07/11/2024 | 10:15
1 min
En chiffres, la situation de l'Office national de l'huile

 

L’Office national de l'huile (ONH) est déficitaire pour la période 2020-2022, selon les chiffres publiés par le ministère des Finances en janvier 2024 dans son "Rapport sur les entreprises publiques, annexé à la loi de finances 2024".

 

Son résultat net est passé de -19,3 millions de dinars en 2020, à -19 millions de dinars en 2021 puis à -32,1 millions de dinars en 2022. Son déficit s’est donc aggravé de 66,32% entre 2020 et 2022. Cela dit, ses résultats reportés sont positifs passant de 267,2 millions de dinars en 2020 à 255,3 millions de dinars en 2021 puis à 280 millions de dinars en 2022.

Ses revenus sont de 47,5 millions de dinars en 2022 pour une prime d’exploitation de 345,3 millions de dinars (contre des revenus de 96,8 millions de dinars et une prime d’exploitation de 274,7 millions de dinars en 2020).

Ainsi, les revenus de la société ont donc baissé de 50,92% entre 2020 et 2022 alors que les primes ont augmenté de 25,7%. Les charges financières, quant à elles, ont évolué de 69,52% pour cette même période passant de 21 millions de dinars en 2020 à 35,6 millions de dinars en 2022.

La société compte 281 agents en 2022 pour une masse salariale de 7,8 millions de dinars.

 

I.N.

07/11/2024 | 10:15
1 min
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Commentaires
elfribo
Office National ou Societe?
a posté le 07-11-2024 à 15:31
"La société compte 281 agents en 2022 pour une masse salariale de 7,8 millions de dinars."
Je suis perdu, l'auteur commence par parler d'un Office National et finit pas le designer comme une Societe.
Une Societe deficitaire des annees durant aura ferme ses portes longtemps deja.

Patriote
La mafia cancéreuse de l'administration étatique
a posté le 07-11-2024 à 14:17
L'Office national de l'huile est l'exemple même du pillage institutionnalisé en Tunisie. Plutôt que de valoriser un secteur stratégique et rentable, cette structure étatique ne fait qu'accumuler les déficits. Les chiffres montrent clairement une mauvaise gestion qui ne peut être qu'encouragée par la corruption et les détournements. L'argent public est dilapidé pour enrichir une poignée de profiteurs de l'étatisme économique. l'Etat ferme les yeux sur ces vermines et préfère plutot s'acharner sur des entrepreneurs brillants et visionnaires comme Mr. Abdelaziz Makhloufi un acteur clé de l'industrie de l'huile d'olive reconnu mondialement pour ses efforts de valorisation du patrimoine agricole tunisien. Le contraste entre la répression des pionniers et l'impunité des responsables véreux est frappant, soulignant l'absurdité d'un véritable Etat voyou qui condamne la prospérité au profit de l'immobilisme et du pillage.
Citoyen_H
UNE FOIS DE PLUS, DES PHENOMENES PARANORMAUX, PROBABLEMENT
a posté le 07-11-2024 à 12:23
C'est comme la situation du taux de remplissage de nos barrages, plus il pleut et plus, ils se vident
La gangrène chameliere post-2011 a fini par tout détruire, par tout putréfier.
Première urgence : Dégraisser le nombre affolant de bras cassés au sein des administrations publiques, dont la majorité fut engagé lors de la gouvernance des très médiocres et calamiteux criquets pèlerins, tels que les, Marzouguiki, Khriji, Jbéli, Abbou, La3rayedh & Co.
Deuxième urgence : La construction de toute urgence de plusieurs bagnes, est indispensable pour faire face aux inquantifiables flux de rats d'égouts ayant mis à sac notre NATION.
Troisième urgence : Mise au congélateur des syndicats pour les cinquante prochaines années !!!!

Le volume des racailles a atteint un niveau dépassant tout entendement.
Il faut accélérer la mise aux fers des corrompus tous azimuts.
Dans l'état actuellement des choses, il n'y a aucune autre alternative.
Ne nous voilons pas la face. Il faut guérir le mal par le mal.
Aucune pitié envers les coupables.
Galou, ou ni bri, pour lou démoucrassie !!!!!
Bagla t'hizkom, les ignares, les escrocs, les fainéants et les bons à rien.
Abel Chater
Ce qui me pousse à ne plus comprendre si je devais rire ou pleurer aux vraies larmes, c'est que la majorité des Tunisiens n'arrivent-ils même pas à goûter un seul centilitre d'huile d'olives de chez nous, alors que le matraquage par dizaines de millions de dinars (milliards de millimes) et de milliers de tonnes d'olives comme d'huile d'olives, continue à massacrer le sentiment d'appartenance à cette merveilleuse Patrie tunisienne.
a posté le 07-11-2024 à 11:13
Il ne manque encore aux Tunisiens, que de s'aligner devant les gouvernorats, pour mendier un seul litre d'huile d'olives ou un petit verre d'huile d'olives à goûter, comme étant un produit pharmaceutique rare à acquérir en Tunisie. Cette même Tunisie, supposée être le deuxième pays plus grand producteur d'huile d'olives du monde entier.
Un non-sens et une grande injustice impardonnable envers le peuple tunisien!!!
Allah yostir Tounes.
le financier
de vrai escrocs et des paratique de mafieux
a posté le 07-11-2024 à 10:49
ils ont aspir2 tous ce qu il pouvait , sans se cacher sans pitier .
Ces chiffres montrent des pratiques de mafieux , primes et charge on augmenter de quasi 90% .

Ils vivent bien les escrocs
DHEJ
281 salariés
a posté le 07-11-2024 à 10:41
Qui fait quoi

combien d'agent d'exécution

combien d'agent de maîtrise

combien de cadre administratif et technique


Ou est-ce que cet office dispose d'un manuel de procédure pour établir les nombre de personnel qu'il faut pour mener à bien sa mission.

Il est possible que ONH est en sous-effectifs