Le journaliste et animateur TV Borhen Bsaïes a estimé dans un statut publié vendredi 26 mars 2021 que l’exécutif était derrière « les campagnes de dénigrement qui ont été lancées sur les réseaux visant plusieurs acteurs de la scène nationale ».
« Les noms ayant circulé sur les réseaux sociaux ont été lancés depuis quatre ans par les exécutifs pour être dénigrés dans le but d’assouvir ses haines et ses rancœurs », a-t-il écrit citant comme exemples l’homme d’affaires, Chafik Jaraya, les deux hauts cadres sécuritaires, Imed Achour et Saber Laâjili, ainsi que l’ancien ministre de l’Intérieur Najem Gharsalli.
Borhen Bsaïes a ainsi précisé que l’affaire de haute trahison impliquant l’homme d’affaires Chafik Jarraya et les deux hauts cadres sécuritaires avait été fabriquée de toutes pièces à la Kasbah et que quatre ans après, le « rapporteur» dans cette affaire avait été condamné à cent ans de prison pour mensonge et falsification de données et ce, sans accorder le moindre intérêt aux atteintes à l’honneur et à la réputation des cadres sécuritaires et de Najem Gharsalli qui ont été faussement accusés.
La chambre criminelle du Tribunal de première instance a condamné hier jeudi 25 mars 2021 le sécuritaire Ahmed Ouni à 184 ans de prison pour avoir accepté un pot-de-vin de la part des propriétaires des voitures saisies dans le cadre d’une affaire terroriste.
I.M.
La révolution n'a pas permis l'émergence des forces vives, des compétents, des braves et des meilleurs, au contraire, les minables devenus notoires, bien fringué, jouant le chroniqueur, le grand philosophe et même l'un des patrons des plateaux !
Sans scrupules, ni foi ni loi, le porte-parole de la tyrannie d'hier devenu Sobhana Allah le gentleman de la télé, se permet d'analyser tout ce qui bouge sur la scène politique, les caméléons, les profiteurs et les cafards sont les principaux bénéficiaires de cette révolution.
La révolution de droits est bafouée.