Le professeur de droit, Amine Mahfoudh a publié, ce dimanche 5 septembre 2021, un statut sous le titre « 25-juillet, et après ? », estimant que le président de la République avait bien choisi le timing pour activer l’article 80, mais qu’il espérait que le président de la République présente son plan d’action durant cette semaine pour rassurer les citoyens quant à l’avenir du pays.
Dans ce contexte, le professeur de droit a considéré que l’élimination de la corruption démocratique (2011-2021) ne peut avoir lieu que dans le cadre de l’Etat de droit.
D’autre part, Amine Mahfoudh a indiqué qu’il avait conseillé au président de la République d’activer l’article 80. « Les pays amis de la Tunisie avaient considéré que la Tunisie ne vivait pas un coup d’Etat mais un état d’exception, ou un état d’urgence, à l’instar de la délégation américaine. Si certains utilisent le terme coup d’Etat, cela ne me dérange pas puisque cela s’inscrit dans le cadre de la liberté d’expression », a-t-il expliqué.
S.H
Les indulgences eurent mieux payé.
Si cela continue père GZ finira défroqué.
Houla! Du calme. Ne tirez pas des plans sur la comète.
Le traitement de votre chèque, libellé en monnaie de singe, soit dit sans vous offusquer, coûtera plus cher que le montant dont vous envisagez de me gratifier.
Si mon intercession ne vaut pas mieux, gardez vos mille Millimes. Elle existe encore cette subdivision depuis longtemps inutile ?
Ce soir, jeudi 9 /09, Radio Classique retransmet en direct depuis la Philharmonie de Paris un concert de l'orchestre de la ville sous la direction d'un jeune et brillant chef d'origine espagnole Gustavo Gimeno.
Programme exclusivement ravelien. Que des oeuvres "hispanisantes" du compositeur.
Je pense que vous pouvez le retrouver en "Replay".
Bonne écoute.
Et elle a failli être bonne, hélas !
Ils avaient pourtant annoncé le matin même et toute la journée sur Radio Classique le programme des réjouissances. . .
Et comme je ne suis (pratiquement) branché que sur cette radio, habitude qui remonte très loin dans le temps. . .
Mais là, le jour de Ravel. . . je "rate" l'écoute (re-bouhou !). . . alors que cela ne m'arrive (volontairement) que lorsqu'il est question de musique TROP contemporaine. . .
Les goûts et les couleurs. . .
Je vais tâcher de retrouver le concert en "replay". . .
Merci pour le tuyau, c'est toujours un plaisir de vous lire. . .
MPP.
Deux termes "antinomiques" et contradictoires (même en arabe !) dont la combinaison est aussi claire que de l'eau de boudin !
Surtout de la plume d'un "professeur de droit". . .
J'veux bien que l'on m'explique. . .
MPP.
Lu ce dimanche, " Oulipiennes, oulipiens, rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils proposent de sortir"*.
Si on mord à cet exercice, on est fait...
Bien à vous.
* Moments oulipiens, Castor Astral
Bordeaux 2002
A l'absurde nul n'est tenu !
Mais merci quand-même de m'avoir expliqué. . .
A bientôt !
MPP.
Fructifier l'argent sale , exploiter les démunis, se faire aider par des loobyng étrangers, investir pour l'achat des voix.. utiliser la religion...Il n'y a pas eu de suivi suite au rapport de la cour des comptes, la justice heurtée par cette fameuse immunité de l'impunité pour ouvrir la voie aux dépassements, délits commis par les élus.
Je pense que ce sont les défaillances, anomalies qui touchent le sain fonctionnement démocratique.
Surtout au niveau des élections et ce qu'en découle.
Une tentative d'explication pour essayer d'éclairer Mr GZ, sans prétention.
Merci pour vos éclaircissements.
Mon employeur refuse qu'on le voussoie. Pour les collaborateurs du moins.
Il dit que cela le vieillit.
De mon côté, j'ai suffisamment de cheveux blancs comme cela.
Ce n'est rien de plus qu'un clin d'oeil tout ce qu'il y a d'amical.
Encore merci.
Bien à vous.
besoin ?
Le clin d'oeil amical concerne la civilité placée devant les initiales-pseudo de votre serviteur.
Je vous souhaite une bonne soirée.
Loin de moi tout sarcasme, je n'y comprends goutte.
Si un lecteur charitable peut éclairer ma lanterne, je suis preneur.
Je sais que vous ne lisez pas l'arabe mais le "traducteur maison" n'a pas commis d'impair cette fois-ci. . .
C'est pourquoi l'éminent prof de droit nous doit une explication. . .
MPP.
Je n'ai pas lu le texte en arabe.
J'aurais dû.
Ah, oui au fait je le lis.
Paresse intellectuelle.
Honte à moi et bien à vous.
Que c'est formidablement écrit ! L'amplitude du vocabulaire français.
PS : le Dimanche c'est le couscous de chez nous ! Bonne appétit, cordialement GZ.(Manai)
Arrêtez de me faire saliver.
Vous me donnez envie d'en manger. Mon beau-père qui a vécu en Algérie en faisait un fameux. "Tu manges les doigts avec".
Si on continue, ce site va devenir
un forum gastronomique.
Bien à vous.
J'ai trouvé ça pour vous
Bonne soirée
Merci pour le tuyau. Hélas, sur mon smartphone votre réponse apparaît amputée du côté droit au niveau de "atelie".
J'arrive à reconstituer la fin de certains commentaires, quand cela arrive. Avec des références, cela reste très aléatoire.
J'ignore si cela vient de mon téléphone ou bien du site.
Toujours merci.
Bien à vous.
Généralement associée aux oeuvres classiques de Platon à Rousseau en passant par Aristote et Machiavel, la notion de corruption avait pour ainsi dire disparu de la carte de la philosophie politique, tant chez les auteurs qui se réclament de la théorie critique que chez théoriciens analytiques de la justice plus soucieux d'élaborer des principes politiques que d'examiner les institutions qui les réalisent[1]. Or, depuis le milieu des années 1990, la corruption fait l'objet d'un regain d'intérêt qui se manifeste par une augmentation du nombre de publications, des événements académiques et des programmes de recherche financés sur ce thème[2]. Comment peut-on expliquer ce phénomène ?
Il faut reconnaître d'abord que la corruption n'a pas cessé d'être étudiée en économie, en science politique et en sociologie, et ces différentes disciplines constituent évidemment une source importante de la réflexion philosophique[3]. Sous leur influence, l'usage de la notion de corruption a étendu au domaine privé, celui de l'entreprise et du marché, alors qu'il était plutôt réservé aux actes impliquant des personnes dotées d'une autorité publique (fonctionnaires, représentants politiques, gouvernants). Cependant, dans la plupart des études, la corruption reste comprise dans son acception juridique c'est-à-dire comme un acte qui consiste à utiliser sa fonction pour obtenir des gains personnels. En introduisant les notions de règles et d'échange, on peut définir la corruption comme le fait pour un agent (x), ayant un contrôle sur des règles dans le cadre d'une fonction (publique ou privée), d'utiliser son pouvoir pour favoriser un agent (y) en suspendant l'application des règles en échange d'une faveur de la part de l'agent (y)[4]. La catégorie de corruption comprend ainsi des actes que le droit traite séparément comme les pots-de-vin, la collusion, le délit d'initié, le trafic d'influence, le conflit d'intérêt, etc. Mais cette définition réduit la corruption à une violation de règles légales accomplie par des individus, à la moralité personnelle défaillante, dans le cadre de leur fonction. Cela n'intéresse pas beaucoup la philosophie politique qui privilégie l'analyse des institutions et des rapports de pouvoir, et la justification des règles publiques. Cela explique sans doute pourquoi cette dernière est restée relativement silencieuse sur les enjeux de la corruption.
C'est long le texte je n'ai pu copier tout.
Bien à vous
Merci infiniment. Vous vous êtes donné bien du mal pour ma modeste personne et je vous en sais gré.
Même si, comme vous dites, le texte est incomplet, c'est suffisamment instructif et éclairant comme cela.
@ AR et vous, élargissez le cercle de mes ami-e-s sur ce forum.
Je m'en vais tout relire.
Je vous souhaite une bonne soirée.
Merci encore.
Bien à vous.
Merci beaucoup pour votre adorable gentillesse
Bonne soirée
Soulagé de constater de n'être pas seul à ne pas piger.
Bien à vous tous.
Mardi 17:40. . .
Quelle impardonnable confusion. . .
Figurez-vous qu'en vous "déniant" une quelconque capacité à lire l'arabe, j'avais confondu entre votre pseudo (GZ) et celui de Gg. . . notre irremplaçable franchouille qui n'est pas censé entraver un traître mot de notre idiome. . .à part bien sûr les classiques gros mots et autres jurons du cru. . .(un juron est déjà assez cru comme ça).
Mille excuses et dix milles contritions et auto-flagellations. . .
MPP.
Je vous absous mon fils.
Cessez de tourmenter votre âme.
Partez en paix.
Cette fois-ci, père GZ rase gratis.
Pour la prochaine l'indulgence sera payante.
PS. Ne prenez pas ce qui suit en mauvaise part mon fils, je vous connais suffisamment , votre langue et votre style, que sans flagornerie déplacée j'apprécie, je mettrai donc cet écart sur le compte du sentiment de confusion, à mon sens exagéré né du mélange des G, et puis je ne voudrais nullement mettre à mal la cohésion d'une équipe qui gagne, même si je soupçonne ce @ Compteur de favoritisme à l'endroit des mécréants et même si avec ma soutane de "ratichon" "gredin" dites vous, je ressemble plus à un boulet qu'à un coéquipier,
"mais où il veut en venir avec toutes ses précautions oratoires ?" , dites-vous. A ceci, mille est invariable. Cette subtilité inexpliquée ne vous échappe pas . Ne vous a jamais échappé . Vous ne l'ignorez pas.
Je n'ignore pas que vous ne l'ignorez pas.
Vous avez dû constater que sous l'article consacré à Héla Ouardi, père GZ a lui aussi commis quelques impairs. Il a pour cela copieusement battu sa coulpe.
Il en va des accords comme il en va de l'impôt. Point trop n'en faut.
Merci de m'avoir procuré un moment de distraction à un moment fui par le sommeil.
J'ai, cette fin de journée rencontré une connaissance rentrée du bled. Ce qu'il en dit me plonge dans une grande tristesse. Comme vous, je regrette cette Tunisie des années 70 où, comme vous l'avez écrit on était probablement plus libre et heureux.
Au plaisir de vous lire, des mille et des mille.
Des mille et des cents. . . c'est plus décent !
Et pourtant, quand je remplis un chèque je ne commets jamais cet impair primaire. . . (même à mon crédit !) Décidément, quand ça part en sucette. . .
Je n'ai pas volé mon bonnet d'âne. . . bouhou. . .!
Mon p'tit mot sur Héla Ouardi m'a fait voir des accords partout. . . sans mon accord, bien entendu !
Au plaisir partagé. . .
MPP.
"Bouhou" m'a fait bien rire.
Merci. Pour un chèque avec mille s, je suis preneur.
Content que vous l'ayez pris sur ce ton. Je ne vous cache pas que j'étais inquiet.
Rien ne part donc en sucette.
Voici pour vous remercier une contrepèterie tirée de "Moments oulipiens" p. 38, attribuée par Marcel Bénabou à Georges Pérec : "Les archéologues mettaient dans leurs caisses les produits de leurs fouilles".
"Quand ça part en sucette"...
A vous lire des milles et de cent
. J'ai droit à mon bonnet d'âne
Bouhou, bouhou.
Ok. . . je vous faxe tout de suite un chèque de mille. . . millimes. . . une fortune, quoi !
Marrante la contrepèterie. . . d'un vrai "verbicruciste" !
Et ça fleure bon le Volatile. . .
Tiens, je viens de le recevoir "c'tantôt" comme disent les "provinciaux". . . (dit sans mépris aucun. . .).
Après l'avoir assidument acheté au kiosque, j'ai décidé de me faire plaisir cette année. . .et de ne manquer aucun numéro.
Sinon, bonne lecture à vous !
MPP.
Je m'adresse à Mr Mahfoudh et à tous ceux qui veulent du bien à notre patrie, sans cette amalgame inutile de la culte de la personne, ni soutien aveugle de n'importe quelle partie ou fanatisme aveugle.
Les Tunisiens, je pense, sont en majorité pacifiques, modérés et conciliants, nous espérons à une république forte et stable, un état de droit où chaque individu retrouve son indignité, ses obligations et ses droits.
Depuis le 25 Juillet des voix qui s'élèvent pour manifester leur mécontentement, indignation pour réclamer cet état de droit.
Comme si le peuple qui s'est soulevé pour demander dictature, vengeance, chasse à l'homme et anarchie !
Non, détrompez-vous !
La chasse à la sorcière developpe la haine, la violence, la division et constitue un obstacle pour la construction d'une république saine, exemplaire.
Vous êtes professeur de droit, on aimerait bien connaître votre vision globale, détaillée et précise sur le sujet.
Comment opérer devant une justice presque absente, statique, qui n'arrive pas à décoller et qui souffre elle même de conflits internes et déchirement ?
La justice militaire est un recours de secours et non une solution.
Une table ronde est demandée par un pays étranger, pour essayer de trouver, de proposer des éléments de solutions.
C'est une honte que nous sommes incapable de nous débrouiller pour mettre en place une table et inviter des femmes et hommes honnêtes et valeureux pour participer.
Je vous rappelle B.N que je vous ai imploré depuis des mois pour présenter une initiative dans ce sens, j'ai l'ultime conviction que vous en êtes capables.
Oui le président est politiquement bleue, sans parti politique, sans carnet d'adresses comme vous l'avez signalé, heureusement d'ailleurs, sinon il n'aurait jamais le courage de prendre les mesures du 25 Juillet, B.C.S a eu la même situation avec les mêmes aléas, mais a préféré malencontreusement les tractations que l'affrontement, échéance reportée au 25 Juillet 2021. Fin de récréation.