Le chef du gouvernement d’union nationale, Youssef Chahed, a présidé ce mardi 30 août 2016, une réunion de travail consacrée au dossier du phosphate dans le bassin minier.
La réunion s’est tenue en la présence de la ministre de l'Énergie et des Mines, Héla Cheikhrouhou, du ministre du Transport, Anis Ghedira, du ministre en charge des relations avec les Instances Constitutionnelles, la société civile et les droits de l'homme, Mehdi Ben Gharbia, du ministre chargé des relations avec l’ARP, Iyed Dahmani, ainsi que des élus de la région de Gafsa.
Youssef Chahed préside une réunion de travail consacrée au dossier du phosphate
Le chef du gouvernement d’union nationale, Youssef Chahed, a présidé ce mardi 30 août 2016, une réunion de travail consacrée au dossier du phosphate dans le bassin minier.
La réunion s’est tenue en la présence de la ministre de l'Énergie et des Mines, Héla Cheikhrouhou, du ministre du Transport, Anis Ghedira, du ministre en charge des relations avec les Instances Constitutionnelles, la société civile et les droits de l'homme, Mehdi Ben Gharbia, du ministre chargé des relations avec l’ARP, Iyed Dahmani, ainsi que des élus de la région de Gafsa.
Voilà, on y arrive !!! " la femme de tel ministre a reçu celle de tel autre ministre : POINT FINAL !!! Pourquoi ne pas divulguer les détails ? Il se peut qu'un esprit bien éclairé peut vous suggérer une solution miracle !!! on ne sait jamais !!!
Désolé, je suis obligé de me répéter, depuis 2011... J'aurai l'air de radoter, mais ce n'est pas le cas, c'est seulement que cette affaire me tient bougrement à c'ur : tout l'avenir de ma belle et pauvre Tunisie en dépend !!!
L'avenir de l'économie tunisienne tient en grande partie à un fil : celui qui en garantit la survie et empêche les blocages de lui asséner le coup mortel ! Il faut absolument garantir les livraisons du phosphate soit aux navires qui en assurent l'exportation, soit aux usines de transformation du Groupe Chimique, de Tifert, etc. Notre économie est déjà trop fragile, car elle dépend trop étroitement de cette maudite matière première. Empêcher le bon écoulement du phosphate condamnerait définitivement notre économie nationale à l'anéantissement. Beaucoup de revendications entravent l'écoulement du phosphate, certaines sont même tout-à-fait légitimes ; mais une considération doit l'emporter sur toutes les autres : il faut garantir le transport du phosphate vers ses lieux de traitement ou d'expédition. Il FAUT donc IMPÉRATIVEMENT que les voies du chemin de fer soient dégagées, sans aucune violence si possible, en empêchant des groupuscules suicidaires de quelques personnes de camper sur les voies car, QUOI QU'EN DISENT CERTAINS, les sit ins sont illégaux et anticonstitutionnels : ils sont une atteinte à la liberté du travail, et constituent une menace à l'ordre public. Interdisons ces sit ins, empêchons les empêcheurs du travail de nuire, nous rendrons le meilleur service à l'économie et... à ces sit inners suicidaires!!!
Il y avait une cellule à la présidence du gouvernement dédiée au suivi de la situation au bassin minier. Je pense qu'elle continue à fonctionner. Y étaient représentées toutes les parties prenantes. Des décisions pertinentes y étaient arrêtées. Mais on trouvait toutes les difficultés à les mettre en application. Allez savoir pourquoi?
J'en doute très fort. Il me semble plutôt qu'il s'agit d'un refus de la population (de TOUTE la population), de produire ou de laisser produire, sans savoir où iront les recettes , les millions des dollars issus de l'exportation. C'est donc un problème politique fondamental, une résistance à l'Etat central et à ses services, qui devrait etre pris en main par le Chef de l'Etat, et peut-être par une commission parlementaire. Mettre cette question sous l'autorité de la ministre des mines, c'est de l'aveuglement qui sera mal reçu sur le terrain. Les visages sombres et fermés des députés dit d'ailleurs tout...Ils ne sont pas sur la meme planète que le premier ministre et son équipe.
A un moment Ridha ben Mosbah, ancien PDG cpg avec Badreddine Braiki ont failli touché la solution au problème bassin minier . Initiative avortée tout simplement parce qu'ils ont trouvé le filon par où rentrer mais hors circuit syndicat et bailleurs de la crise sans pour autant les exclure de la solution et pourtant les deux étaient les plus proches de Habib Essid .. Jendoubi prend la relève ou à fait tout pour prendre à son compte . Tout tombe à l'eau
Voila une bonne nouvelle que de s'attaquer en priorité au problème du phosphate qui est l'un des piliers de nos rentrées en devises.Bon courage à tous.
