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Visite inopinée de Slim Chaker à la Commission de gestion des biens confisqués
07/08/2015 | 14:35
1 min
Visite inopinée de Slim Chaker à la  Commission de gestion des biens confisqués

En prévision de la réunion de la commission de gestion des biens confisqués qui se tiendra lundi prochain, Slim Chaker, ministre des Finances, a effectué, au matin du 7 août 2015, une visite inopinée au secrétariat permanent de la commission de gestion des biens confisqués.

 

 

Le ministre a exprimé au cours de la visite son profond mécontentement quant au rythme très lent du traitement des dossiers et le laisser-aller noté dans cette structure.

 

On croit savoir que suite à cette visite, le ministre aurait décidé de nommer Ahmed Khedher en tant que nouveau responsable du secrétariat permanent de la commission de gestion des biens confisqués.

 

R.B.H


07/08/2015 | 14:35
1 min
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Commentaires (6)

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Zele
| 09-08-2015 00:28
Ce monsieur ferait mieux de consulter des experts pour ne pas prendre des decisions allant a l'encontre du bon sens. Il a commis la bourde qui lui collera a jamais de mettre la Banque centrale sous la tutelle des commissaires au compte. Jusque la c'est la Banque Centrale qui controlait leur travail, Ce ministre ignore que c'est cette institution prestigieuse qui a denonce depuis la revolution les abus des businessmen. En 2003 son gouverneur a eu le courage, que n'a pas eu M.Chaker de dresser une liste des hommes d'affaires les plus endettes qui continuent a beneficier des largesses des differents gouvernemnts. Ce gouverneur a perdu sa place sous la pression du lobby, devenu depuis plus cupide, mais a sauve son honneur. Idem M. Kamel Nabli a renforce le controle des banques et a ete a l'origine de l'audit des banques publiques. Il a ete ecarte par la troika puis par Nidaa. Dans la mediocrite regnante, la competence derange. Sinon comment expliquer que des marchanges populistes de derniere minute sans consultation de l'institution concernee soit votee en loi contre toute logique et en toute ignorance pour faire passer la recapitalisation de 2 banques publiques. Pauvre pays, il touche le bas fond grace a sa classe bolitique.




Hayem Karoui
| 08-08-2015 14:12
Quand en général on interroge un jeune élève pour savoir ce qu'il veut faire plus tard il répond: fonctionnaire. Pourquoi: c'est la quasi certitude qu'il çe sera pas mis à la porte s'il ne fait pas de gros dégâts. Seuls les hauts responsables payent la note et encore! Ils sont mis au frigo. Donc déjà avant de travailler et dès notification du recrutement le postulant est soulagé sur son «avenir». Il faut que cette mentalité soit sévèrement combatue. Seul le travail doit payer. Népotisme, favortisme, piston, regionalisme, appartenance partisane.
Tout cela doit être mis dans la corbeille à papier. La revolution est venue combattre tout cela mais malheureusement les vieilles traditions non seulement subsistent mais transparaissent avec insolence au grand jour. L'administration doit retrouver ses lettres de noblesse et le coup de balai de Slim Chaker est bienvenu.

bahrila
| 08-08-2015 08:03
il faut arrêter avec les visites inopinées ; elles ne prouvent qu'une seule chose : les ministres savent donc que leurs subordonnés ne font pas correctement leur travail et cherchent à les surprendre en flagrant délit de grattage d'entrejambe...

HatemC
| 07-08-2015 18:25
Wallah Khatini

... des fonctionnaires qui bullent à longueur de journée .... que des ronds de cuir ... des tir au flanc ... et en plus la séance unique n'arrange rien non plus ... déjà que le Tunisien ne travail que qqes mn par jour ....!!!!
Fonctionnaires livrés à eux mêmes ...sans mangement ... sans contrôles ...
A LA BONNE FRANQUETTE ...
Incompétents doublés de oisifs .. et dire que ce pays regorge de CHOMEURS qui ne cherchent qu'à travailler ... HC

JOHN WAYNE
| 07-08-2015 14:42
@ John WayneSkywalker| 07-08-2015 12:31 JW je suis vos commentaire depuis bien longtemps. La seul vérité que je vois dans vos différentes réflexions et que la Tunisiens sont vraiment un peuple de Merde. Il est vrai que Ben Ali a apporté des choses au pays, mais il lui en beaucoup pris aussi. C'est cette équation que vous n'arrivez pas à résoudre alors vous vous enfermez dans un cercle vicieux duquel vous ne pourrez pas en sortir, parce que votre raisonnement est purement sécuritaire. vos écrits sont certes d'une certaine consistance romanesque, mais dénués de tout sens pragmatique. Par pragmatique j'entends par là qu'on ne peut donner un avis catégorique sans faire le tour d'horizon de la gestion d'un pays sur le plan politique, social, économique et culturel.Laissons l'économie de côté, je ne veux pas m'étaler dessus, car je vous démontrerais le dépeçage du pays par quelques centaines de personnes, et à leur tête la belle famille de votre général adulé. Prenons l'exemple de la culture, je me souviens quand j'étais petit (du temps de Bourguiba) nous avions la possibilité de trouver toutes sortes de bouquins du plus débile au politique. Bourguiba a compris que pour élever un peuple le diplôme et la qualité de l'enseignement se suffisent pas, car l'ignare n'est pas celui qui n'a pas de diplômes mais celui qui est inculte, je vous renvoie à cet effet à revoir vos souvenirs des années 70 où les théâtres, les cinémas battaient leur plein (juste un seul exemple). Or, avec Ben Ali et sa stratégie du pays au million d'ingénieurs, nous avons produit plus de diplômés incultes que tout autre pays sur ce globe! parce qu'un peuple inculte est un peuple manipulable. Savez vous mon Cher JW que le Tunisien lisait 20 fois plus du temps de Bourguiba! Donc aujourd'hui si vous traitez les Tunisiens de Gueux, c'est vous qui les avez produit ce n'est pas Bourguiba, mais bel et bien votre Général, qui au lieu de penser stratégie Globale à penser stratégie locale voire personnelle dans un contexte où la mondialisation commençait à battre son plein, où nous parlions que la terre allait devenir un village... La Vision mon Cher JW c'est ce qui manquait à votre bien aimé Ben Ali. Certes, ce dernier sue le plan sécuritaire était un visionnaire mais à moitié seulement... Ben Ali a rendu le peuple Tunisien inculte, ignare, matérialiste, menteur, manipulateur, voleur, et j'en passe la liste est trop longue. Force est de constater JW que Ben Ali est quelque part responsable de l'état actuelle du pays, par une économie fermée sur elle même aux mains de quelques bénis et valets, par une absence d'ouverture des jeunes sur l'international et la culture, par un abrutissement de la population qui ne trouve rien à lire même dans les journaux!! Je ne dis pas que je comprends pas vos réflexions mais je vous demande juste de les replacer dans un contexte global.

Monsieur,
Votre commentaire est très important car il illustre bien les lacunes qui existent chez les Tunisiens quant à une compréhension de la Tunisie et de son contexte lors de la période de transition Bourguiba-Ben Ali.
Les Tunisiens ont la mémoire courte et même après avoir fait les plus grandes universités de ce monde, ils demeurent intellectuellement faibles.
Les Tunisiens ont par exemple oublié qu'à la veille du 7 Novembre 1987, la Tunisie faisait face à un complot islamiste qui devait la mener à la guerre civile. A la veille de ce changement bénéfique, la Tunisie avait plongé dans un terrorisme endémique et les islamistes Tunisiens se préparaient à attaquer le Palais de Carthage ou se trouvait un Bourguiba malade et affaibli et qui peinait à comprendre la gravité du complot qui se tramait contre lui.
Ce que les Tunisiens refusent de comprendre aussi est que pour sauver le pays du complot islamiste qui couvait du Nord au Sud, il a fallu des efforts surhumains, permanents, constants, et internationaux de la part des cadres sécuritaires comme moi-même.
Beaucoup de nous ont fait les ambassades et le Ministère de l'Intérieur ou l'armée. Défendre la Tunisie a signifié des efforts repartis au niveau du territoire Tunisien mais aussi au niveau international.
Ce que la Tunisie a accompli dans la sphère sécuritaire tiens du miracle et a fait l'incrédulité et l'incompréhension des Etats Unis, de l'Europe, et de pays frères comme l'Algérie.


JOHN WAYNE
| 07-08-2015 14:42
Nous avons toujours été un pays pauvre mais ayant un Ministère de l'Intérieur supérieur en efficacité aux plus grands services de renseignement du monde.
Vous minimisez l'impact que Ben Ali a eu sur l'aspect sécuritaire de la Tunisie et cela est une très grande lacune dans votre façon de voir. Sans stabilité ni sécurité, les états s'effondrent et cessent d'exister, ce qui est le cas actuel de la Tunisie.
Ce sont les droits de l'hommistes et les islamistes qui avec le support de puissances étrangères ont minimisé la menace sécuritaire qui pesait sur la Tunisie.
Le complot de Baraket Essahel a été tourné en un complot factice par les opposants à Ben Ali alors que ce complot devait déboucher sur une guerre civile qui devait impliquer la faction islamiste de l'armée, des douanes, de la police, et de la garde nationale.
Le Tunisien est un être faible et malhonnête.
Il a tendance à exiger sans donner.
Il s'agit d'un être de mauvaise foi.
C'est au peuple de s'éduquer surtout lorsque le Président d'un pays Arabe a libéralisé cet outil puissant qu'est l'internet.
Ben Ali n'était pas Bourguiba et Bourguiba n'était pas Ben Ali.
Ben Ali n'aurait jamais passé des heures à rédiger des discours sur le planning familial car il était trop occupé à lire des dossiers sécuritaires que des hauts cadres du Ministère de l'Intérieur envoyaient à son bureau au Palais de Carthage.
Le Tunisien est un être vil, malhonnête, hypocrite, et faible.
Les Tunisiens ont fait leur propre malheur en créant des familles nombreuses selon les directives d'Al Jazira et surtout en étant imperméables a toute critique concernant l'Islam.
Je n'ai jamais travaillé ni rencontré un seul membre de la belle famille de Ben Ali mais sachez une chose : avec du recul, je réalise que ces clans sous la tutelle du Président Ben Ali ont développé le pays et favorisé les investissements étrangers.
Aucun régime n'est parfais, mais le Tunisien aurait dû accepter les abus de la belle famille du Président.
Et si le Tunisien a exagéré les abus de cette belle famille et dénigré le général Ben Ali, c'est parce qu'il existe en ce peuple un grand complexe du colonisé. Les Tunisiens aiment les étrangers et dénigrent les leurs, surtout dans le contexte de régionalisme qui existe depuis l'indépendance.
Si je devenais Président, je ne répèterai pas les erreurs de Ben Ali ce qui veut dire que je ne serai pas aussi tolérant et clément avec un peuple qui ne possède ni dignité, ni intelligence.
Je créerai un régime militaire, laïc, socialiste, et aligné avec la Russie qui s'attaquera à l'Islam lui-même et qui rompra a jamais avec les Etats Unis et leurs alliés d'Arabie et du Golfe.
Je soumettrai les Tunisiens à un régime nationaliste impitoyable qui fera de la coopération politique ou financière avec des puissances étrangères, un crime passible de la peine de mort par peloton d'exécution avec exécution immédiate de la sentence.
Les Tunisiens ont nui à leur pays, à leurs leaders, et au reste du monde Arabe.
Ils doivent passer par des années de purgatoire nationaliste et laïque afin de se réhabiliter aux yeux du reste du monde Arabe et du monde tout court.
Apres tout, il s'agit d'un peuple qui comme les Nazis est responsable de pogroms et de génocides contre des minorités religieuses du Moyen orient qui aujourd'hui ont disparu ou vivent dans une souffrance insoutenable.
Ces mêmes Tunisiens réintègrent ensuite le territoire Tunisien en toute impunité pour créer des cellules dormantes destinées à massacrer les quelques touristes que la malchance a fait échouer en Tunisie. Ils deviennent même intouchables car bénéficiant de la protection d'hommes politiques corrompus comme BCE sans compter celle des islamistes Tunisiens et de leurs avocats des droits de l'homme.
Les Tunisiens sont un peuple de traitres dégoutants.
Ils doivent payer !

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.