Lors de la 48ème cellule de communication du Premier ministère, tenue le 17 février 2012, Habib Mekki, directeur général de l’aviation civile a traité essentiellement de la crise des aéroports de Monastir et d’Enfidha, promettant un arrangement imminent.
La question de la vente des avions présidentiels a été évoquée et M.Mekki a été formel : les deux avions sont encore en vente, comme l’a déclaré en exclusivité Business News dans l’article publié jeudi 16 février. La veille, Moncef Marzouki a déclaré, formellement, que l’avion présidentiel a été cédé à 261 millions de dollars.
M. Mekki a précisé qu’il s’agit d’un avion Airbus A 340 et d’un Boeing 737. Le premier avion aurait quatre acquéreurs potentiels, le prix de vente n’étant pas fixé, car les négociations sont en cours. Par contre, la valeur du même appareil a été estimée à 261 millions de dinars, ce qui signifie que le prix de vente serait évidemment plus élevé. Rappelons que Marzouki a parlé, lui, de 261 millions de dollars et non de dinars (voir la vidéo).
Quant au deuxième avion, M. Mekki a affirmé qu’il a été évalué à 45 millions de dinars, sans préciser s’il y avait des acheteurs potentiels ou non.
Lors de la 48ème cellule de communication du Premier ministère, tenue le 17 février 2012, Habib Mekki, directeur général de l’aviation civile a traité essentiellement de la crise des aéroports de Monastir et d’Enfidha, promettant un arrangement imminent.
La question de la vente des avions présidentiels a été évoquée et M.Mekki a été formel : les deux avions sont encore en vente, comme l’a déclaré en exclusivité Business News dans l’article publié jeudi 16 février. La veille, Moncef Marzouki a déclaré, formellement, que l’avion présidentiel a été cédé à 261 millions de dollars.
M. Mekki a précisé qu’il s’agit d’un avion Airbus A 340 et d’un Boeing 737. Le premier avion aurait quatre acquéreurs potentiels, le prix de vente n’étant pas fixé, car les négociations sont en cours. Par contre, la valeur du même appareil a été estimée à 261 millions de dinars, ce qui signifie que le prix de vente serait évidemment plus élevé. Rappelons que Marzouki a parlé, lui, de 261 millions de dollars et non de dinars (voir la vidéo).
Quant au deuxième avion, M. Mekki a affirmé qu’il a été évalué à 45 millions de dinars, sans préciser s’il y avait des acheteurs potentiels ou non.
