Samir Ben Amor, le député CPR, a été interrogé hier, vendredi, sur Express FM à propos du document fuité du ministère de l’Intérieur affirmant que les services de sécurité étaient renseignés, suffisamment à l’avance, de l’assassinat du député Mohamed Brahmi.
Alors qu’on s’attendait à ce qu’il critique les services du ministère pour leur incapacité à protéger Mohamed Brahmi, Samir Ben Amor a répondu qu’il faut ouvrir une enquête pour savoir qui a fait fuiter ce document.
Aujourd’hui, samedi 14 septembre 2013, le député CPR persiste et signe et partage le lien de l’article d’Express FM et ajoute un message dans lequel il déclare conclure qu’il y a bel et bien un service de sécurité parallèle au ministère de l’Intérieur qui travaille pour le compte d’agendas partisans. L’objectif de ce « service » parallèle serait, selon le député, de troubler la situation politique en cette période sensible.
Avant la révolution, on connaissait déjà la bassesse de Samir Ben Amor avec les suspicions de son appartenance à la police politique de Ben Ali. Il a même été épinglé, à ce propos, en plénière à l’ANC par son collègue (et ancien camarade au parti) Abdelaziz El Kotti, sans qu’il ne démente cette information.
Là avec sa sortie relative à la fuite du document fuité, le député CPR s’abaisse encore davantage !