Article 3 de la loi N°82-70
Mais bon la fausse copie de Bourguiba l'ignore, son ESSID aussi sans évoquer le fameux des deux casquettes le HORCHANI et le GHARSSALLi!
Le Syndicat national des forces de sécurité intérieure et l'Union nationale tunisienne des syndicats des forces de sûreté ont fait porter la responsabilité de l’assassinat des agents de la Garde présidentielle au gouvernement ainsi qu’aux politiciens toutes appartenances politiques confondues. Ce qui est arrivé est dû à leurs décisions non-étudiées, aux nominations arbitraires basées sur les allégeances et les tergiversations politiques ainsi qu’à l’absence d’une volonté claire pour combattre et lutter contre le terrorisme d'après le communiqué signé par Nabil Ayari et Sahbi Jouini.
Ceci se manifeste dans l’allocution du président de la République qui ne s’est pas élevée aux aspirations des sécuritaires et des Tunisiens avec l’absence de décisions courageuses, estiment-ils.
Le Syndicat national des forces de sécurité intérieure et l'Union nationale des syndicats des forces de sûreté rappellent que depuis la révolution, ils ont demandé aux gouvernements qui ses sont succédés un ensemble de mesures et de dispositions opérationnelles et courageuses pour éviter au pays ce genre de répercussions et de pertes. Ils avaient réclamé la neutralité de l’administration notamment sécuritaire et pénitentiaire en les écartant des tractations politiques et de ne plus mettre en doute les hommes des établissements sécuritaires ainsi que leur rôle crucial.
Les deux institutions syndicales appellent le peuple tunisien à s’unir autour de l’institution sécuritaire et à l’épauler dans sa guerre contre le terrorisme et le crime organisé. Elles appellent le gouvernement à prendre toutes ses responsabilités en fournissant les conditions adéquates pour contrer tous les dangers et les menaces et en protégeant légalement les agents des forces de sécurité dans l’exercice de leurs fonctions.
Ceci passe à travers un ensemble de mesures dont notamment :
• Garantir les droits des martyrs et des blessés des attentats, en augmentant la prime des martyrs à 200.000 dinars comme tout autre martyr
• Séparer le développement local du ministère de l'Intérieur et la restructuration de certaines administrations et services
• Mise en place d’une structure nationale de lutte contre le terrorisme
• L’arrestation de tous ceux qui reviennent des zones de terrorisme et les faire passer devant le Tribunal militaire selon les dispositions de l’article 123 de du Code des plaidoiries et sanctions militaires
• La création de prisons spéciales pour les crimes terroristes
• L’application des mesures de contrôle administratif et la limitation des mouvements de ceux soupçonnés de terrorisme
• La dissolution et le jugement des associations et des organisations soupçonnées de soutenir le terrorisme
• La poursuite de toute personne qui blanchit le terrorisme et le justifie
• Protéger les magistrats et tous ceux qui sont chargés d’enquêter dans des affaires liées au terrorisme
• Cesser les poursuites contre les agents de sécurité
• Consacrer un budget de crise immédiat pour les ministères de l’Intérieur et de la Justice afin qu’ils puissent acquérir les équipements sophistiqués nécessaires
• Améliorer la situation financière et sociale des agents des établissements sécuritaires et pénitenciers
Le Syndicat national des forces de sécurité intérieure et l'Union nationale des syndicats des forces de sûreté soulignent que la guerre contre le terrorisme se poursuit et que les agents des établissements sécuritaires et pénitenciers sont prêts et motivés pour combattre ce fléau.
Imen Nouira
Le Syndicat national des forces de sécurité intérieure et l'Union nationale tunisienne des syndicats des forces de sûreté ont fait porter la responsabilité de l’assassinat des agents de la Garde présidentielle au gouvernement ainsi qu’aux politiciens toutes appartenances politiques confondues. Ce qui est arrivé est dû à leurs décisions non-étudiées, aux nominations arbitraires basées sur les allégeances et les tergiversations politiques ainsi qu’à l’absence d’une volonté claire pour combattre et lutter contre le terrorisme d'après le communiqué signé par Nabil Ayari et Sahbi Jouini.
Ceci se manifeste dans l’allocution du président de la République qui ne s’est pas élevée aux aspirations des sécuritaires et des Tunisiens avec l’absence de décisions courageuses, estiment-ils.
Le Syndicat national des forces de sécurité intérieure et l'Union nationale des syndicats des forces de sûreté rappellent que depuis la révolution, ils ont demandé aux gouvernements qui ses sont succédés un ensemble de mesures et de dispositions opérationnelles et courageuses pour éviter au pays ce genre de répercussions et de pertes. Ils avaient réclamé la neutralité de l’administration notamment sécuritaire et pénitentiaire en les écartant des tractations politiques et de ne plus mettre en doute les hommes des établissements sécuritaires ainsi que leur rôle crucial.
Les deux institutions syndicales appellent le peuple tunisien à s’unir autour de l’institution sécuritaire et à l’épauler dans sa guerre contre le terrorisme et le crime organisé. Elles appellent le gouvernement à prendre toutes ses responsabilités en fournissant les conditions adéquates pour contrer tous les dangers et les menaces et en protégeant légalement les agents des forces de sécurité dans l’exercice de leurs fonctions.
Ceci passe à travers un ensemble de mesures dont notamment :
• Garantir les droits des martyrs et des blessés des attentats, en augmentant la prime des martyrs à 200.000 dinars comme tout autre martyr
• Séparer le développement local du ministère de l'Intérieur et la restructuration de certaines administrations et services
• Mise en place d’une structure nationale de lutte contre le terrorisme
• L’arrestation de tous ceux qui reviennent des zones de terrorisme et les faire passer devant le Tribunal militaire selon les dispositions de l’article 123 de du Code des plaidoiries et sanctions militaires
• La création de prisons spéciales pour les crimes terroristes
• L’application des mesures de contrôle administratif et la limitation des mouvements de ceux soupçonnés de terrorisme
• La dissolution et le jugement des associations et des organisations soupçonnées de soutenir le terrorisme
• La poursuite de toute personne qui blanchit le terrorisme et le justifie
• Protéger les magistrats et tous ceux qui sont chargés d’enquêter dans des affaires liées au terrorisme
• Cesser les poursuites contre les agents de sécurité
• Consacrer un budget de crise immédiat pour les ministères de l’Intérieur et de la Justice afin qu’ils puissent acquérir les équipements sophistiqués nécessaires
• Améliorer la situation financière et sociale des agents des établissements sécuritaires et pénitenciers
Le Syndicat national des forces de sécurité intérieure et l'Union nationale des syndicats des forces de sûreté soulignent que la guerre contre le terrorisme se poursuit et que les agents des établissements sécuritaires et pénitenciers sont prêts et motivés pour combattre ce fléau.
Imen Nouira