Très Cordialement
Jamel
Comme à chaque lendemain de fêtes, les Tunisiens se réveillent sur un spectacle désormais typique, celui des détritus qui submergent les rues.
Celui de l’Aïd El Idha a toutefois la particularité d’être, en plus, gore et plutôt puant. En ce mardi 13 septembre 2016, deuxième jour de fête, les peaux de moutons fraichement égorgés, remplissent les bennes à ordures et leurs alentours.
Autrefois nettoyées au sel, à la chaux, lavées, et séchées, les peaux de mouton servaient à récupérer de la laine pour tisser couvertures et vêtements, et à orner les maisons. Aujourd’hui, les matières synthétiques peu onéreuses, ont remplacé la laine naturelle pourtant disponible, au point qu’on la jette dans les poubelles.
En plus de constituer une source d’emploi négligée, les peaux de moutons de l’Aïd sont une source de travail ingrat et pénible pour les agents de la municipalité qui les ramassent, comme en témoignent ces photos partagées aujourd’hui sur les réseaux sociaux.
A Sfax également, les scènes post festivités sont peu attrayantes. Comme on peut le constater sur la photo ci-dessous, les peaux de moutons sont entassées en pleine rue, avec tout ce qui va avec comme bestioles et odeurs.
M.B.Z
Comme à chaque lendemain de fêtes, les Tunisiens se réveillent sur un spectacle désormais typique, celui des détritus qui submergent les rues.
Celui de l’Aïd El Idha a toutefois la particularité d’être, en plus, gore et plutôt puant. En ce mardi 13 septembre 2016, deuxième jour de fête, les peaux de moutons fraichement égorgés, remplissent les bennes à ordures et leurs alentours.
Autrefois nettoyées au sel, à la chaux, lavées, et séchées, les peaux de mouton servaient à récupérer de la laine pour tisser couvertures et vêtements, et à orner les maisons. Aujourd’hui, les matières synthétiques peu onéreuses, ont remplacé la laine naturelle pourtant disponible, au point qu’on la jette dans les poubelles.
En plus de constituer une source d’emploi négligée, les peaux de moutons de l’Aïd sont une source de travail ingrat et pénible pour les agents de la municipalité qui les ramassent, comme en témoignent ces photos partagées aujourd’hui sur les réseaux sociaux.
A Sfax également, les scènes post festivités sont peu attrayantes. Comme on peut le constater sur la photo ci-dessous, les peaux de moutons sont entassées en pleine rue, avec tout ce qui va avec comme bestioles et odeurs.
M.B.Z