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Néji Jalloul limogé
30/04/2017 | 20:47
1 min
Néji Jalloul limogé

Néji Jalloul, ministre de l’Education, a été limogé aujourd’hui, 30 avril 2017, de son poste, par le chef du gouvernement, Youssef Chahed.

 

Néji Jalloul aurait refusé de prendre le portefeuille de la culture. L’intérim à l’éducation sera assuré par le ministre de l’Enseignement supérieur, Slim Khalbous.

 

M.A

30/04/2017 | 20:47
1 min
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Commentaires (129)

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ABDOU
| 02-05-2017 13:41
CHANTAGE ET PRISE D'OTAGES '
Le Chef du gouvernement semble avoir été acculé à opter pour la solution du moindre mal en « limogeant !!! « le Ministre de l'éducation nationale Naji Jalloul.
Il ne faut pas oublier en effet que le « patriote » syndicat des éducateurs de nos enfants faisait du CHANTAGE EN PRENANT CES DERNIERS EN OTAGES puisque le déroulement normal des épreuves du BAC et d'autres examens était menacé si le BON MINISTRE NOMMé ET RECONDUIT DANS LE GOUVERNEMENT D'UNION NATIONALE n'est pas non seulement appelé à d'autre fonction MAIS' carrément « LIMOGé » et ce, malgré le fait que la Centrale de l'UGTT, à sa décharge, n'a pas hésité à souligner l'illégalié de cette DICTATORIALE exigence .
UNE ACTION URGENTE PARCE QUE VITALE S'IMPOSE DONC AFIN DE METTRE FIN A TOUT CHANTAGE AVEC PRISE IMPLICITE OU EXPLICITE DE PRISE D'OTAGE

lario
| 02-05-2017 12:57
Concernant l'orientation scolaire de nos enfants : - tout est expérimenté depuis tout au long des décennies, chaque ministre de l'éducation installé vient expérimenter ses convictions sur nos enfants comme des cobayes, une fois parti, tout tombe à l'eau et on recommence du point de départ, combien de temps perdu? combien de générations ont été victimes des choix erronés et baclés causés par nos décideurs incompétents , qui ont excellé par leurs choix de courtes visions , par leurs maigres budgets, et par leur incapacité de faire face aux exigences d'une statégie d'orientation scolaire bien étudiée et bien conçue de nos jeunes. Actuellement, il nous faut une statégie bien pensée , prospective, qui tient compte des exigences en infrastructures, en équipements scientifiques et techniques qui suivent les inventions modernes dans tous les domaines et dans tous les secteurs selon les réalités et les spécificités de notre chére TUNISIE,et étre à la page de ce qui se passe dans le monde qui se transforme et qui progresse d'un jour à l'autre

Moi
| 02-05-2017 11:36
Si Youssef attendez votre tour pour être limogé par l'UGGTT ! ....Quoi que vous fassiez l'UGTT ne sera jamais votre soutien !

lario
| 02-05-2017 09:52
avec 3% du budget du ministére de l'éducation, avec un ministre qui court jour et nuit derriére tout le monde pour quémander des miettes de pain , surtout de celles des chefs d'entreprises ou de je ne sais quoi, avec des responsables administratifs qui sont dépourvus de tout soutien et qui ont perdu tout respect, tout prestige , et tout air imposant pour une certaine discipline, et d'autres et multiples facteurs, ect... ect... , et on entend parler d'une réforme de notre systéme éducatif et qui est surtout guidé et troné par des partis qui n'ont connu que l'échec et la faillite??!! jalloul et ses patrons nous prennent pour des sots , aucune réforme de notre école publique, républicaine n'est possible qu'aprés avoir lui assurer les conditions nécessaires et obligatoires de réussite et en l'occurence budgétaires, humaines et statégiques et bien choisir une voie, une vision à court et à long terme où chaque enfant , chaque jeune tunisien trouve son compte , son avenir et un sens pour son existence

Le Baron
| 02-05-2017 09:35
sans doute une personne sympathique aux yeux de certains et totalement égocentrique au yeux d'autres !!le fait qu'il implore le vieux BCE a se représenter aux élections de 2019 pour sauver son poste lui a enlevé toute sympathie et respect!!

raa
| 01-05-2017 21:48
le champ est libre aux khouenjia de faire la déformation de l'enseignement à leurs manières

Fares
| 01-05-2017 20:28
Neji Jelloul à la seule personne présidentiable pour 2019. S'il se présente, je voterai pour lui, sonon je m'abstiendrai.

kameleon78
| 01-05-2017 20:19
Politiquement c'est catastrophique pour Youssef Chaed et BCE. Néji Jalloul est un ministre populaire dans l'électorat dit des républicains modernistes. Pour faire plaisir à un syndicat et une frange de la Nahda, il a sacrifié un ministre précieux en vue des prochaines échéances à moins qu'il aille dans le camp de Mohsen Marzouk, mais politiquement ce fut une erreur de le limoger.

Biotekk
| 01-05-2017 20:09
C est malheureux c est honteux c est le suicide politique d un gouvernement dont le chef est le plus incompetent membre. Comment faire demonter un homme travailleur satisfaisant la majorite du peuple et une ministre tres competente, le jour de la fete du travail. Belle tunisie pays d hypocrisie mal traite comme une bonne vache vachement mal allaitee. Une bonne vache qui aurait du donner suffisament de sa richesse au peuple. Pauvre mon pays ! La Honte aux malfateurs de l UGTT et des Daechiens d ennahdha! Chapeau bas madame et onsieur les ministres demis de vos fonctions, alors que la majorite du peuple approuvait vos efforts! Paix a ton ame democratie! Cette mort ne nous montre que le faut, que les temps du dictateur Ben Ali etaient Bien meilleurs!

takilas
| 01-05-2017 19:24
Les syndicats arnaqueurs de l'éducation et de l'enseignement ainsi que le fantoche régionaliste UGTT, l'ont exprimé clairement et depuis longtemps, il est impossible d'inclure la loi (d'arnaque) relative au cours particuliers, surtout en faveur des enseignants originaires du sud qui se sont débrouillés du temps de Ben Ali et qui ont acquis, à l'aide de credits,des appartements à Tunis et des bagnoles sauf qu'ils sont dans l'obligation de rembourser ces credits. Or les montants accordés pour l'obtention de ces crédits, ne peuvent être remboursés par leur salaire, révélé insuffisant, mais en ayant inéluctablement des rentrées supplémentaires, ce qui ne peut se réaliser, pour eux, que par l'organisation de cours particuliers à leurs élèves.
Par ailleurs, une contrainte majeure est apparue dans ce système irrégulier, s'agissant du niet et du véto formulés par l'honnête ministre Neji Jelloul.
Ceci (cette honnête et régulière initiative) déclencha l'énervement des mafieux de nahdha et s'accordent à imposer par tous les moyens de force, de menace et de chantage au limogeage de ce ministre sérieux et de même compétent.
Voilà où en est la Tunisie.
Révolution dites-vous ?