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Négociations en l'absence du principal intéressé, Néji Jelloul...
05/03/2017 | 20:45
1 min
Négociations en l'absence du principal intéressé, Néji Jelloul...

La séance de réconciliation entre des représentants du gouvernement et du syndicat de l’enseignement de base, s’est déroulée aujourd’hui, dimanche 5 mars 2017, en l'absence du principal intéressé, Néji Jelloul, ministre de l’Education.

Cette séance qui a abouti à la conclusion d’un accord entre les deux parties a été marquée, effectivement, par l’absence de Néji Jelloul, sans qu’aucune explication ne soit donnée quant aux motifs de cette absence. 

 

Hier encore, Morched Driss a affirmé que le SG de l’UGTT avait annoncé au syndicat un prochain limogeage du ministre de l’Education dans le cadre de l'accord conclu avec le gouvernement. Une information aussitôt démentie par Noureddine Taboubi qui a affirmé que "le contenu de [s]es entretiens avec le chef du gouvernement demeure, par le sens de la responsabilité, entre [eux]". Le limogeage de Néji Jelloul demeure l'une des principales revendications du syndicat de l'enseignement depuis des semaines.

 

 

05/03/2017 | 20:45
1 min
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Commentaires (8)

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EL OUFFI Y
| 06-03-2017 22:01
Impossible mais c'est vrai comment en ne respecte pas un haut cadre de l'Etat vraiment nous somme en vente en enchère .
Ou est le fils de Hammamet qui a l'audace de protéger son équipage .
Neji Jelloul ne devra aucun cas quitté son poste c'est l'homme fort qui fait son travail la preuve il devenu cible pour le casser .

M'hamed Ben mohamed Belkhodja
| 06-03-2017 17:16
il y a des lignes rouges que l'on ne peut franchir impunément.
Le fait de discuter avec l'UGTT en l'absence du ministre concerné signifie clairement qu'il l'a abandonné, comme exigé par l'UGTT.
Il ne reste plus à Youssef Echahed qu'à abandonner son poste à Mr Taboubi,qui rendra obligatoires les cours particuliers et le Bac à 50% en fonction de la notre de classe.
Au départ, Youssef Echahed ne semblait pas si médiocre!

Tunisienne
| 06-03-2017 12:59



(à Ennahdha, l'UGTT et tous les autres) n'auront servi à rien. Il va partir tôt ou tard (et, vraisemblablement, plus tôt que tard) !


Au moins, Said El Aidi avait dignement et courageusement tenu tête jusqu'au bout.




Analyste
| 06-03-2017 10:53
C est la preuve que Jalloul qui a personnalise le conflit avec les syndicats n est pas du tout indispensable et que apparamment sans lui,les choses peuvent avancer positivement. L erreur magistral de Jelloul c est que des conflits avec les syndicats il en a fait un conflit personnel alors qu un ministre ne doit jamais personnaliser tout conflit...

MT
| 06-03-2017 09:48
Ce que fait mal surtout que l'UGTT écoute les islamistes,après l'acharnement et le boton qu'elle a reçu de ces derniers maintenant tous ce qu'Ennahda demande L'UGTT l'applique en son nom,et le pire ,que le chef de gouvernement est un homme fragile et peureux,vite il lâche l"éponge si non comment accepte t-il que le concerné ne soit pas présent!Il n'est pas majeur!Comme si un accusé demande que la victime ne soit pas présent,alors le juge doit aussi accepter! mais est ce qu'on a un homme d'Etat ou un Omda de Quartier?!

Mouchahéd
| 06-03-2017 03:49
On peut imposer ce qu'on veut à M. Youssef Chahéd, il suffit de choisir le bon moment et persévérer et il se pliera.

Il se présentera en homme de forte personnalité, déterminé, prestige de l'Etat bla bla bla et d'autres et des meilleures.

La preuve? Il a lâché Said El Aydi ministre de la santé suite à la pression syndicale, ensuite le ministre des affaires religieuses, ensuite Briki ensuite le secrétaire d'Etat du commerce et très très bientôt Jalloul.

A qui le tour ensuite? Charni? Surtout pas Laadhari! Les autres ministres sont facilement "sacrifiables" mais pas touche aux Islamistes disciplinés et extrêmement solidaires.

Etre ministre avec Chahéd est la sécurité d'être lâché à tout moment pour n'importe quelle raison au nom de la solidarité gouvernementale bien sûr.

kameleon78
| 06-03-2017 01:20
Incroyable ce gouvernement où on mélange politique et syndicalisme, bientôt l'UGTT demandera la tête du premier ministre Youssef Chaed et on trouvera cela normal, imaginez un peu en France où la CGT se réunira pour faire partir un ministre qui ne leur plait pas, excusez moi de faire ces comparaisons, mais cela devient incroyable ce mélange des genres, cela prouve une chose la déliquescence de l'état qui part en vrilles.

St Just
| 05-03-2017 22:41
Quelle pedagogie faut-il retenir de ce syndicat? Quel est l avenir de nos enfants en presence de ces egoistes qui ne reculent devant rien? Meme s il faut sacrifier des enfants et leur avenir.... Il appartient aux parents de reagir et surtout a M. Jalloul de ne plus rien ceder