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Moncef Marzouki, ou comment donner des bâtons pour se faire battre !
11/02/2017 | 15:00
1 min
Moncef Marzouki, ou comment donner des bâtons pour se faire battre !

 

Un tollé de réactions a été provoqué, par les propos de l’ancien président de la République, Moncef Marzouki, dans lesquels il avait, lors de son passage, le 9 février 2017, à l’émission d’Ali Al Dhufairi sur Al Jazeera, insulté tout le peuple tunisie.

Des noms d’oiseau ont fusé sur les réseaux sociaux, des personnalités de la scène politique et culturelle du pays n’ont pas caché leur mécontentement et ont vivement condamné cette « trahison ».

Charlatan, insignifiant, indigne de ce beau pays et de son peuple, clown véreux, président crasseux, odieux, minable, etc. voilà de quoi a été traité Moncef Marzouki, pour avoir déclaré sur une chaîne Qatarie que la société tunisienne est corrompue, menteuse et hypocrite !

 

 

11/02/2017 | 15:00
1 min
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Commentaires (42)

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Fehri
| 13-02-2017 18:02
Il ne faut pas lui en vouloir, il est malade.

Zico
| 13-02-2017 17:44
La description qu'a donné Marzougui au peuple Tunisien est très précise et exacte. Les politiciens qui prétendent le contraire ne font que de la démagogie. Marzougi est une personnage dont on peut facilement se moquer. Sa maladie mentale y est pour quelque chose. Mais il faut avouer que sur celle la il a tout a fait raison, je trouve drole qu'on soit choqué d'entendre que le peuple tunisien est corrompu, inclute, et fénéant.

Slahedinne BL
| 13-02-2017 17:22
Marzouki a souvent été traité de schizophrène et pour causes diverses.
Sans trop m'attarder sur le personnage, et encore moins sur le piteux Président qu'il a été par accident de circonstances, je dirais que Marzouki débite des inepties chaque fois qu'il sombre dans l'oubli.
Son caractère versatile et imprévisible confirme sa schizophrènie.

takilas
| 13-02-2017 15:54
Nahdha et RCD n'ont qu'un seul objectif (commun), celui de la colonisation de la capitale Tunis. Laquelle colonisation représente pour eux une fin en soi et un complexe indéfectible. Cette réaction psychologiquement explicable,s'est progressivement au fil du temps, surtout au cours de la 2ème ou la 3ème décennie qui a suivi l'indépendance ; ceci a débuté avec la riposte de feu Ben Youssef face à Bourguiba pour prendre ensuite de l'ampleur avec quelques opportunistes qui refusèrent carrément le développement socioéconomique par le biais du travail d'une part, et la formation en général d'autre part. Ce qui engendre, par voie de conséquence des enrichissements disproportionnés de la population ; et des groupements tant régionalistes que de connivences entre quelques citoyens. Bref, ceci entraîna d'abord des perturbations qui se déclencherent vers 1974 et Tunis devint la cible des nouveaux riches qui comme exemple se rabatterent sur l'immobilier avec l'expansion anarchique de Menzah et puis de Mourouj, Nase et autre banlieues Nord et Sud. La Tunisie rentre dès lors dans une semblable guerre civile, avec le 3 et 26 janvier et beaucoup espéraient leur part de gâteau. La nomination de la part des occidentaux de en Ali survint au mauvais moment, ce dont profiteraient ces occidentaux pour recruter de réfugiés politiques, soi-disant adeptes non pas l'islam mais de l'islamisme pour avoir le caractère de violence et de despotisme. Tunis se transforma en un guérilla et un surpeuplement fut la cause entre autre de l'économie tunisienne et l'anarchie, avec la venue du naïf et alléchés Ben Ali qui sera suivi illico par la nouvelle organisation mafieuse qui se fait appeler certainement par lesdits occidentaux "renaissance"donc Nahdha en remplacement d'une appellation de même improvisée "l'ère nouvelle ".
En somme, et actuellement, Tunis devient la source essentielle de tout le mal de La Tunisie. Un mal qui semble irréversible tant que cette obsession des tunisiens, surtout les originaires du Sud qui devinrent par la force des choses partisans de nahdha, à vouloir loger et travailler n'importe comment à Tunis, persiste. Il suffit pour eux de désigner le peuple de "azlems" et le tour est joué

1/raisonnable
| 13-02-2017 15:38
Allah yenalou comme ceux qui commencer le 2011 pour profaner le pays

takilas
| 13-02-2017 14:43
Les zélés c'est NOUS qu'ils massacrés en confisquant nos biens et notre liberté et on en nous privant des droits les plus élémentaires. Par contre il avaient des connivences innombrables avec les traîtres de la secte de Nahdha formée à Londres grâce à Ben Ali, et que d'autres injustices que les arnaqueurs de Nahdha les prennent hypocritement à leur compte, oubliant de même les crimes et les délits commis à notre encontre tant en 1986 qu' en 2012_2013.... Ben Ali cherchait, surtout avec le RCD à nous massacrer (moi-même victime d'une tentative d'assassinat, ; tout comme en 2013 preuves à lappui),donc l'alliance RCD-Nahdha s'est plus évidente, et tout deux représente pour NOUS peuple des asiles, cette langue de bois est donc dépassée et démodée et na aux arnaqueurs de Nahdha que pour le cinéma dans les médias audiovisuels de cirque. Nous nous battrons soit contre le despotisme et la dictature de Ben Ali et des escrocs du RCD que contre les gangsters de Nahdha, nous sommes les conquérants du Maghreb et les fondateurs de Kairouan ; quant à nahdha et le RCD ils n'ont aucune histoire en Tunisie. Pigé ???

Cheimónas
| 13-02-2017 09:46
Quelqu'un qui dit la vérité peut être certain qu'un jour ou l'autre il sera découvert.

Citation de Oscar Wilde ;

Les tunisiens viennent de découvrir Marzouki

Abel Chater
| 13-02-2017 09:24
@takilas
Ne t'en fais pas, notre Créateur Allah le Tout Puissant a déjà protégé et a déjà sauvé la Tunisie en vous ayant balayés dans la poubelle de l'histoire. Oui, je suis absolument d'accord avec toi lorsque tu dis : «Rabbi yahmi tournis mina awbech wal khawana qui continuent de payer beaucoup d'argent tant pour les médias audiovisuels pour y figurer que pour soudoyer des milices et des applaudisseurs sans scrupules». Mais tu ne dis pas que tu parles de tes pairs les «Azlèms» qui font tout pour nous retourner par toutes leurs anciennes méthodes criminelles, dont tu évoques toi-même.
Rabbi hami Tounes mine charrkom, wa layaâdhou Billah !!!
Il vous a chassés à jets de pierres, à la manière de «Ahl Al Fiil».
Quant à Moncef Marzouki en relation avec Al Jazeera, ce n'est pas lui qui paie ou qui sollicite des interviews avec cette gigantesque et la plus crédible chaîne TV du monde entier. Ce sont eux qui cherchent l'avis et la vie des Grands Hommes de ce monde.
Tu confonds les tiens et leurs apparitions permanentes sur leurs chaînes de «Andi ma n'kollek» et de «N'sibti Laâziza» avec Al-Jazeera?
Relève un peu de ton niveau. Tu deviens trop comique. Surtout en osant baratiner dans le vide par une telle bassesse esclavagiste, qui n'existe plus sur ce globe terrestre :«la veste qu'il porte c'est grâce aux initiatives de Bourguiba». Pourquoi, tes parents marchaient nus dans la jungle de Tunisie avant 1957?
Regarde les anciennes photos des Tunisiens et cesse d'halluciner comme un escargot en état de chaleur.
Honte à toi et à tes semblables !!!

Tunisienne
| 13-02-2017 08:08



Bonjour chers amis,


Cher Mohamed, merci d'avoir convergé avec ma réflexion et de l'avoir très pertinemment complétée ! Effectivement, il existe un réservoir électoral d'«islamo-révolutionnaires» qui oscille en permanence entre le discours islamiste et le discours «révolutionnaire». Je pense que c'est une tranche d'électeurs assez importante. De toute façon, dans des Présidentielles, l'électorat islamiste penchera toujours vers un Marzouki que vers n'importe quel autre candidat se revendiquant (grosso modo) de la République et du modernisme. Le score 'énorme à mon sens- obtenu par Marzouki lors des dernières Présidentielles est à ce titre très édifiant !

J'ajoute qu'il faut déconstruire le mythe de Marzouki «LE représentant de l'anti-système, celui qui combat vraiment la corruption et blabla». Marzouki a été 'par un miracle inespéré- Président de la République et on l'a vu à l''uvre. La seule constante identifiable dans son action était la corruption jusqu'à la moelle par le pouvoir, la soumission inconditionnelle aux islamistes et le combat farouche, non pas de la corruption, mais de tous ceux (adversaires politiques, journalistes...) à même de contester ou de menacer son pouvoir.



Char Ahmed, j'ai vu que l'analyse de @ LA GALLIA du «clivant-clivé» t'avait interpellé. C'est vrai que c'est une analyse très intéressante. J'ajoute que Marzouki a une obsession maladive du pouvoir et de Carthage, obsession qui constitue le moteur de son action et en donne la «cohérence». Qu'il soit clivé, c'est certain (le dilemme entre le militant versus l'obsédé par le pouvoir et prêt à l'avoir par tous les moyens, ce dilemme ne doit pas être facile à vivre). Qu'il soit clivant de la société est tout aussi certain : connait-on meilleur moyen d'avoir du pouvoir sur les autres que de les cliver ? Le clivage de la société est le fond de commerce de Marzouki, parce qu'une société apaisée lui tournerait définitivement le dos.



Très bonne journée à vous, avec toute mon amitié !




Ciitoyen_H
| 13-02-2017 01:14

Ils ont eu ce qu'ils voulaient.
Maintenant, ils sont repus.
Ils sont occupés à dépenser les très grosses sommes d'argent qu'ils ont amassé en cassant du sucre à profusion, sur le dos des absents.

Bizarrement, ces "très courageux" avocats, comme tant d'autres, rasaient les murs quand le chat était encore là.

La bravoure Tunisienne n'est plus à prouver......
Salutations.